La Poésie Nous Fait Elle Rêver Ou Nous Rapproche Du Réel

(séries générales) Fiche 1 – Confronter les textes du corpus pour organiser sa réponse 1 – Lire le corpus pour trouver des éléments de réponse p. 470 (ES/S) p. 590 (L/ES/S) A   a. Les deux textes évoquent la fragilité de la beauté et comment le temps la fait disparaître. Il y a donc une valorisation de la beauté pour montrer combien il serait déraisonnable de ne pas profiter du court temps où elle se montre. Ils dévoilent aussi un moyen de résister au temps  : être chantée par un poète et connaître avec

dérivé du Dadaïsme et qui a «vécu» de 1924 à 1945. Le Surréalisme est un mouvement intellectuel et artistique essentiellement français qui exploite les effets du hasard et le monde des rêves et utilise une figuration réaliste pour mieux piéger le réel et dénoncer les illusions. Les principaux artistes Surréalistes furent André Breton, Salvador Dali, Max Ernst, René Magritte et Joan Miro. Les montres molles, de Salvador Dali En 1905 apparaît le Pop Art (Popular Art) qui s'est éteint vers 1970.

3 Poésie médiévale 5 La Pléiade 8 Baroque 12 Classicisme 16 Romantisme 19 Parnasse 26 Symbolisme 32 Surréalisme 37 Auteurs 40 Bibliographies 43 Tableau de Synthèse Nom Poésie médiévale La Pléiade Poésie baroque Le classicisme Epoque XIe-XVe siècle 1549-1560

romanesque à partir de la notion du personnage. Elle fait entrer dans l’atelier du romancier pour éclairer différents modes de fabrication et de création du personnage, parfois divergents. Le premier corpus (« Le personnage et le spectacle du monde ») permet de s’interroger pour comprendre comment des personnages prennent vie, parviennent à s’incarner et à gagner en épaisseur. Le personnage prend corps et identité à partir d’éléments du réel (noms, mœurs et comportement…) autour desquels se

masse, l'illimité. —Ah! comme je suis las de l'ignoble ouvrier, de l'inepte bourgeois, du stupide paysan et de l'odieux ecclésiastique..." (2). En blámant cette attitude de Flaubert envers les classes sociales les plus humbles et deshéritées, Sartre ne fait que découvrir l'esprit d'un homme orgueilleux et solitaire qui vit ¡solé du monde. C'est un profond humanisme, un émouvant désir d'améliorer la condition humaine qui pousse Sartre vers la critique impitoyable d'un étre qui doit nier ce monde-c¡ pour

dans une baraque à frites à Blagny où il rencontre Dominique, le patron, et sa soeur, Mme Cloche, «faiseuse d'anges» de son état, qui reconnaît en lui la victime d'un accrochage dont la veille elle a été témoin (accrochage au cours duquel Étienne a fait la connaissance de Pierre). Quelques jours plus tard, Saturnin, l'autre frère de Mme Cloche, concierge de l'immeuble où vit Narcense et qui se veut écrivain, apprend à celui-ci que sa grand-mère est morte. Narcense se rend à l'enterrement et rencontre

eu rupture entre la communication et les technologies. Actuellement on fait confiance aux images, on a une foi incroyable en elles (exemple: si on voit une photo de G.W.Bush, on sait que c'est lui même si on ne l'a jamais vu réellement confiance dans l’image considérée comme réalité). L’image agit sur nous car on a confiance en elle, même si on ne les comprend pas toujours bien ou qu’elles nous trompent parfois. Malgré le fait que l'on peut manipuler, modifier les images, on Martens Emmanuel |

comprendre que, sur un banal canevas de mélodrame et dans une structure apparemment linéaire et d'une extrême simplicité, Marcel Dubé a voulu peindre un drame humain complexe et profond. Dans un décor quasi réaliste, c'est un drame poétique, d'«une poésie discrète», dit-il encore, qui tient à l'atmosphère générale : ambiance de jeux interdits, créée dès le lever du rideau par «le son grêle de l'harmonica» dont joue Moineau, et qui, comme la boîte renversée servant de trône à Tarzan ou la foi naïve

romanesque à partir de la notion du personnage. Elle fait entrer dans l’atelier du romancier pour éclairer différents modes de fabrication et de création du personnage, parfois divergents. Le premier corpus (« Le personnage et le spectacle du monde ») permet de s’interroger pour comprendre comment des personnages prennent vie, parviennent à s’incarner et à gagner en épaisseur. Le personnage prend corps et identité à partir d’éléments du réel (noms, mœurs et comportement…) autour desquels se

l’homme se fait du beau s’imprime dans tout son ajustement, chiffonne ou raidit son habit, arrondit ou aligne son geste, et même pénètre subtilement, à la longue, les traits de son visage. L’homme finit par ressembler à ce qu’il voudrait être. Ces gravures peuvent être traduites en beau et en laid ; en laid, elles deviennent des caricatures ; en beau, des statues antiques. Les femmes qui étaient revêtues de ces costumes ressemblaient plus ou moins aux unes ou aux autres, selon le degré de poésie ou de