La Poesie Sublime La Laideur

l'observation attentive de la métamorphose opérée par la lumière du soir sur le vélo.  Cette bicyclette est represente de manière realiste et cest grace au poete que celle-civa etre sublime et va avoir une vision fantastique.La bicyclette se metamorphose dans un animal merveilleux avec une image sublime, celle-ci est fascinante, et a travers du poeme on transforme cet objet commun dans quelque chose exeptionelle grace a la vision du poete.Victor hugo Victor Hugo est un poete est

du XIXe, la poésie serait la pierre philosophale capable de sublimer la matière. Ainsi on retrouve ce thème explicite ou implicite dans de nombreux poèmes : « L'alchimiste » d'A. Bertrand, « El desdichado » de G. de Nerval, « La Nuit de Mai » d'A. De Musset…B) Si l'alchimie au sens propre du terme est une transformation du plomb en or grâce à la pierre philosophale alors au sens métaphorique il s'agit d'une métamorphose de la réalité par un langage particulier. La banalité, la laideur, la souffrance

fécondité des premiers poèmes, cette Vénus anadyomène a les traits d’une femme laide et malade. Nous nous demanderons en quoi ce poème est une parodie dans laquelle Rimbaud cherche, par le jeu d'un langage nouveau, à conduire le lecteur aux marges d'une poésie nouvelle. Notes : * anadyomène : terme d'antiquité. Étymologie : en grec, celle qui sort de l'eau * vert en fer blanc : les baignoires bon marché étaient fréquemment en zinc, peintes en vert * ravaudés : raccommodés * échine : colonne vertébrale

Le laid peut-il être un thème de poésie ?Une question qui semble poser le thème du beau comme constitutif de la poésie, le thème du laid comme antinomique de la poésie…I La poésie et son lien privilégié avec le beau 1) Pour célébrer la perfection de la création (le beau étant lié au vrai et au bien dans la conception platonicienne) : Traditionnellement, dans la représentation antique puis classique, l’idéal poétique

Le beau est à l'origine de la Poésie et demeure important dans l'inspiration du poète 2.On peut évoquer une ''autre muse'' du poéte qu'est la laideur Le beau est à l'origine de la Poésie et demeure important dans l'inspiration du poète. Apollon, Orphée, Dyonisos, ces figures mythologiques du poète ont comme sources d'inspiration première, l'amour, la guerre et la nature ; des thèmes qui, au cours de l'histoire de la poésie, n'ont de cesse de resurgir. La laideur a-t-elle dans ce sens, sa place

l'objet du quotidien n'a eu de cesse d'intéresser les auteurs d'antant et d'aujourd'hui et ce dans tous les genres littéraires. Que ce soit au théâtre avec la pièce intitulée Une vie de chaise sous la plume et le talent de Jacques Rimbert ou dans la poésie avec le receuil de Francis Ponge Le parti pris des choses, l'objet aussi ordinaire soit-il a su s'imposer peu à peu notamment à partir du XIXème siècle. Cependant, une chose si banale qu'est l'objet quotidien peut-il être la thématique centrale d'un

Charles Baudelaire est de choquer. Pour cela, il met en confrontation brutale le lyrisme et la description objective du corps en décomposition. Ainsi, il emploi des termes relativement «crus» et use de lexiques dont l'utilisation est alors tabou en poésie : ceux de la mort et du repoussant.. En effet, Charles Baudelaire fait planer sur son poème une atmosphère morbide, comme nous le confirme des mots tels que «squelette» ou «ossements», et désire ouvertement dégoûter le lecteur. Il l'immerge complètement

/ Et que toujours, avec quelque soin qu'il se farde, / Se trahit l'égoïsme humain » Le poète est alors exilé, éloigné d'une société qu'il rejette et qui le rejette. Il est l'égal du « grand cygne, avec ses gestes fous / comme les exilés, ridicule et sublime ». Dans « L'Albatros », Baudelaire propose une analogie qui confirme cet isolement. « Pour s'amuser, les hommes d'équipage » capturent ces oiseaux décrits comme des « rois de l'azur », devenant soudain « maladroits et honteux » dès lors qu'ils sont

dépréciatif La Vénus est présentée comme une personne vieille : « cercueil » (vers 1), « déficits assez mal ravaudés » vers 4. L'expression « fortement pommadés » (vers 2) suggère des soins de beauté maladroits, incapables de lutter contre la laideur due à l'âge. De plus ce terme oppose le fard et l'artifice à la beauté naturelle, attribut de la déesse. L'allitération en [S] du vers 4 traduit l'amollissement de la chair. Femme sans grâce : « lente et bête » (vers 3). Le terme « bête » peut également

quels sont les différentes réalités triviales et monstrueuses que recoupe le terme de « boue », puis nous montrerons comment le poète transfigure en or poétique cette vile réalité et enfin quels sont les enjeux esthétiques d’une telle conception de la poésie. Développement1re partie : Baudelaire, poète de la boue (c’est-à-dire du réel le plus trivial, qu’il décrit sans concession) 1) La boue comme élément matériel :« Brumes et pluies », « Les Sept Vieillards »Métaphoriquement