La Plaisanterie

définition c’est être autonome, assidus, travailleur et avoir un comportement décent et ne pas tutoyer son professeur comme l’a fait Mouss dans le film la journée de la jupe il doit y avoir un respect mutuel omniprésent entre professeur et élève.  La « plaisanterie » présente en 3éme est finie,  maintenant on a grandis et les choses sérieuses commencent à partir de cette année qui nous sera décisive. Les professeurs attendent de nous que nous entrons en maturation, ce n’est pas tout à fait être mature mais

visuel et que vous pouvez vous concentrer sur les mots... rien que les mots. Revers de la médaille, il faudra parfaitement les choisir. Faites preuve de mesure Evitez tout excès. Evitez de choquer. Maniez l'humour avec prudence... parce que la plaisanterie que vous trouvez irrésistible peut choquer un autre auditeur et finalement se retourner contre vous. Un bon spot se distingue des autres dans la mesure où il touche les gens. Vous n'avez pas besoin de les faire rire pour y parvenir. Quel canevas

la cuisine, qu'elle avait caché derrière les livres. Rodolphe s'installait là comme chez lui. La vue de la bibliothèque et du bureau, de tout l'appartement enfin, excitait sa gaieté ; et il ne pouvait se retenir de faire sur Charles quantité de plaisanteries qui embarrassaient Emma. Elle eût désiré le voir plus sérieux, et même plus dramatique à l'occasion, comme cette fois où elle crut entendre dans l'allée un bruit de pas qui s’approchaient. - On vient ! Dit-elle. Il souffla la lumière. - As-tu

peut dater: les Lumières de 1720 à 1770 ; Quand Condorcet souligne que les philosophes prenaient « tous les tons », et qu'ils caressaient « les préjugés avec adresse », on peut penser aux œuvres de : -Montesquieu : qui utilise le ton de la plaisanterie dans les Lettres Persanes, mais aussi un tom moraliste dans l'Esprit des Lois. -Voltaire : qui varie tous les registres, l'ironie, le pathétique, le comique dans Candide, Zadig, son Dictionnaire philosophique. -Rousseau : qui se fait moraliste

actionna l'igniteur d'une chiquenaude et la maison décolla dans un feu vorace qui embrasa le ciel du soir de rouge, de jaune et de noir. Comme à la parade, il avança dans une nuée de lucioles. Il aurait surtout voulu, conformément à la vieille plaisanterie, plonger dans le brasier une boule de guimauve piquée au bout d'un bâton, tandis que les livres, comme autant de pigeons battant des ailes, mouraient sur le seuil et la pelouse de la maison. Tandis que les livres s'envolaient en tourbillons d'étincelles

n'est pas à sa place : - Dans son apparence « Habillé en bourgeois », « gars de la campagne » - En classe : 15 ans en cinquième, « plus haut de taille qu’aucun de nous tous » - Dans ses vêtements : « gêné aux entournures » - Face aux autres : plaisanterie du professeur, complice avec ses élèves qui le trouvent « homme d'esprit », moquerie des camarades. Un patchwork en guise de vêtements : - vêtements hétéroclite : le ridicule de la casquette « Une coiffure d'ordre composite » + énumération

révéler. Son point de vue est illimité. Il désigne les personnages du récit par leurs noms, par des expressions les décrivant ou par des noms de la 3e personne. Exemple : « Le tour du monde en 80 jours ! Avait-il affaire à un fou? Non… C’était une plaisanterie? On allait à Douvres, bien. À Calais, soit. Après tout cela ne pouvait notablement contrarier le brave garçon, qui, depuis cinq ans, n’avait pas foulé le solde la patrie. Peut-être même irait-on jusqu’à Paris, et, ma foi, il reverrait avec grand

- Oui, notre ami est un tendre, mais il est trop seul. Alors il remplit sa vie comme il peut, en jouant des tours aux autres, racontant et imaginant des aventures qu'il n'a pas vécues. Alors, mon cher ami, ne te laisse plus embobiner par ses plaisanteries. Tu es prévenu maintenant, sois sur tes gardes, et ne te laisse pas bouleverser par ses récits. - Oui, maintenant je me méfierai et ne prendrai pas tout à la lettre. Il m'a bien eu ! - Mais ne sois tout de même pas trop dur avec lui, c'est

mots, des impertinences dans le langage, des paroles à double sens, un mélange des niveaux de langue, des répétitions excessives, des malentendus, jeux de mots, calembours, déformations, recours au jargon, aux dialectes. Des jeux de mots, des plaisanteries, un langage déformé ou inventé suscitent le rire Le comique de geste. Par exemple : Dans Les Fourberies de Scapin, Scapin donne des coups de bâton à son maître enfermé dans un sac : les coups qui pourraient être pathétiques deviennent comiques

lamentable des êtres, Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres Vous n’avez que les trois qui forment le mot: sot! Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries, Me servir toutes ces folles plaisanteries, Que vous n’en eussiez pas articulé le quart De la moitié du commencement d’une, car Je me les sers moi-même, avec assez de verve Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.