La Poésie Renforce Argumentation

ces lieux qu’il commence à versifier. De sa première éducation catholique, il conservera une hostilité marquée envers la religion ; il finira par se faire renvoyer. Il est alors inscrit au lycée de Rouen, où il se montre bon élève, s’adonnant à la poésie et participant beaucoup aux pièces de théâtre. À cette époque, il côtoie Louis Bouilhet et surtout Gustave Flaubert, dont il devient le disciple. En 1868 en vacances à Étretat, il sauve de la noyade le poète anglais décadent Charles Algernon Swinburne

un exemple limite de ce genre de questionnement. Il ne s'agît pas d'un travail comparatiste, mais d'une « lecture » de Mallarmé par Jacques Derrida (D. Attridge ed., Acts of literature, New York, Routledge, 1992 : 110-126). Mallarmé, sa langue, sa poésie sont étudiés dans la perspective de l'influence anglaise qui concerne en effet de près la pensée et l'on n'ose dire la « carrière » du professeur-poète (nous soulignons les mots importants du point de vue «comparatiste»): We know, and not only through

vert pomme") Les adjectifs "déterminatifs" (mot qu'il faut mieux ne pas utiliser) => parler de déterminant Il s'agit des adjectifs : § Possessifs (mon, ton, son (…) notre votre leur nos vos leurs) § Démonstratifs (ce, cet, cette, ces, celui-ci … (= renforcé) ) § Numéraux (ordinaux : premier, deuxième ou cardinaux2 : vingtdeux) § Indéfinis (certain, quelque 3 , aucun, tout, tel, bien des, beaucoup de…) § Interrogatifs (Quel, quelle) § Exclamatifs Remarques sur les adjectifs déterminatifs : Attention

l'interro. totale : Est-ce que Claude vient ce soir ? - Avec des mots interro. dans l'interro. partielle : Où est-ce que tu la rencontres ? c) Mots interrogatifs - Déterminants : quel, combien de… - Pronoms simples : qui, que, quoi ; renforcés : qui est-ce qui / que ; composés : lequel, laquelle… - Adverbes interrogatifs : où, quand, comment, pourquoi, combien. d) Les modes verbaux En gnl, l'indicatif (actualisation verbale). Pfs l'infinitif délibératif : Qui aimer ? Aimer

didactique, notamment quand on l’articule à un moment de bilan. Un tour de table fait par exemple le point sur un premier temps de jeu et les élèves ou le professeur posent un certain nombre de questions essentielles : faire reformuler avec précision, renforcer le dialogue entre élèves, faire des propositions de mise en scène, jouer plus sérieusement, s’entraîner nécessairement deux par deux pour la délibération, faire davantage de gestes, et donc ajouter des didascalies au texte existant, apprendre

l’esthétique classique, - naissance d’une sensibilité (= préromantisme) - la littérature déborde sur la philosophie, la politique, les sciences, les arts, l’histoire… elle devient utile, elle exerce une grande influence morale et sociale, - la poésie est en crise, elle renaîtra avec le romantisme, - au théâtre : la tragédie classique s’éteint, la comédie reste à l’honneur, - la réflexion philosophique, la peinture des mœurs contemporains, l’expression des sentiments… prend la place de l’analyse

De ce fait, la comédie conduit les spectateurs à la vision d'une société nouvelle, s’avère être un apologue moral qui exige une simplification démonstrative qui nuit au comique, bien que les dialogues n'aient pas la lourdeur démonstrative d'une argumentation : leur alerte brièveté favorise l'expression des conflits et suffit à la clarté de la leçon. Ainsi, la pièce est proche de la comédie classique qui épura les effets de la farce au profit d'un comique plus psychologique et plus moral. Et Marivaux

des sentiments, sur ce que l’on pourrait appeler des convictions intimes, mais également sur le raisonnement. Il s’agit d’une croyance "scientifique", dans le sens où elle utilise l’ensemble du monde connu pour se construire, se justifier et se renforcer. La foi y est un savoir universel, mais aussi personnel, que chacun est invité à acquérir à son rythme. * * * Chacun sait que le Qoran est le Livre Sacré des Musulmans. C’est le Livre de Dieu et, malgré leurs différends, les Musulmans ne reconnaissent

des tragédies, qu’aux poètes dithyrambiques et autres, ne doutant point que je ne prisse là sur le fait mon ignorance et leur supériorité. […]Les poètes me parurent dans le même cas, et je m’aperçus en même temps qu’à cause de leur talent pour la poésie, ils se croyaient sur tout le reste les plus sages des hommes ; ce qu’ils n’étaient en aucune manière. Je les quittai donc, persuadé que j’étais au-dessus d’eux, par le même endroit qui m’avait mis au-dessus des politiques. Des poètes, je passai aux

De ce fait, la comédie conduit les spectateurs à la vision d'une société nouvelle, s’avère être un apologue moral qui exige une simplification démonstrative qui nuit au comique, bien que les dialogues n'aient pas la lourdeur démonstrative d'une argumentation : leur alerte brièveté favorise l'expression des conflits et suffit à la clarté de la leçon. Ainsi, la pièce est proche de la comédie classique qui épura les effets de la farce au profit d'un comique plus psychologique et plus moral. Et Marivaux