La Pensée Sauvage Levi Strauss

découlent majoritairement de notre milieu social.)  -> Les croyances religieuses sont expliquées par les sciences humaines. Contrairement à d'autres philosophes qui affirment que la religion, les mythes et la pensée scientifique sont distinctes (comme Levi Strauss dans "la pensée sauvage"). Mais scientifiquement les hommes ont besoin de mythes et de religions pour se construire car ils ont une "morale"...Sans s'auto répondre à leurs questions ils ne pourraient pas avancer, évoluer.  Le mythe reste

recherche des causes et explications -Le style de Léry est significatif de sa volonté d’informer. D’où des phrases longues, truffées de parenthèses explicatives (volonté d’être clair dans ses propos). -Tentatives d’explications sur la bonne santé des sauvages, 1 ère cause : « Le bonheur et la bonne température de leur pays », 2. Ils écartent les soucis « des choses de ce monde » (aspect psychosomatique * chez les européens). * psychosomatique : symptômes de maladies dues au moral. 3 ème cause : pureté

La nature· Environnement · Le vivant/instinct/la sensibilité  · Origine/création· L’essence · Sauvage · Nature -> objet de connaissance Etymologie :Latin -> natura (=l’ensemble de ce qui est) -> nascorGrec : physis : physiqueNature :Sens 1 : C’est un principe actif souvent personnifié qui anime et organise l’ensemble des choses selon un certaine ordre.Sens 2 : L’ensemble des caractères, des propriétés qui définissent un être, une chose concrète ou abstraite.L’artifice : Ce qui est du à la

vivre, d'agir, c'est elle qui est la cause de l'aspect essentielle de l'homme mais c'est aussi elle qui l'enferme dans une case. En créant des groupes plus ou moins restreint qui partagent certains points communs on développe, selon Claude Lévi Strauss, l'ethnocentrisme. Ce concept ethnologique affirme que l'être humain va avoir tendance d'un coté à surestimer et privilégier le groupe racial, géographique etc auquel il appartient, de l'autre côté il va avoir des préjugés envers les autres peuples

Dans les années 30, C Levi Strauss, L. Frobenius, Marguerit Nied, forment une nouvelle approche anthropologique, et montrent que l'on ne peut pas comparer une culture à une autre. La culture est l'ensemble des réponses apportées aux contraintes de la nature. La pensée, avant 1930, considérait trois états: les peuples civilisés, occupant le territoire greco latin et judeo chretien, les barbares, pas totalement inhumains, occupant le pourtour méditerranéen, et les sauvages, au delà de ces limites

tolérance des Amérindiens, très proche de la nature. Au contraire, les Européens, définis comme « civilisés », ne connaissent pas toujours la vérité, preuve qu'une vie naturelle ne nous amène pas forcément à une ignorance totale. C'est le mythe du bon sauvage. Ensuite, nous pouvons voir que la société actuelle présente des inégalités entre les individus. Rousseau, par exemple, regrette que le progrès technique et matériel rime avec le progrès des inégalités. Ce dernier vante l'état de nature, où tout

pluridisciplinaire nous donnerait d’autres clés pour regarder les espèces (l’homme inclus dans cette approche) et leurs relations Descola par exemple démonte ce qu’il appelle « l’échafaudage » de l’opposition nature (plantes, animaux) et culture dans la pensée moderne européenne. Pour mieux souligner la différence de leurs propriétés dans les autres régions du monde. Du coup les classifications de nos sciences de la nature, se verraient casser par une autres possibilité de classement Descola explique qu’une

essentiellement le fait de l'homme. Au sens commun la Nature regroupe : * l'environnement biophysique, l'habitat et les milieux dit naturels (terrestres), aquatiques ou marin ; préservés (à forte naturalité) et dégradés ; * les paysages sauvages, les paysages aménagés et altérés * les « forces » et principes physiques, géologiques, tectonique, météorologique, biologique, l'évolution qui constituent l'univers et celles qui animent les écosystèmes et la biosphère sur la planète Terre;

ou des valeurs qui doivent être préservées et transmises à ceux qui nous survivront. Cela dit, une difficulté se pose. La socialisation implique que nous recevions les pensées des plus âgés comme autant d’évidences. Les idées que nous reprenons sont finalement des préjugés car, même si elles sont justes, nous ne les avons pas pensées par nous-mêmes. Il y a également le risque que la vision du monde diffusée par notre culture d’origine nous ferme aux autres approches. [Transition] La découverte des

indigènes, mais également l’opportunité d’être visible sur le plan politique. L’influence de la mythologie sur les sociétés est fortes, de nombreux anthropologues analysent en priorité les mythes afin de comprendre et d’analyser une société. Claude Levi-Strauss explique concernant la société Murgin, une tribu Australienne étudié par Lloyd Warner, que le mythe rend compte de l’organisation de la société. Il explique cela après avoir démontré que le mythe fondateur de cette société, avec comme personnage