La Peine De Mort Ironie

l’environnement dans lequel elle vit. La beauté de la nature la rend heureuse de vivre. Bipolarité : La narratrice passe d’un extrême à l’autre. Elle semble émerveillée par la nature puis semble enragé par son mari. Elle a un trouble de l’humeur qui a causé la mort de son marie. On voit la bipolarité dans la lettre lorsque que la narratrice varie d’un sujet à l’autre. Hypersensibilité / Exagération des sentiments : Le narrateur éprouve plus de tristesse, de colère, de joie qu’une personne normal. Par exemple

erre misérablement quand il est repéré par deux recruteurs qui se jouent de sa naïveté et l’enrôle dans l’armée des Bulgares. Hélas pour lui, il déserte le camp sans s’en rendre compte et donc est condamné à mort par l’armée bulgare ;mais il est gracié par le Roi au tout dernier moment. A peine guéri de ses coups de fouets, le voilà livré à une bataille. C’est la bataille et la description que Voltaire nous fait de cette bataille que nous allons étudier. Il serait intéressant de voir comment, dans

dernier jour d’un condamne , publié en 1829. Genre : Récit à la première personne ; adoption des techniques de l’autobiographie, le journal intime en particulier. Thèmes :La peine de mort / La peur / la haine / la religion / la violence contre les prisonniers / l’injustice / la justice Personnages : Le condamné à mort / Les geôliers / Sa fille / Sa femme et sa mère / Le prêtre. / La foule Lieux : Les grandes prisons de Paris : Bicêtre, la Conciergerie et l’Hôtel de Ville. Enonciation, focalisation

européen. Il pourra commencer à la mort de Louis XIV (1715) et trouvera son aboutissement à la révolution de1789. * Montesquieu, d’Alembert, Diderot, Voltaire, Marivaux, La Bruyère * Vient d’un désir des auteurs d’éclairer le peuple. Le Moyen-âge époque d’obscurantisme, lumières éclairent le peuple mais pas d’illumination divine. * Vision manichéenne du monde : peuple obscur ignorant # connaissances * Combat des lumières : * Contre la peine de mort, torture * Pour la séparation

L’euthanasie, est la définition d’un acte qui, peut être appelé noble par certain et indigne par d’autre, nécessitant courage et volonté et qui est en effet la provocation de la mort d’un souffrant incurable. Beaucoup d’entre vous sont soit pour, soit contre, mais la plus part ne savent pas vraiment pourquoi, guidé par la délicatesse de la morale qu’exerce la société sur nous, ignore les réponses. A mon avis, je suis totalement pour. Soumis à leur destin, ces souffrants n’ont aucun

vraiment dommage : « Quel dommage et quel grand malheur [...] », « […] voyez comme le hasard me contrarie ! », « Moi qui allais l'aimer ». Octave intrigué par ces paroles demande a Marianne de certifier ses dires : « En vérité ! » Elle continue son ironie par un « Oui » puis elle jure « Sur mon âme » en expliquant que si il avait persisté dimanche au plus tard elle aurait été sienne « ce soir ou demain matin, dimanche au plus tard, je lui appartenais ». Elle le critique au passage en disant que son

caserne au front, de l'artillerie à l'infanterie. Cette découverte progressive se marque nettement dans ses lettres, elle se reflète dans son oeuvre : Ah! quelle autre vie celle des fantassins que celle des artilleurs. Ceux-ci font à peine la guerre. Une vraie idylle à côté du drame nu et profondément fatal de la guerre de première ligne. [...] En réalité aucun écrivain ne pourra dire la simple horreur, la mystérieuse vie de la tranchée. Mais assez sur cette froide et blanche

modeste. Elle s’attache facilement aux personnes de son entourage, surtout aux enfants. Elle n’aime pas faire le mal, elle est très douce. Elle travaille beaucoup pour peu d’argent, elle a peu d’exigences dans la vie. Flaubert lui a donné ce prénom par ironie, car Félicité (prénom qui signifie « bonheur ») a en fait été très malheureuse dans son enfance, en tant que fille de ferme maltraitée. Cependant, sa naïveté et sa bonté naturelle lui permettent de se croire heureuse. Cette nouvelle est agréable

-> orgueil =/ amour -> sortir milieu paysan· · Mouvement 2 : « S’applaudir de son courage » : hyperbole ironique auto satisfaction de J -> visite amour : acte bravoure (= moquerie narrateur)· « contrainte » + « pénible au » : lexique corvée = ironie -> décalage réalité objective =/ réalité de J · « Ronflement » = terme trivial ->décrédibilise comique ennemi (vaudeville ?)· « Mais, Grand Dieu ! Qu’y ferait-il ? » : discours indirect libre + ponctuation forte ->peur + désarroi = naïveté

Le poème Notre vie a été écrit le jour de la mort de Nusch, sa compagne depuis 17 ans. C'est donc un drame personnel qui a été à l'origine de l'inspiration d'Eluard. On l'aperçoit dès le premier vers mais on en connaîtra la cause que dans le poème proprement dit. On la voit avec "nous ne vieillirons pas ensemble" "mais". A la dernière strophe on voit que le dialogue a été interrompu car les pronoms "tu" et "nous" ont été remplacés par "je". Dans la dernière strophe la syntaxe n'est plus élaborée