La Passion Destructrice

laquelle il se passionne à la fin de sa vie. L'oeuvre de kafka ne cesse de fasciner les psychanalystes car elle est fondée sur les thèmes de la culpabilité, de la perte d'identité et de la transformation du corps (la métamorphose). Sa relation conflictuelle avec son père qui l'a beaucoup marqué se retrouve dans ses œuvres (lettres au père, 1919). Il mène une existence tourmentée ou se succèdent les echecs ; son plus grand amour : Milena Jesenka qui témoigne d'une passion intense mais destructrice. En 1917

Amour ») ; un autre se contenterait de supprimer sa souffrance. Pour un autre encore, vivre signifie : « accomplir quelque chose », qu’il s’agisse de réussite sociale ou familiale, de la réalisation d’un grand projet ou encore de se consacrer à sa passion. Dans tous les cas, il faut enchanter son existence. Ce peut être enfin mener une « bonne vie », c’est-à-dire une vie respectable. Voilà donc trois horizons de vie : être heureux, se réaliser et mener une vie digne. On peut en concevoir d’autres :

de chez Swann (1913)> monde de l'enfance 2. A l'ombre des jeunes filles en fleur (1918)> amours adolescentes 3. D u côté de Guermantes (1920)> le monde des salons 4. Sodome et Gomorre (1922)> le monde du vice 5. La Prisonnière (1923)> la passion destructrice 6. Albertine disparue (1925)> la tragédie 7. Le temps retrouvé (1927)> le sens de la vie Le roman ne doit pas être une simple photocopie de la réalité, ni une reconstrution idéale, MAIS une TRANSPOSITION, une espèce de RESURRECTION d'une

il y avait déjà une autre vision de la “passion” à l’époque. La passion dont il en est question ici est celle que les “moralistes” des grands siècles ont décrite. C’est-à-dire une sorte de paix intérieur brisé, mais aussi en emprisonnement dans un cercle vicieux, ce qui provoque une “perte de la liberté”. Bien qu’il y ait un aspect fataliste à la chose, Marbeuf dans son poème, ajoute un côté dédramatisant. En raison à cela, il instille une vision de la passion comme est signe

      -> Ainsi l’auteur subit une fatalité source de souffrance. •  Présentation d’un amour malheureux de façon métaphorique et poétique connoté de façon dépréciative :         • métaphore de la tempte = violence destructrice de cet amour         • les tourments de la passion : avec les intensifs « si, tant »         • Champ lexical de la tempête : «apprêts », « vent », « orage », « naufrage » = métaphore filée image d’un amour orageux         • Les adjectifs qui présentent cette tempête

l'Univers primordial. » En effet, l’évolution de la technique équivaut à la transformation graduelle et continuelle des applications des connaissances scientifiques. Simone Weil est une philosophe française qui a une passion pour l’absolu. Elle confronte sa conception du monde avec la réalité, elle veut comprendre la volonté de Dieu. Cette philosophe pense que plus la technique évolue, plus les intérêts deviennent superflus en comparaison aux difficultés qui surviennent

l'héroïsme de la vie moderne. Dumas : "Il y a de la passion, du courage et de l'héroïsme dans un cœur qui bat sous une redingote noire". Musset : "Combien nous sommes beaux et poétiques dans les costumes d'époque". Public Le commun du public, hommes vulgaires et sans passion, qui ne vont jamais au bout de leurs désirs, récusent le drame romantique car ils veulent lui plaquer leurs émotions et leurs passions et y verront une exagération de leur passion. Ne seront donc touchés par le théâtre romantique

les tragédies raciniennes l’amour est la passion tragique par excellence, ainsi nous retrouvons dans Manon Lescaut du début jusqu’à la fin un héros qui ne se lasse pas d’aimer sa maîtresse,qui garde la constance de son attachement même en négligeant ses nombreuses infidélités. Des Grieux est frappé par ce ‘coup de foudre’ dès sa première rencontre avec Manon, tombé tout de suite après dans les pièges de cette passion qui à la fin se révèle destructrice, un amour passionnel qui passe par le regard

actes avec différentes scènes. «On ne badine pas avec l'amour» fait partie du genre théâtral. Le registre littéraire est dramatique car il y a enchainement d'actions également tragique puisque l'oeuvre contient les champs lexicaux des passions destructrices mais dans le dernier acte il s'éloigne du genre sous l'influence du drame romantique avec la présence de l'échec et de la mort. . Les thèmes principaux de l'oeuvre sont l'amour, la haine et la jalousie. Le problème abordé par l'oeuvre

Par tradition et, d’ordinaire, par nécessaire interne, le dénouement d’une tragédie est sanglant. Accidents, assassinats, suicides : le héros meurt victime de la vengeance des dieux, de la haine des hommes ou, chez Racine surtout, des effets d’une passion délétère (Andromaque par exemple). Or dans Bérénice, aucun des deux protagonistes ne meurt. Bien plus, Bérénice affirme, à la fin de la tirade qui s’adresse à Titus : « Je vivrai ». Annoncés par le rythme ascendant des deux vers précédents, et détachés