La Peste Acte 2

-Roméo et Juliette est une tragédie d’abord par son titre et par sa structure : 1-Titre complet : la très excellente et très pitoyable tragédie de Roméo et Juliette . 2-Sa structure : Elle commence par un prologue (comme les tragédies antiques ) qui se présente sous la forme d’un sonnet dit par un personnage ; il annonce la tragédie, signalant au public que le spectacle va commencer . Tous les éléments d’une tragédie y sont énoncés: la fatalité qui prend ici la forme d’une rivalité ancestrale

nombreux, ils se partagent la souverraineté, (pas un mais plusieurs), ils intéragissent parfois avec les hommes- Installer un sanctuaire determine le territoire des cités, ils élaborent les sanctuaires urbains, et les sanctuaires loin dans la campagne (=acte pour la cité d'appropriation du territoire)- Un sanctuaire ne s'installe pas n'importe ou, ils s'installent dans des endroit ou s'entend la présence divine (près d'une source, d'un bois, d'une montagne), on va isoler cette portion de territoire qui

A) Une ville dégradée 1) Par des valeurs perdues 2) Par le vice et la tyrannie 3) Par image maternelle endommagées B) Une ville symbole du pouvoir 1) Excès, fastes et soumission I) La ville de Florence, un personnage à part entière A) Florence, lieu principal de la pièce. • En effet, Florence est présente dans 32 des scènes de la pièce et excepté Venise, lieu de mort du héros au dernier acte, la ville de Florence constitue le décor ou se déroule donc la

sentiments inavouables dont il peut éprouver secrètement au fin fond de lui. Plus largement, la catharsis consiste à se délivrer d'un sentiment encore inavoué. D’après les théoriciens, le théâtre est une valeur morale, une fonction importante. 2) Les représentations dominantes de la « katharsis » Il existe deux dominantes de la « katharsis » : sur l’enjeu de la purgation et sur la cause de la purgation. La première s’agit dans un cas de s’appuyer sur la morale, et dans l’autre sur l’esthétisme

ACTE I : Scène 1 : Sganarelle apprend à Gusman, écuyer d'Elvire, la réalité sur Don Juan : c'est « le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté » (p. 12), « un épouseur de toutes mains ». Scène 2 : Sganarelle fait comprendre à DJ que sa vie n'est pas normale et que « les libertins ne font jamais une bonne fin » (p. 19). DJ avoue avoir quitté Elvire après avoir rencontré un couple tout juste marié dont il est jaloux et désireux de la femme. Il prévoit de l'enlever lors d'une balade en bateau

trouvé l'enfant agonisant et l'aura délivré par compassion. Il est donc hautement significatif que le mythe d'Œdipe ait été popularisé comme l'histoire d'un fils qui tue son père, alors que les faits montrent exactement le contraire. La mise en acte de la violence paternelle. Œdipe grandit et des rumeurs laissent entendre qu'il n'est pas le fils de ses parents. Il presse Mérope de lui dire la vérité, mais les réponses de cette dernière sont énigmatiques. Il consulte alors la Pythie de Delphes

1775, le philosophe autrichien Joseph Von Sonnenfels publie « Sur l’abolition de la torture », adopté comme fondement de la réforme du code pénal en cours en Autriche. A la base de l’écriture il y a aussi des faits historique et autobiographiques : le 2 Janvier 1776 Marie Thérèse d’Autriche abolit la torture dans la procédure pénale, mais le Sénat milanais, par Gabriele Verri, père de Pietro et membre de l’oligarchie nobiliaire conservatrice, s’y oppose. Comme il témoigne l’échange épistolaire entre

Devoir de Français n°5. 1. Questions : 1. Le corpus comporte 4 textes : - Texte A : Jean Racine, Britannicus, Acte II, scène 2. (1669) - Texte B : Victor Hugo, Hernani, Acte II, scène 1. (1834) - Texte C : Alfred de Musset, Lorenzaccio, Acte IV, scène 9. (1834) - Texte D : Anton Tchekov, Platonov, Acte II, deuxième tableau, scène 1. (1879) Tous ces extraits de pièces ont comme sujet le Rapt amoureux, cependant il existe des différences entre les textes sur

menace (I, 2). Réprobation morale : Sganarelle est scandalisé par l’impiété de Don Juan, son irrespect des valeurs traditionnelles (mariage, morts…). Il essaie de lui faire prendre conscience du danger qu’il y a à vivre en dehors des lois sociales et morales. En fait, on peut penser qu’il a de l’affection pour son maître et que c’est pour cela qu’il l’avertit : il voudrait le sauver : « Ah ! Monsieur, que j’ai de joie de vous voir converti (…) voilà tous mes souhaits accomplis » (V, 2). Il y a

'exposition : Acte I, scènes 1 et 2 − L'entrée d'Harpagon : Acte I, scène 3 − Le conflit Euclion et Strobile, Acte IV, scène 5; La Marmite, Plaute (étude comparative) − Les scènes de conflits : Actes I, 3 et 4 ; II,2 ; III, 2 ; IV,3 et 5 (extraits) − Les procédés pour faire rire : Actes I, 3 et 4 ; II, 1 et 5 ; III, 1et 5 (extraits) − Le monologue d'Harpagon : Acte IV, scène 7. − Le monologue d'Euclion, Acte IV, scène 9; La Marmite, Plaute (étude comparative) − Le quiproquo et le dénouement : Acte V, scènes