La Poésie Pejorative

Le terme « impromptu », selon le Petit Robert, est une petite pièce composée sur le champ et en principe sans préparation. Déjà présent dans la poésie qui se répandait au XVII siècle dans les salons littéraires, il signifiait de courtes pièces de vers composées par les poètes sur place. Il réside aussi dans le monde musical où il renferme le sens d’une composition musicale libre, semblable à une improvisation généralement écrite pour un seul instrument. Le théâtre n’y était pas épargné,

9 avril 1821 et mort le 31 août 1867 à Paris. Il est l'un des poètes les plus célèbres du XIXe siècle : en incluant la modernité comme motif poétique, il a rompu avec l'esthétique classique. Aujourd'hui reconnu comme un écrivain majeur de l'histoire de la poésie mondiale, Baudelaire est devenu un classique. Barbey d'Aurevilly voyait en lui « un Dante d'une époque déchue »[1]. A travers de son œuvre, Baudelaire opère une transformation radicale de l'esthétique dominante, en proclamant vouloir libérer l'esthétique

merveilleux. Son but principal est de frapper l’imagination du lecteur et souhaite rendre plus évidents, au travers du fantastique, certains drames de l’homme. Dino Buzzati ne se limite pourtant pas à ce genre littéraire. Il a également écrit des poésies, des scénarios, des textes pour le théâtre ainsi que des livrets B / Ses principales œuvres  Son premier roman « le désert des tartares » écrit en 1940, lui apporte une consécration. Celui-ci est adapté en pièce de théâtre, la même année.

Précis de versification, avec exercices corrigés, Coll. Lettres Sup., Armand Colin, Siège, 2004. 3-Grammont, (Maurice), Petit traité de versification, Armand Colin, Coll. U, Paris, 2000. 4-Serveau,(Didier), La poésie au XIXème siècle et au XXème siècle, Hatier, Paris, 2000. 5-La poésie française au XIXème siècle : Anthologie, Collection Classique et Cie, Hatier Poche, 2006. La versification française La versification française tire ses origines de la versification latine populaire, tout

Phèdre (Ier s av JC) - l. 52 : référence à Aviénus - l. 53 : référence aux modernes, puis aux étrangers - l. 191 : présence d’une morale - l. 19-22 : s’adapte au goût moderne de la poésie - l. 64 : mettre en vers des fables - l. 81 « égayer » les fables - l. 191-194 : n’hésite pas à sacrifier la morale à la poésie + ne la considère pas comme toujours indispensable - l. 194-195 : primauté de la fonction de plaire sur celle d’instruire - culte de l’Antiquité, notamment référence à Térence (l.

Après leur séparation, aussi marquante chez les deux êtres, il décide d'écrire Les Confessions d'un enfant du siècle en 1836, où ils racontent sa vie avec elle. Il accumula les liaisons, mais continua à écrire des oeuvres telles que Une soirée perdue, Poésie nouvelle ou La Mouche. Grâce à l'amitié du duc d'Orléans, il a été nommé bibliothécaire du ministère de l'Intérieur le 19 octobre 1838. Sous le Second Empire il est nommé chevalier de la Légion d'honneur le 24 avril 1845, en même temps que Balzac

plaisir que prend l’homme, comparé à un « débauché » dans le vice est comparable à celui pris avec une prostituée : la déchéance morale est rendue plus concrète en étant ramenée à celle du corps. Le plaisir pris est d’ailleurs présenté de manière péjorative par l’emploi des adjectifs qualificatifs « pauvre », « martyrisé », « antique, « clandestin » et la comparaison dégradante : « comme une vieille orange ». Sixième strophe 2. Le lecteur assiste alors à une transfiguration du réel par l’emploi d’une

un poète, dramaturge, écrivain et romancier français. Il est reconnu comme étant l'un des plus grands écrivains de la langue française et a su laisser son empreinte grâce à ses œuvres encore lues et enseignées dans beaucoup de domaines tels que la poésie, le théâtre et la littérature romancière. L’écrivain est aussi une personnalité politique de son époque. Comme ses œuvres le traduisent, il est très engagé dans la vie publique et n’hésite pas à assumer ses idées telles que son opposition à la peine

sauveurs se sauveront ». (prendre la fuite ou assurer son salut). Le poète reprend la parole pour annoncer l’avenir et donne au septième livre une valeur prophétique. La valeur symbolique de ce poème annonce une chute. Hugo y développe une mission de la poésie. Le poète est comme prophète. Les vers sont les clairons de la pensée. I structure du poème SA disposition typographique est parlante, qui dégage le premier vers et le dernier vers du poème. On s’aperçoit que le premier vers est un envoi, muse

d’un Dieu mais à une « âme errantes » Idée d’une image négative faite du « paresseux » et de « l’égoïste » intensifie l’éloge du poète. « Paresseux » comparé à « un mollusque interné » « Egoïste » comparé à « un coffre fermé » Ces citations sont péjoratives et déshumanisent ces êtres, c’est à dire des fous. Ce qui crée un écart entre le poète et les individus. Certes, dans cette première partie, nous venons de voir que le poète est muni d’une sorte de privilège le rendant supérieur à tout être humain