La Poésie Nous Concerne Telle Vraiment

public. Ainsi naît Kiki Reuten. Kiki Reuten Qui est Kiki Reuten ? Ces trois premières scènes servent l'exposition des personnage et de l'intrigue de la pièce. On a présenté le cadre aussi en quelque sorte, l'animisme. Les pereprésentent vraiment pour moi une scène d'exposition en quelque sorte. Comme si on avait présenté les personnages: la vibration, les hommes, les choses et leurs âmes. Et puis on a posé l'intrigue: comment vont-ils vivre ensemble dans le royaume de l'animisme? Kiki Reuten

BICENTENAIRE NERVAL ............................................................. 96 Marina MUREŞANU IONESCU (Roumanie) Théâtralité et discours. Eminescu et Nerval.................................... 98 Hisashi MIZUNO (Japon) La réforme de la poésie moderne ou les scènes musicales dans « Sylvie » de Gérard de Nerval..................................................... 110 5 II. LINGUISTIQUE ......................................................................... 128 Maria-Cristina OBAE

période de campagnes électorales, nous avons pu observer que de nombreux politiques avaient reçu le soutien public de grands artistes français. D’une certaine manière ce n’est pas la première fois que cela arrive mais il est rare que cela prenne une telle dimension. En effet, notre société a évolué et nous communiquons de plus en plus avec de nouveaux moyens. Pas étonnant que ce soient les candidats ayant basé leur candidature sur une très forte communication qui sont aujourd’hui soutenus par ces artistes

n’eût été qu’un schisme, l’imprimerie l’a fait révolution ». Il ajoute juste après : « Que ce soit fatal ou providentiel, Gutenberg est le précurseur de Luther » : cette affirmation montre que Hugo se permet des raccourcis un peu rapides en ce qui concerne les relations des événements : en effet, Gutenberg n’a pas inventé l’imprimerie pour répandre la Réforme. Cependant, il est vrai que le livre imprimé a favorisé la diffusion des idées de Luther. D’une part, le premier livre imprimé a été la Bible

d'Alton-Shée. Avec eux, il menait une vie très libre, parsemée d'amours passagères sans noblesse. Auprès d'eux et sous leur influence, rivalisant d'esprit et de cynisme, il ne pouvait célébrer qu'une muse plus légère que chaste. Comme, décidément, la poésie était sa seule vocation, on le laissa libre de s'y consacrer. Mais il ne s'y livra qu’à ses heures, sans grande volonté de percer, bien décidé, déjà, à ne pas forcer son talent. On a conservé peu de chose de ces premiers essais poétiques ; ce sont

Rieux: »C'est la peste. »     Pages 41 à 44: Méditation de Rieux, seul derrière sa fenêtre. Plus averti, plus inquiet que les autres, il avait été comme les autres, pourtant : il n'avait pas voulu croire au fléau. Il ne veut pas encore vraiment y croire. La ville dans le soir qui tombe n'est-elle pas devant lui encore la même, presque exactement la même, heureuse, en somme?     Rieux essaie de se rappeler tout ce qu'il sait avec exactitude de la maladie, mais malgré lui c'est dans une

situation Ne doit comporter que ce qui est nécessaire à la compréhension du texte que l’on va expliquer Une situation n’est pas un résumé des épisodes précédents (ne pas expliquer ce qui ce passe dans le CID par ex.) Mettre seulement ce qui concerne le texte (pas de l’auteur, bio, ou théâtre au 17è, jugement de valeur, etc…) Aller directement au texte. On introduit le texte que l’on va expliquer La première chose à propos de l’acte 3 scène 4 C’est « une scène à faire » : c’est une scène

déploie quand on use du pouvoir de faire croire aux autres qu’ils sont ce que nous sommes et désirent ce que nous désirons. Alors personne n’est plus personne : Est-ce songe, ivrognerie, galimatias maudit ? C’est la fascination et l’horreur d’une telle imposture qu’Amphitryon met en jeu. J’y vois quant à moi la mise en scène qui confine au vertige d’une société qui tend des miroirs truqués au désir fantasmatique d’être une icône: Jeu des miroirs, Jeu des pouvoirs, dans lequel le moi s’égare. A ce

restreint de cette étude, nous avons choisi de nous consacrer à cette dernière question et, donc, à l’analyse du nom d’Œdipe dans son contexte sophocléen. En effet, l’Œdipe Roi de Sophocle constitue sans doute l’une des œuvres les plus achevées en ce qui concerne la figure œdipienne. Nous proposons donc de nous attacher, après avoir un fait court survol des questions relatives au nom propre dans l’Antiquité, à l’étude particulière du nom d’Œdipe et, par la suite, d’en dégager les grands axes de sa symbolique

assurent la rencontre, sur le double plan intellectuel et moral, entre une pièce et un public ; elles favorisent alors l’illusion théâtrale, la participation affective ou l’identification des spectateurs aux héros. L’appel au respect des bienséances concerne autant le reflet renvoyé à la société par le théâtre (et sa participation, hors-scène, au maintien des mœurs), que l’image adressée par la scène à la salle, une image à laquelle on désire pouvoir adhérer, sans recul. Ce secours apporté par la rhétorique