La Peine De Mort Est Elle Une Peine Injuste

action qui rompt le quotidien. Gradation au début anonymat elle est présenté sous sa beauté et non son nom Epoque des mariages arrangés, emploie du superlatif « une des plus grandes » le mot héritier fait référence a son statut social « son père était mort jeune » histoire classique d’une tragédie Narration de « pendant cette absence » Dénonciation du système éducation des filles, elles sont ignorantesElle lui apprend le sexe et la vraie vie et lui montre les divertissements extérieurs, elle l’ouvre

Wikipedia. DOCUMENT 1 : CORNEILLE : Médée Acte V, sc.6 (1635) Corneille met en scène la fureur vengeresse de la magicienne Médée envers Jason, le père de ses deux enfants qui l’a répudiée pour épouser Créüse, la fille du roi Créon. Après avoir causé la mort de ces derniers, Médée annonce à Jason le meurtre de leurs deux fils. Médée, en haut sur un balcon. Lâche, ton désespoir encore en délibère ? Lève les yeux, perfide, et reconnais ce bras Qui t’a déjà vengé de ces petits ingrats ; Ce poignard

leur enfermement permanant dans ce lieu si sale qui nuit à leur santé « la cendre est sur leur joue » (vers12), l’adjectif « cendre » est un symbole de la mort cela évoque donc l’état inquiétant des enfants qui traduit les conséquences physiques de ce travail. Au vers 13 « il fait à peine jour, ils sont déjà bien las », l’antinomie entre « à peine jour » et « déjà bien las » décrit la fatigue des enfants qui sont enfermés dans une destinée sans rien maîtriser à leur destin. Les enfants sont également

n'est plus. Tout a changé de face Depuis que sur ces bords les dieux ont envoyé La fille de Minos et de Pasiphaé. THÉRAMÈNE J'entends: de vos douleurs la cause m'est connue. Phèdre ici vous chagrine et blesse votre vue. Dangereuse marâtre, à peine elle vous vit, Que votre exil d'abord signala son crédit. Mais sa haine sur vous autrefois attachée, Ou s'est évanouie, ou s'est bien relâchée. Et d'ailleurs quels périls vous peut faire courir Une femme mourante, et qui cherche à mourir ? Phèdre

victime : lui rendre le bien qu’il lui a pris, avec les intérêts. Fondamentalement, la justice n’est pas punitive (il faut punir le coupable) mais réparatrice : le coupable doit réparer sa faute. Ex. peine de mort qui s’appuie sur la justice punitive. Or, comment le coupable pourra réparer sa faute, une fois mort ? Intérêt : la justice est comprise comme une norme. Il y a de l’injuste parce que l’injuste est jugé % une norme, la justice. Il n’y a d’infraction que parce l’action juste est déjà définie

lors de son procès qui déboucha sur sa condamnation à mort. Cette défense se déroule en trois parties, ayant toutes un lien direct avec la mort. Socrate se défend devant les juges, mais aussi devant toute la cité d’Athènes. Il répond aux trois chefs d'accusation déposés contre lui : corruption de la jeunesse, impiété, et introduction de nouvelles divinités dans la cité. Il y eut 30 jours d'intervalle entre la condamnation de Socrate et sa mort, pendant lesquels il resta enchaîné dans sa prison. Ses

nouveau. Cependant, il existe une deuxième fin. Nous apprenons l'identité du narrateur qui n'est autre que Rieux. Il a donc été le témoin et un grand acteur tout au long de la peste mais, se révèle impuissant face à elle, face à la souffrance et à la mort. Il a tenu une chronique pour relater les évènements de façon objective. Il y a donc deux dénouements, le dénouement de l'histoire mais aussi un dénouement morale. 3/ Présentez chacun des personnages : Rieux, Tarrou, Cottard et le Père Paneloux

dont il ne verra pas le dénouement tragique. Le 4 Janvier 1960, il trouve la mort dans un accident de voiture. II- L’ŒUVRE CAMUSIENNE 1-La pensée camusienne « Le sentiment de l’absurdité au détour de n’importe quelle rue peut frapper à la face de n’importe quel homme ». Selon Camus, la société est sans valeur et fait vivre des homme dans la répétition mécanique des gestes quotidiens qui mènent inévitablement vers la mort .D’où, ce n’est pas le monde qui est absurde en soi mais la relation que l’homme

temps n’est plus. Tout a changé de face Depuis que sur ces bords les dieux ont envoyé La fille de Minos et de Pasiphaé. THÉRAMÈNE J’entends : de vos douleurs la cause m’est connue, Phèdre ici vous chagrine et blesse votre vue. Dangereuse marâtre, à peine elle vous vit, Que votre exil d’abord signala son crédit. Mais sa haine sur vous autrefois attachée, Ou s’est évanouie, ou s’est bien relâchée. Et d’ailleurs quels périls vous peut faire courir Une femme mourante, et qui cherche à mourir ? Phèdre,

17 LA DÉNONCIATION DU SYSTÈME PÉNITENTIAIRE DANS LE DERNIER JOUR D’UN CONDAMNÉDE VICTOR HUGO Uğur YÖNTEN1 Résumé Le Dernier Jour d’un Condamné est l’histoire des horreurs et des souffrances d’un condamné à mort qui passe ses six dernières semaines dans une prison. Ce condamné dont on ne sait pas le prénom ni le crime qu’il a commis, rend le lecteur au courant de ce qu’il vit, de ce qu’il fait et de ce qu’il voit dans la prison de Bicêtre. Le roman devient ainsi le récit de ses témoignages