La Piece Montée Bovary

l’interdire ? ») donne à penser soit que le costume de Connart ne présente aucun signe distinctif de sa fonction, soit que Raoulet ne sait pas les identifier. La première hypothèse semble confirmée par le fait que Connart obtempère sans difficulté. Le ton monte jusqu’au geste de la « bousculade » (seule didascalie du passage), devient méprisant et d’autant plus autoritaire que les questions des premiers échanges laissent, chez Connart, une place exclusive aux assertions, pour la plupart impératives (« fuis

Saint Genest de Rotrou, ce pirandellisme avant la lettre qui cherche à dérouter le public en introduisant une seconde scène sur la scène, en faisant jouer au.'C acteurs le rôle de comédiens ou de spectateurs, . en multipliant les décrochements d'une pièce-gigogne qui à la limite se reflèterait indéfiniment elle-même. On a souvent remarqué la parenté de cet effet de composition avec celui que l'héraldique appelle en alryme, et qui provoque une sorte de vertige de l'in.fini. Borges explique ainsi le trouble

absolu dans un individu particulier ». Le Type est un tempérament, un milieu, une passion. Lucien est le type de l’arriviste et du poète raté. Le mouvement | Le réalisme débute avec Stendhal et Balzac et s’impose définitivement avec Mme Bovary de Flaubert en 1850. Ces écrivains engagent le roman dans la voie de l’observation méthodique et objective. Ce mouvement nait du refus du « mensonge romantique » et s’oppose à l’idéalisation de personnages et aux intrigues romanesques invraisemblables

l’écriture afin que celle-ci soit à même de rendre compte du rien, de dire, de construire ce rien. C’est encore à un style élégant mais qui soit, malgré tout, et paradoxalement, capable de traduire la bêtise, que semble aspirer l’auteur de Madame Bovary. Le sublime d’en bas finalement. Personne n’ignore, à cet égard, le travail acharné auquel il s’adonnait, 2 Gustave Flaubert, Correspondance, 4 vols., éd. Jean Bruneau. Gallimard, 1973-98, vol.II, p. 31. Une vie de Maupassant ou « l'écriture

maitresse de maison. Le terme apparait à l’époque. -Au XIXe essor du stéréotype de la femme au foyer, modèle normatif. Elle ne doit donc pas travailler mais pour autant son emploi du temps doit être surchargé. Il ne faut pas qu’elle soit oisive (Emma Bovary, Flaubert). -On développe des maximes « Une place pour toute chose, chaque chose à sa place ». Les femmes doivent se lever de bonne heure, les premiers journaux féminins publient des emplois du temps type de la femme. Aucune place à la fantaisie

d’Oreste, Sartre indique à la France soumise aux fascistes la nécessité et la difficulté de choisir la liberté.  En 1944, Sartre illustre le rôle de la mauvaise foi dans les rapports interpersonnels tels que décrits dans L'être et le néant à travers la pièce Huis clos, expression qui signifie « porte fermée ».  Dans ce drame, Sartre réussit le tour de force de faire de chacun des trois personnages simultanément le bourreau et la victime des autres.  Cette situation paradoxale est rendue possible lorsque

littérature de l’avenir reposera sur une totale liberté de l’imagination. Ensuite, il y a l’influence étrangère. Celle des Allemands, d’abord, à travers Goethe, dont on découvre les Souffrances du jeune Werther (1774) et Faust (1775), et Schiller, avec la pièce Guillaume Tell. Celle des Écossais, aussi, à travers Walter Scott et ses romans historiques (dont Ivanhoé, portrait de l’Angleterre à la fin du XIIe siècle). Celle des Anglais, enfin, à travers nombre de poètes (Percy Shelley, John Keats, Lord Byron

symbolisa très rapidement l'exigence d une esthétique rigoureuse pour la poésie (cf Boileau "Enfin Malherbe vint et le premier en France", Art poétique, Ch. I, v. 131-134) et la forme fixe que représente le sonnet, tout concorde pour faire de cette pièce un monument de recherche verbale plus qu'une expression subjective d'un sentiment personnel. La thématique amoureuse de l'absence ne conduit pas le poète à composer un poème d'un lyrisme plaintif qui exprimerait la désolation d'un coeur bouleversé

de Santillane TEXTE 2 H. de Balzac, Le Père Goriot D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 Rétif de la Bretonne, La Paysanne pervertie ANALYSE D’IMAGE G. Courbet, Un enterrement à Ornans TEXTE 3 G. Flaubert, Madame Bovary D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 D. Diderot, La Religieuse ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE G. Flaubert, Madame Bovary TEXTE 1 D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 HISTOIRE DES ARTS H. de Balzac, extrait du Père Goriot G. Courbet, L’Atelier du peintre E. Degas, Repasseuses H. de Toulouse-Lautrec, La Toilette 145 146 147

Contre les romantiques Henri et les femmes Chapitre II : Balzac, quelle comédie ! La statue de bronze L’ ascension des Balssa Les premiers succès Balzac ennuyeux ? L’étrangère, Ève Hanska… Chapitre III : Flaubert le forçat… Le seigneur viking « Madame Bovary » Journal de création L’immense succès de « Salammbô » « L’Éducation sentimentale » « Bouvard et Pécuchet » Tous contes faits… Chapitre IV : George Sand, quel homme ! Plus de cent livres ! Une maîtresse femme ! Chapitre V : Zola, le reporter Une origine