La Peine De Mort Ironie

soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Octobre 1870.  Introduction : Contexte: guerre 1870 Découverte progressive cadre-dormeur-cadavre Dénonciation guerre et mort Ironie du sort tragique: mort, apparence de vie Pathétique: jeune homme / mort Etude linéaire: on suivra la découverte progressive du dormeur du val.     Premier quatrain  le val trou, val évolution/précision caractérisation progressive du lieu 1ère phrase 12+12+2 longue phrase

Personnages le condamné à mort : nous ne savons ni son nom ni ce qu’il a fait pour être condamné a mort. Il a très peur et il voudrait être sauvé par la grâce du roi, mais il sait que cela est impossible. Il semble s’être repenti pour ce qu’il a fait. Il est jeune, sain et fort, il a une bonne éducation (il cite des phrases en latin au concierge qui lui permet de faire la promenade une fois par semaine avec les autres détenus, chap. V ; second tome des voyages de Spallanzani dont il lit quelques

les combats de Voltaire et d’Hugo, l’un contre la torture et l’erreur judiciaire (affaires Callas, Sirven,La Barre, Traité sur la tolérance), pour la justice, la tolérance et la liberté de penser, l’autre contre la colonisation, l’esclavage, la peine de mort, la pauvreté … Mais pour Debussy, en revanche, Il faut deux noires pour une blanche : ces vers ne sont pas seulement une référence musicale au fait qu'il faut deux notes noires pour égaler la durée d'une note blanche mais ils font référence

rapporter les dérèglements physiologiques produits par | |Marqueurs temporels : « Le soir de ce même jour », « Et déjà on |la peste : dimension réaliste du texte. | |l’appelait ailleurs » ; « En quelques jours à peine… » |Crescendo dans la maladie, aggravations. | |Figures de style | | |Comparaisons : « comme

et la mort Dès qu'il entre dans le prétoire, Socrate sait qu’il s’agit d’une cause perdue. Pour que ses juges l'acquittent, il faudrait qu'ils fussent philosophes avant que citoyens. Même s'il déployait un torrent d'éloquence, Socrate ne pourrait pas échapper à la condamnation - d'où ce premier discours, cette première plaidoirie "non-coupable" assez maladroite, au déroulement peu clair, et aux arguments d'une efficacité contestable. Cependant, Socrate pourrait peut-être échapper à la peine capitale

littéraire. Les substantifs « souffrance », « douleur », « malheur », les nombreux adjectifs subjectifs exprimant la torture morale de Mme de Rênal rattachent ce texte au registre pathétique. On ne peut parler de tragique car ce délire n'entraîne pas la mort et le texte ne montre pas le personnage aux prises avec le destin mais plutôt avec lui-même et avec ses propres idées. Il ne s'agit pas non plus de lyrisme car le personnage parle peu de lui, c'est le narrateur qui restitue ses sentiments comme s'il

par ses questions l'absurdité de ce principe et n'a de cesse de répéter que lui reconnaît ne pas posséder cette connaissance pour laquelle se font payer les sophistes (« c'est un fait ,Athéniens, ce savoir je ne le possède pas »). En parlant avec ironie des méthodes d'enseignement de certains de ces sophistes, comme ici Georgias, Prodicos ou encore Hippias (« j'admets pourtant que c'est une belle chose que d'être en mesure de transmettre un enseignement […] les fréquenter, eux, en leur donnant de

dell'arte. En bref, le thème de la pièce est lancé. Une ambivalence Sorte de parallélisme (Arl. répète à la forme affirmative) → c'est une forme d'invers° (Arl. assume son destin contrairement à Iphi.) → façon d'obéir à son maître avec une certaine ironie. "Nous" exprime un rapport d'égalité, un même péril. L'interrogat° d'Iphi. souligne sa détresse : le valet prend alors la forme du confident + importance donnée au lieu (déictique : cette île) → sorte de clin d'œil au spectateur. À travers le mot

et d’un chat (faut-il y voir une allusion à Tom et Jerry ?). Ces animaux se comportent par ailleurs comme des êtres humains qui ressentent des émotions et sont capables de s’exprimer au travers d’un langage commun, en l’occurrence humain. Après la mort de Chloé, l’explicit place au second plan les humains pour laisser place aux animaux, notamment à la souris qui, tout à tour confidente, conseillère et amie, suit Colin dans les moments heureux et malheureux de son existence. Toutefois, nous verrons

Incipit perturbant, qui ne remplit que très partiellement la fonction informative et va brouiller les repères énonciatifs. Mélange de registres et de genres. Incipit déceptif mais volontaire avec la parodie de scène de rencontre amoureuse avec une ironie décapente/mordante. Le personnage féminin normalement idéalisé est décrit de manière subjective et dévalorisé. Mais incipit intriguant et qui pousse le lecteur à poursuivre sa lecture -> veut savoir comment va évoluer tout ça. Incipit programmatique