La Peur de l'avion

Niveau 4 AM Texte : C’est la fin du de troisième trimestre. A la remise des notes, certains élèves montrent beaucoup de joie et de satisfaction ; sur le visage des autres se lit la peur. Tout au long des deux trimestres, Karim ne s’est jamais préoccupé de son travail : il ne faisait jamais ses devoirs et n’apprenait pas ses leçons ; c’est pourquoi il n’a obtenu que de mauvaises notes un terrible châtiment l’attendait :

jours. Jeremy n’a donc pas dormi chez eux ce week-end. Le téléphone de Sebastian vibra dans sa poche. Il regarda l’écran : c’étaient les types de Farasio qui devaient s’inquiéter pour l’expertise de leur violon. – Là, j’ai vraiment commencé à avoir peur, enchaîna Nikki. J’ai voulu aller au commissariat, mais… je n’étais pas certaine que les flics m’auraient prise au sérieux. – Pourquoi ? – Pour être honnête, ce n’est pas la première fois que Jeremy découche… Sebastian soupira. Il tombait des nues

petit village perdu à la lisière du désert du Tharthar, et avec lequel Ajatashatru avait élaboré ses premiers tours de passe-passe et aiguisé son envie de devenir un jour fakir. Il avait un peu ressenti le même sentiment d’extraordinaire en prenant l’avion la veille. Le voyage avait été une expérience incroyable pour lui qui n’avait jamais décollé du plancher des vaches (sacrées) plus haut que ce que le mécanisme habilement dissimulé sous ses fesses le lui permettait lors de ses nombreuses lévitations

sans cesse en mouvement, essayant toujours de toucher les yeux. Cependant nous avons prêté très peu d'attention et attaché très peu de signification à ce fait, que nous attribuions purement et simplement à la nervosité du sujet. Un jour que nous l'avions hypnotisée et que nous parlions de choses qu'elle avait faites dans un précédent état d'hypnotisme, c'est-à-dire de choses qu'elle avait dites ou faites dans un précédent état où nous la croyions B-II, elle déclara qu'elle ne connaissait pas du tout

profondeurs de l'océan. - Une fois dans l'air, le methane est inflammable et si il entre en contact avec les moteurs d'un avion, l'appareil peut prendre feu.Comme celui que tu viens de voir. VI A peine étaient-ils passé à côté de l'épave de l'avion que Pablo eut la surprise de voir soudain disparaître le sable blanc des fonds marins dans ce qui apparaît comme un trou d'un bleu intense.Il fit venir Marco : - Regarde, c'est magnifique n'est ce pas ? - Oui, je sais ce que c'est je l'ai étudié

notaire de votre oncle monsieur Jelly. Quand seriez- vous disponible ?’ ‘Heu, je peux venir tout de suite à vrai dire’. ‘D’accord, je vous attend au 135 boulevard du Palais Royal 75001 Paris tout proche du Louvre’. Je me lève subitement, mais j’ai peur, peur de croiser cet homme. Mais je n’ai pas le choix, si je ne sors pas maintenant la mort me frappera sur ce fauteuil derrière moi. Cette porte vitrée, synonyme de liberté me tend les bras « Pars, Pars !! » Me murmure-t-elle. Je me lève brutalement

visage jaime rien sur moi RIEN defois je suis tellement jalouse de mes cousine parce que elle sont trop belle claire en plus et moi encore a ma fase de puberte de merde mais j espere que sa passera et que je retouverais ma peau et aussi defois jai peur que mes bouton reste et mes bonton de trace. Bon revenons de ce que je disais sur mon cousin, en fait quand je suis revenue des vacances je me sentais vraiment mal et surtout pour mon cousin parce que jetait tout juste etre proche de lui et c la que

également l'éternelle menace de l'aliénation*, et l'importance de vivre sa propre vie : « Don't be afraid to care » (« N'aie pas peur de te faire du souci »). Ensuite, On the Run(en cavale), partie instrumentale sans parole, dirigé à l’aide d’un synthétiseur. L’action qui se passe dans un aéroport évoque le stress et l'anxiété procurés par les voyages, en particulier la peur de l'avion de Wright. Time (le temps) raconte la manière dont chacun peut diriger sa propre vie. Elle est suivie par un retrait dans

trés breve mais choquante. Le journaliste pris la parole et annonca le discours suivant : " Chers amis terriens , l'heure est grave suite aux conditions météorologiques très instable de notre planète la situation se revèle plus dangereuse que nous l'avions prédit. Nos scientifiques ne donne pas plus de 2 ans aux humains à vivre. Que dieu nous aide ..." et l'image s'arreta ... C'est la que commence mon histoire,mon nom est Edward-46 du secteur ah97 de la ville principale du projet " vivons peu mais

nature s’embellissait et chantait à longueur de journée. Le bonheur est une bulle de savon qui change de couleur comme l’iris et qui éclate quand on la touche. [ Balzac] Chaque jour se ressemblait, mais nous ne nous ennuyions jamais. Nous nous l’avions dans l’eau douce de la cascade. Nous fabriquions des arcs et des lances pour pouvoir chasser… J’excellais dans la chasse à singe. Et Jenny était merveilleusement douée pour attraper les poissons. Je me sentais si bien quand elle venait se blottir