La Peine De Mort Est Dissuasive

L’ABOLITION DE LA PEINE DE MORT DANS LES PAYS MUSULMANS : ENGAGER LA RÉFLEXION par Bélaïd MERABTI Doctorant à l’Université de Paris I (Panthéon-Sorbonne) Avocat au barreau d’Alger PLAN Introduction I) L’évidente subornation A) Une interprétation dépassée des normes islamiques 1) Les infractions de Houdoud a- Le brigandage et l’insurrection armée b- L’apostasie c- L’adultère 2) Les infractions de Kissas 3) Les infractions de Ta’azir B) L’opinion publique favorable 1) Protection efficace … 2) … ou

Séance 3 l’époque des Francs (Mérovingiens et Carolingiens)Mérovingien carolingien Rappel : l’effondrement de l’empire romain au 5eme sicle est le fruit d’une série de phénomène. Invasion/ échec modèle économiqueL’empire avait tellement décliné que le chute de Rome en 476 passa inaperçu pour les contemporains, les historiens. Depuis que Rome a été pillé en 410 l’empire n’est plus que l’ombre de lui-même, son armée ne vaut plus rien, la société romaine est devenue une notion anachronique. Ainsi

pourquoi un comportement va-t-il devenir une infraction ? Au nom de quoi une société, un Etat va ériger des comportements en infraction ? A cette question, le droit pénal apporte une « réponse en creux ». Pourquoi tuer quelqu’un serait associé à une peine de 30 ans ? Le viol 15 ? Etc. Derrière les infractions pénales, apparaissent un certain nombre de valeurs que le législateur, l’Etat, la société estiment des valeurs essentielles qu’il est impératif de protéger. Quelles sont ces valeurs ? La vie humaine

La peine de mort et le droit international La question de la peine de mort n’a été considérée que tout récemment comme une question relevant du droit et des relations internationales. Tout d’abord, d’un point de vue purement formel, il s’agissait d’une question relevant de l’ordre interne des différents Etats, maîtres de déterminer leur politique pénale et la hiérarchie des peines inscrites dans leurs codes. La notion de domaine réservé s’appliquait ainsi sans hésitation à ces « affaires

condamné-e-s et réincarcéré-e-s dans les cinq ans suivant leur libération »), c’est bien parce que les conditions de détentions ne sont pas suffisamment dissuasives. Certains estiment même que les peines de prison ferme prononcées sont trop souvent entachées de laxisme d’où l’idée des « peines planchers », par exemple. Les décisions de remise de peine font de plus en plus l’objet de contestation et d’opposition alors que cette surpopulation carcérale, à laquelle se trouve confrontée aujourd’hui nos

ne peuvent toucher en aucun cas. Le roi a le droit de gracier à son gré un condamné à mort. Les infractions aux lois équivalent en quelque sorte celles de l’autorité du monarque qui, à son tour, ne manquera pas de prendre la revanche. Une autre explication : les souverains et les hauts fonctionnaires dans l’antiquité croient opiniâtrement en effet exemplaire du supplice, c’est pourquoi les exécutions de la peine capitale avaient toujours lieu sur les places publiques, d’où la nécessité de dresser

justice va se rendre au sein de la famille. C’est le pater familias qui va décider de la sanction et de la réparation. Dans les sociétés les plus primitives, le pater familias avait tout pouvoir pour rendre la justice, également le pouvoir de vie ou de mort.  • L’auteur de l’infraction et la victime appartiennent à deux familles différentes. Il va donc y avoir deux paters familias à s’occuper de l’affaire. Dans ces cas-là la justice pénale va passer par l’exercice de la vengeance privée. La famille

Cours de morale La Justice La peine de mort : Justice ou vengeance ? 1 La cité et la loi Degré d’orientation - 1ère année – Module II A.R. Charles Rogier & Lucie Dejardin Professeur : M. Fischbach Cours de morale Sensibilisation Regarde ces images Que signifient-elles pour toi ? Quels mots te viennent à l’esprit quand tu penses à la peine de mort ? Peine de mort 2 La cité et la loi Degré d’orientation - 1ère année – Module II A.R. Charles Rogier & Lucie Dejardin Professeur

plus de personnes se plaignent de vivre face à des pressions quotidiennes, voire de harcèlement dans leur travail. Depuis son entrée en vigueur, en mars 1994, la loi Neiertz se révèle, à l'usage, restrictive, parfois décourageante, mais sans doute dissuasive. Elle prouve, au- delà du libertinage à la gauloise, à quel point les femmes continuent à être soumises, dans certains milieux ( la confection, le nettoiement, les grandes surfaces, les administrations territoriales, l'hôtellerie) à des rapports

parlementaires à reprendre toute la procédure législative lors de la session suivante. A titre d'exemple, Georges Bush n'a pratiquement pas fait usage de son droit de veto mais il a menacé à 40 reprises de l'utiliser: c'est donc un mécanisme d'arme dissuasive. Il suffit de menacer de l'utiliser pour arriver à des compromis. Georges Lauvaux, dans son ouvrage "Démocraties contemporaines" classe les Etats-Unis comme une démocratie de consensus car la mécanique institutionnelle incite les acteurs à négocier