La Poésie Espoir

artistique ( peinture , musique …) il est apparus fin du XIX eme siècle . Le termes viens du grec « sumbolon » de « sumballein » qui signifient « jeter ensemble » . Le mouvement symboliste naît d une volonté de rupture avec le naturalisme et la poésie parnassienne. Il se construit en réaction à la vision matérialiste de époque qu il rejette pour y opposer une expression du sens cacher de l univers a travers un symbole , le symbolisme est présenter comme le renouveaux de l idéalisme . Au lieu

la mort, sa finalité : - La mort est définie comme vie = forte opposition : « C’est la mort […] qui fait vivre » - La mort définie comme espoir, comme ivresse : « C’est le seul espoir […] nous enivre » - Forte opposition, Baudelaire utilise la définition de la vie pour l’attribuer à la mort : le champ lexical de la positivité est présent : « vivre » ; « espoir » ; « cœur » ; « clarté ». - La mort est définie comme « clarté », donc comme lumière, alors qu’elle est considérée comme ombre : une mort

Introduction Le thème de l'ailleurs, du départ, du voyage parcourt le 19ème siècle comme l'obsession de la fuite et le refus répété du réel immédiat. Le poème que nous allons étudié, intitulé « Brise Marine », est extrait de Poésies, c’est un poème que Mallarmé écrit dans sa jeunesse. Il est composé de 16 vers en rimes plates. Dans le sillage de Baudelaire, Mallarmé exprime dans un élan lyrique comparable à un envol. Le dégoût du présent et l'appel irrésistible du large, des orages et de l'azur

des règles classiques d’écriture  Création de nouvelles règles (théâtre et poésie)  Exprimer ses sentiments et son mal-être dans les poèmes. Les romantiques ont l’impression de ne pas être a leur place dans la société ( le mal du siècle.) Gérard de Nerval va avoir une existence marquée par deux graves crises de folie après des séjours en hôpital psychiatriques, il se suicide en 1855 Il est l’auteur de recueils de poésie ainsi que des recueils de nouvelles (Les filles du feu) Dans ses œuvres, il

Gautier, et de Poèmes antiques, de Leconte de Lisle. Ici, deux conceptions de la poésie s’affrontent : celle d’Hugo, qui en fait un brûlot, une arme politique, et celle de Gautier et Leconte de Lisle, qui font de la poésie un objet d’art pur. Tiraillé entre son don poétique et son engagement de citoyen, le poète doit effectuer un choix : doit-il s’engager, engager sa plume, dans les luttes de son temps ? La poésie est-elle un bon moyen pour lutter ? Dans l’optique de régler cette épineuse question

La poésie est un genre littéraire qui exprime de multiples sentiments. Dans les poésies il y a divers registres qui sont : « lyrique, tragique, pathétique et comique ». Un poème peut s’écrire en vers et en prose. Un poète s’inspire de l’évènement présent pour pouvoir écrire sa poésie. Le poème peut parfois prendre un aspect musical. Dans une première partie nous allons nous intéresser à la manifestation des sentiments dans la poésie puis dans une seconde partie au vers et rythme de la poésie et dans

lui aussi respecte la forme classique du sonnet: emploi de l’alexandrin, deux quatrains suivi de deux tercets, reprise de la rime. Il préserve ainsi la musicalité et le rythme. Cependant, la fantaisie du vocabulaire : tantôt lyrique ("résigné, sans espoir, à mon sort, en attendant la mort »), tantôt surprenant (« éléphants », « moustiques ») et tantôt humoristique ("sornettes, cigarettes, pauvres futurs squelettes, cassolettes, des éléphants en rut, mon cher pouce rôti comme une cuisse d'oie") rompt

étioler exprime déjà une perte de vie à bas bruit. Cette idée de lutte revient également avec le mouvement de balancier observé dans la phrase «Entre une mort volontaire et la féconde espérance [….] Dieu seul sait combien se heurtent de conceptions, de poésies abandonnées, de désespoirs et de cris étouffés, de tentatives inutiles et de chefs-d’œuvre avortés » Il s’agit d’une lutte là aussi implacable et douloureuse. A la suite de cette réflexion philosophique, l’auteur mène une réflexion plus incarnée dans

personne ne viendra/Ni de jour ni de nuit/Ni jamais plus de ce qui fut moi-même", v. 2-4), et elles mettent en évidence la solitude du poète, l'absence de vie ou de mouvement autour de lui; le futur, associé à ces négations, évoque un avenir sans espoir, et l'expression "jamais plus", employée au vers 4, donne à cette solitude un caractère irrévocable. La suite du poème rappelle le bonheur perdu ; mais les derniers vers évoquent à nouveau " un monde indifférent" et traduisent l'impression de solitude

naître dans ce recueil une poésie à caractère encyclopédique et didactique avec une finalité évidente : parvenir à une leçon on redécouvre sous des draps poussiéreux, l’essence de ce que l’on avait oublié : un cageot, une huître ou une bougie. Nous expliquant que la chose n’est pas l’objet et que ce qui est en jeu est bien la langue choix des objets quelque peu subversif et semble vouloir rompre avec les codes sociaux, les traditions qui ramènent inlassablement la poésie à une matière noble. Il