La Politique Dans Gargantua

FICHES ORAL FRANCAIS MONTAIGNE, Essais, III, 6, « Des coches » Michel Eyquem de Montaigne est un philosophe et moraliste de la Renaissance né le 28 février 1533 et mort le 13 septembre 1592. Il a pris une part active à la vie politique comme maire de Bordeaux. Les Essais (1572-1592) ont nourri la réflexion des plus grands auteurs en France et en Europe, comme Shakespeare et Descartes ou encore Proust. Contexte historique : Conquista : extermination des indiens sur l’ordre du Pape, avec l’aide

Le texte est un extrait du roman Gargantua de François Rabelais, humaniste du XVIème siècle. Cette œuvre, écrite entre 1534 et 1535, est la suite logique du roman Pantagruel. Ici Rabelais explore la généalogie de son personnage : Gargantua et le père de Pantagruel. Rabelais, malgré une écriture et des situations burlesques, tente dans cet ouvrage, de faire valoir les idées humanistes. Le passage étudié, se trouve au chapitre 31 du roman et relate une discussion, sur le déroulement de la guerre, entre

qu’en participant à une identité collective, le rire façonne la vie sociale. Dans un article récent, Laurence Consalvi rappelle également que le rire ouvre un espace socialisant de rencontres et d’échanges. Les deux autres documents, le prologue de Gargantua de Rabelais et l’affiche du Dictateur de Chaplin, nous amèneront à nous interroger plus fondamentalement sur les enjeux culturels du rire : en répondant à plusieurs exigences existentielles, n’a-t-il pas conséquemment une portée sociale et morale

récit pour donner à cette condamnation de la guerre une portée universelle. a) La mise en cause de la monarchie et de la religion. « tandis que les deux rois faisaient chanter des Te deum chacun dans son camp » .Cette mise en cause des autorités politiques et religieuses est d'autant plus cinglante qu'elle est suivie immédiatement de l'évocation des malheurs du peuple. La juxtaposition des deux tableaux prend une valeur polémique. b) La guerre : s'attaque aux fondements mêmes de l'ordre naturel et

François RABELAIS, Gargantua , « Le Prologue » Mais il ne convient pas d’estimer avec une telle légèreté les œuvres des humains. Car vous dites vous-mêmes que l’habit ne fait pas le moine ;un tel qui sera vêtu d’un habit monacal ne sera au-dedans rien moins qu’un moine, tel autre vêtu d’une cape espagnole n’a pas le courage propre à l’Espagne. C’est pourquoi il faut ouvrir le livre, et soigneusement peser ce qui y est exposé

Personne ne voudrait payer| |la couronne du prix d'un parjure ou d'un parricide, si l'on réfléchissait au poids du fardeau que s'impose celui qui veut vraiment | |gouverner. Dès qu'il a pris le pouvoir, il ne doit plus penser qu'aux affaires politiques et non aux siennes, ne viser qu'au bien | |général, ne pas s'écarter d'un pouce de l'observation des lois qu'il a promulguées et qu'il fait exécuter, exiger l'intégrité de chacun | |dans l'administration et les magistratures. Tous les regards

épanouissement, sa formation en tant qu'esprit libre, ouvert au monde, tolérant et cultivé. Gargantua est le 2ème roman de Rabelais. Cet extrait est tiré du chapitre 44, alors que Frère Jean a fait prisonnier Toucquedillon, capitaine et conseiller de Picrochole, roi belliqueux et ambitieux qui a déclaré la guerre à Grandgousier pour une simple querelle, pour l'amener à Grandgousier, père de Gargantua et roi. Dans ce passage, Grandgousier adresse à son prisonnier un discours plein de sagesse et

distinguent également par le renouveau de leur réflexion politique. Ils sont nombreux à s’interroger sur les meilleures formes de gouvernement et sur la manière d’organiser une société idéale. Guidés par l’idée de la paix et de la tolérance, les humanistes imaginent des modèles politiques nouveaux et originaux. Thomas More, d’origine anglaise, rédige par exemple un texte intitulé Utopia qui invite à réformer la politique et qui initie le genre littéraire de l’utopie. (L’utopie

Lumières se définissent par l’importance de l’analyse critique mais aussi par la connaissance du monde extérieur et de soi-même, et enfin par l’importance de la vertu et de la bonté pour l’amour de l’humanité. Pour les philosophes des Lumières, la politique et la religion étaient des sujets importants. Tout gouvernement devait avoir une loi sur la liberté de religion. Les philosophes des lumières du XVIIIème siècle luttaient contre l’intolérance religieuse, l’injustice et les inégalités, comme les privilèges

trois ordres, ou classes, qui divisent la société? - Les clercs (hommes d’églises), les guerriers (rois et chevaliers) et les travailleurs (agriculteurs et paysans). 4. Qu'est-ce que la féodalité? - Il s’agit d’un système politique dans lequel des terres sont cédées à des seigneurs qui doivent se charger de les protéger des envahisseurs et de les cultiver à l’aide de paysans. 5. Résumez en une ou deux phrases le manichéisme de l'église du M Â. - Le bien et mal