La Passion Destructrice

(Flaubert) : Vision négative du peuple. Peuple vu d’en haut « Hussonnet et Frédéric se penchèrent sur la rampe ». Ironie, antiphrase : « Puisqu’on était victorieux, ne fallait-il pas s’amuser ? » « s’amuser » désigne ironiquement l’action vandale et destructrice du peuple. Vocabulaire à caractère dépréciatif : « canaille » employé pour désigner le peuple. Un point de vue très subjectif où la foule est décrite comme dangereuse et stupide. La difficulté à traiter objectivement son époque. Georges Duhamel

de la passion. Ils vivent dans un monde rationnel, hyper matérialiste, ou leurs choix sont avant tout guidés par un désir de stabilité et de retour à des valeurs sûres. L’amour avec un grand A est donc devenu une de ses valeurs reléguées aux oubliettes de l’histoire… Aujourd’hui, on préfère s’associer, partager un bout de chemin, sans jamais trop s’impliquer. On y croit sans trop y croire, et, bien entendu, on se sépare aux premiers heurts… Évidemment, qui ne veut pas succomber à la passion, qui

le prince, Aglaia et Rogojine. L'amour y est souvent ambigu, double. Celui du prince pour Nastassia : Le prince est apeuré par le visage de Nastassia mais l'aime pourtant d'un amour absolu. Rogojine éprouve pour Nastassia une passion complète. Et la passion est ambigu. Rogojine se montre ainsi capable de tuer celle pour qui il vit durant tout le roman. Le dualité de ces amours est aussi incarné par le parallèle de couples qui existent. Nastassia et Rogojine forment l'opposé exacte du

à composer des poésies rhénanes qui prendront leur place plus tard dans Alcools. Mais lors de ce séjour, il fait surtout la rencontre de la gouvernante de l’enfant, la jeune anglaise Annie Playden dont il tombe immédiatement amoureux. Mais cette passion n’est pas partagée. Il revoit la jeune femme en 1902 mais elle le repousse à nouveau. En 1903 et 1904, il va jusqu’à Londres pour la revoir mais elle préfère partir en Amérique plutôt que de nouer une relation avec le jeune homme. Blessé, le poète

réflexion sur le sentiment amoureux et ses effets.3/6 Transition : Si le « je » et ses sensations semblent être au centre de ce poème « je vis, meurs », c’est avant tout les effets d’un sentiment amoureux passionnel qui sont décrits ici. II – L’Amour Passion A – La dualité de l’Amour Louise Labé dépeint dans « je vis, je meurs » un amour extrême, symbolisé par les contradictions que l’on retrouve tout au long du sonnet. Les nombreuses antithèses des premiers quatrains (chaud/froidure, molle/dure, ennuis/joies

loisir et un plaisir : C’est un exercice physique « marche » et « détente ». Cela permet des liens amicaux basés sur la même passion qu’est la chasse. 3. La chasse est une activité qui crée des emplois : Les emplois directs et indirects sont générés par la chasse (équipementier, armuriers, structures…) CONTRE LA CHASSE La chasse est une pratique archaïque et destructrice. La gestion de la faune sauvage doit être entièrement réorganisée, car actuellement la chasse n’est pas pratiquée dans un

questions. Dans « candide ou l’optimisme » voltaire dénonce la guerre, activité qu’il juge inutile, fortement destructrice et inhumaine. Ainsi nous confirmons la grandeur d’esprit des lumières. Le philosophe est aussi posé et tempéré. Dumarsais a eu une vie calme. Ayant été précepteur dans une grande famille, il est calme flegmatique et positif. Paul Henry Baron d’Holbach est sensible passionné et est le mécène des philosophes. Ainsi nous pouvons conclure à l’honnêteté du philosophe ainsi qu’à sa philanthropie

traduisent les lamentations d’Andromaque et accentue le coté pathétique présent dans la scène . Le coté tragique peut aussi être mis en relation avec l’amour qu’a Pyrrhus pour Andromaque . L’amour de Pyrrhus n’est pas sain , les passions de cet homme sont souvent destructrices et barbares : «  l’amour peut-il pousser si loin la barbarie » est une réplique d’Andromaque qui montre la noirceur de Pyrrhus . Malgré cela Andromaque laissera t’elle mourir son fils ? 2) L’amour maternel Andromaque

l’ultime scène elle s’effondre empoisonnée après avoir révélée la vérité à Thésée. * Avis personnel Ce que j'ai apprécié dans cette pièce, c'est tout d'abord la montée progressive des passions, jusqu'à l'explosion finale. Elles y sont décrites avec un réalisme et une profondeur évidente. Destructrices, elles ravagent physiquement et psychologiquement ceux dont elles s'emparent. La construction de la pièce, de ce point de vue est parfaite. On trouve beaucoup de violence dans cet amour poussé

l’intérêt de croire à un avenir heureux. Cette lettre montre un mal-être visible et le registre tragique utilisé, amène le lecteur à ressentir tout le désarroi de Werther. Il semble accablé par la fatalité et excédé par une puissance, ici, la passion et la société. En effet, on peut également voir dans cette lettre l’isotopie du malheur, « insupportable bourreau », « mauvais génie » (l.5), « me soulager » (l.39), « tourment de la situation » (l.42), «il n‘y a point d‘instant qui ne te dévore »