La Poésie Pejorative

n’a pas réussi à aller au-delà. On peut émettre l’hypothèse qu’avec cette chanson, Neruda transforme cette relation, lui donne une autre tournure, une autre existence que celle de la chair, il la sublime, il la « fait chant ». En tous les cas, la poésie semble être un refuge pour lui. « Comme un vase tu abritas l’infinie tendresse, Et l’oubli infini te réduisit en miettes comme un vase ». La femme semble avoir vécu en voulant abriter la tendresse, la cacher, et comme un vase elle est réduite

et bons » à la ligne 25 semblent lui dire que le danger est passé, qu’il peut se rassurer. Cet acte de bravoure montrant la puissance d’une foule illustre parfaitement l’idée de la résistance. Enfin, nous allons voir comment l’auteur mêle la poésie en prose et le récit engagé à travers l’étude de la structure et des différents registres utilisés. Ce fragment 128 se décompose en 3 parties et on y retrouve les codes du récit. Le premier paragraphe a une valeur de présentation. On peut l’assimiler

parle en ironisant d'un sujet important, les autres personnages, comme le lecteur, sont cupide et naïve devant la poésie de ses mots. Le Duc, est un personnage impatient et grossier alors que, au contraire, Lorenzo est d'un tempérament calme, et est adroit avec ses mots. Mais même si ses mots nous font rêver, ses actions sont tout de même plus dure à cacher par la beauté de la poésie. C'est pour cela que ce personnage est vu de différentes façon et provoque une opposition au niveau des points de

16) et l'allitération en "v" (vers1, 2, 3, 4). La déchéance de l'albatros se traduit sur le plan phonétique par une sorte de dégradation et l'assonance en "en" est désormais associée à des mots dont le sens ou les connotations sont négatives ou péjoratives. Le destin funeste de l'oiseau est prédit par l'allitération en "s" du vers 4 : "gouffres amers". La troisième strophe accumule des sonorités qui produisent un effet désagréable avec l'assonance en "e", assonance déjà présente dans la strophe précédente

sert seulement à montrer le mal, le dégoût, la laideur .... Lautréamont se décrit « si méchant » ; avec une « haleine [qui] exhale un souffle empoisonné », de même pour Corbière, qui se voit tel le « rossignol de la boue », oxymore pathétique et péjorative, preuve de l’auto-dérision dont use l'auteur. Ils se sentent différents de telle façon qu'ils le regrettent car cela signifie être un paria de la société : « je couvre ma face flétrie […] : il ne faut pas que les yeux soient témoins de la laideur

Présence nombreuses de la première personne du singulier… - vers 9 à 20 : seconde partie composée au discours direct (présence de ponctuation et de verbes de communication). L’oralité est reproduite par la familiarité (cf. rimes) suffixées de façon péjorative : le tutoiement au vers 13, la conversation avec « Henri Macé » sur la nécessité de faire des vers. On trouve un certains nombres de rimes équivoquées (ou équivoques). Ex : v 13-14 : ce sont des rimes de prononciations identiques mais dont le sens

Envole-toi », une nouvelle fois personnification.– Opposition avec le sol blâmé de manière péjorative par le groupe nominal riche en allitérations en /m/ et assonances en /i/ : « miasmes morbides ». Le terrestre est décrit comme maladif, agonisant dans les infections et la putréfaction.– Nouvelle exhortation: « Va ». Comme si le verbe, les mots étaient magiques et pouvaient se transformer en action, grâce à la poésie.– antithèse « purifier dans l’air supérieur » avec les « miasmes morbides » du vers précédent

16) et l'allitération en "v" (vers1, 2, 3, 4). La déchéance de l'albatros se traduit sur le plan phonétique par une sorte de dégradation et l'assonance en "en" est désormais associée à des mots dont le sens ou les connotations sont négatives ou péjoratives. Le destin funeste de l'oiseau est prédit par l'allitération en "s" du vers 4 : "gouffres amers". La troisième strophe accumule des sonorités qui produisent un effet désagréable avec l'assonance en "e", assonance déjà présente dans la strophe précédente

16) et l'allitération en "v" (vers1, 2, 3, 4). La déchéance de l'albatros se traduit sur le plan phonétique par une sorte de dégradation et l'assonance en "en" est désormais associée à des mots dont le sens ou les connotations sont négatives ou péjoratives. Le destin funeste de l'oiseau est prédit par l'allitération en "s" du vers 4 : "gouffres amers". La troisième strophe accumule des sonorités qui produisent un effet désagréable avec l'assonance en "e", assonance déjà présente dans la strophe précédente

Kreysman Taylor, Inconnu à cette adresse (livre de poche jeunesse n° 792) Nouvelles à chute (classiques et contemporains magnard n° 59) La télé nous rend fous ! Anthologie (Etonnants classiques n° 2221) Georges Feydeau, Le Dindon (livre de poche n° 1440) La poésie engagée (texte & dossier gallimard n° 68)  2nde BEP                             FRANÇAIS                                                                           Année 2005­2006  Œuvres à vous procurer (elles seront disponibles à la librairie Amblard)