La Politique De Décloisonnement Des Marchés De Capitaux

nous la connaissons aujourd’hui a commencé il y a un siècle et demi. Mais le processus n’est pas linéaire : la Première Guerre mondiale puis la grande dépression des années 1930 suscitent la montée des nationalismes étatiques, une fragmentation des marchés, le grand retour du protectionnisme. La mondialisation n’est plus à l’ordre du jour jusqu’à la Seconde Guerre mondiale. La guerre froide et la constitution des blocs figent ensuite le monde pendant près d’un demi-siècle. Pourtant, la mondialisation

nous connaissons depuis les 1980s n’est pas un phénomène nouveau. Les « économies-mondes » européennes avaient déjà entamé leurs échanges depuis le 16e siècle, dans le cadre du « commerce triangulaire ». Le Siècle des Lumières, les révolutions tant politiques qu’industrielles au 18e siècle diffusent ensuite l’idée de progrès et d’échange. La France et la Grande-Bretagne intensifient leurs échanges ( Crouzet , La guerre

nous appuyer sur la complexité et les transformations de la mondialisation. Nous devons l'analyser sous ses différentes dimensions que sont les échanges de biens et de services, la mobilité de la production de biens et services et la circulation des capitaux financiers. Une problématique oubliée : la mondialisation nécessaire Braudel a montré que l'"économie-monde" existait avant les Etats nations, ce que les économistes inversent dans leur théorie. Les 1ers théoriciens se sont tout de suite rendu

EMF I/ Banques et marchés financiers : un développement conjoint. Les économies ont évolué vers les économies de marché, les marchés financiers partout dans le monde sont extrêmement développés. Les banques se sont développé en même temps que les marché, il y aujourd’hui partout une dépendance très forte entre les banque et les marchés. Dans cette partie, on va poser le grand cadre de l’analyse. II/ Des crises fin aux crises systémiques. Il y a de l’instabilité financière qui peut déboucher

l’économie de marché ou capitalisme. Cette emprise du capitalisme s’est généralisée avec l’écroulement du système soviétique et la disparition de l’économie socialiste (centralement planifiée), par exemple en ex-URSS ou ex Europe Centrale (Gosplan). Là où des régimes communistes subsistent (Chine, Cuba, …), c’est au prix de concessions importantes au modèle d’économie de marché. Dichotomie croissante entre régime politique et système économique. C’est au prix d’un verrouillage politique plus ou moins

CONTRAINTES DE DEVELOPPEMENT DU MARCHE FINANCIER ALGERIEN Chabha BOUZAR Maître de conférences FSEG UMMTO RESUME e marché financier algérien, institué par le décret législatif n°93- 10 du 23 mai 1993, a démarré son activité en 1998. Il a montré un certain dynamisme à ses débuts pour soutenir les opportunités de développement portées par le processus de privatisation engagé par les Pouvoirs publics. En plus d’offrir un choix aux investisseurs institutionnels, il augure un marché de petits porteurs. Cependant

La mondialisation Introduction : 1. Mondialisation : définition, historique et concept : Le terme mondialisation désigne un processus historique par lequel des individus, des activités humaines et des structures politiques voient leur dépendance mutuelle et leurs échanges matériels autant qu'immatériels s'accroître sur des distances significatives à l'échelle de la planète. Elle consiste en l'interdépendance croissante des économies et contribue à l'expansion des échanges et des interactions

peuvent emprunter sur le marché interbancaire soit aux banques débitrices, soit à la banque centrale. * Elles sont freinées par les réserves obligatoires Les banques de 2nd rang déposent sur un compte à la banque centrale au moins 2% des dépôts des clients en monnaie fiduciaire. La BCE (banque centrale européenne) qui se trouve à Frankfort vérifie l’activité des banques de 2nd rang et mène la politique monétaire de la zone euro C’est le gendarme des banques. Politique monétaire Objectif :

les différents aspects du processus d’internationalisation de l’entreprise dans le cadre d’un environnement global, caractérisé par une dynamique générale de décloisonnement de l’aspect géographique, sectoriel et culturel, qui influence le développement des marchés internationaux. Entre l’unité des problèmes à résoudre (accéder sur un marché pour la première fois ou le développer en profondeur, coordonner des opérations de marketing sur plusieurs pays…) et la diversité des situations d’exécutions

impossibilité définitive de faire face à ses échéances. Les investisseurs se détournent de ce genre de pays et ne leur prêtent donc pas leur fond. Cela permet de diminuer le loyer de l’argent. L’investissement étant considéré comme une accumulation de capital, acquisition durable de biens et services, il permet l’innovation, favorise la recherche et permet de moderniser l’appareil productif. Le rendement de l’investissement : ce que rapporte l’investissement qui doit donc être supérieur au taux d’intérêt