La Poésie Réalité Du Monde Ou De La Transfigurer

à l’aspiration humaine vers une beauté supérieure et entrouvrent la porte d’un paradis spirituel et esthétique. Mais le grand artiste, s’il regarde et nous fait regarder vers l’infini, ne doit pas oublier que la réalité la plus prosaïque est la matière même qu’il doit transfigurer. Il saura extraire la dimension poétique et la part de beauté intemporelle de sujets contemporains : par là il en exprimera la « modernité ». Notion capitale dans l’esthétique de Baudelaire, qui lui permet de dépasser

« Poésie : un aboli bibelot d’inanité sonore. Hésitation prolongée entre le son et le sens. » S. Mallarmé. Trouver un sens dans la première phrase de cette citation se révèle être un casse-tête. Même après avoir trouvé le vocabulaire adéquat, après avoir tournée et retourne l’étrange syntaxe de cette affirmation, le sens reste obscur. Peut-être justement, est-ce la volonté du poète de séparer cette citation en deux : la forme, avec les agréables sonorités, ‘’un aboli bibelot d’inanité sonore ‘’

("tuyaux") Vers 6 : Métonymie : "L'atelier qui chante et qui bavarde" : personnification. Vers 7 : "Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité" -> métaphore. Paris est caractérisé par la vie, les bruits quotidiens. II) Le paysage urbain transfiguré : 1) Mouvement amorcé dans la 1ère strophe, nettement dans la 2ème Idéalisation du paysage a) Tuyaux, clochers assimilés à des "mats" Implicitement, la ville est assimilée à un avenir ( -> évasion, découverte, aventure). b) Les bruits familiers

textes  antiques  mais aussi pour les textes  italiens  (notamment la poésie de  Pétrarque ). Les poètes de la Pléiade  défendent la langue française  contre le latin. Ils  enrichissentla langue française  dans le but qu’elle rivalise avec la poésie grecque et latine (par exemple, les poètes empruntent des mots au grec, au latin ou à l’italien, créent des néologismes…)

à 19 : Une structure originale qui insiste sur le passage du poète et permet l’évocation de domaines différents et de ses conséquences.Vers 20 à 24 : Eloge des pouvoirs du poète.1ère strophe :Le poète n’est pas décrit en train d’agir, Il change le monde rien qu’avec son passage.Le 2nd hémistiche de chaque premier vers indique le domaine de transformation.« Se dresse », « se profile » : présent d’actualité qui nous fait assister à la transfo. Les verbes pronominaux expriment une action/modification/transformation

précédente : celle de la révolution et de l’empire. Ensuite le thème de la nuit permet à ces poètes révoltés comme Lamartine, Victor Hugo de s’évader, d’oublier ce présent, cette époque qui est sans aucun doute la chose qu’ils haïssent le plus au monde car comme nous pouvons le voir avec le dialogue avec la nature l’esprit des auteurs est tourmenté ce qui explique les orages ou autres intempéries dans leurs poèmes. Cette évasion est permise par les mystères de la nuit ouvrant au merveilleux. Elle

prosaïques ("tuyaux") Vers 6 : Métonymie : "L'atelier qui chante et qui bavarde" : personnification. Vers 7 : "Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité" -> métaphore. Paris est caractérisé par la vie, les bruits quotidiens. II) Le paysage urbain transfiguré : 1) Mouvement amorcé dans la 1ère strophe, nettement dans la 2ème Idéalisation du paysage a) Tuyaux, clochers assimilés à des "mats" Implicitement, la ville est assimilée à un avenir ( -> évasion, découverte, aventure). b) Les bruits familiers

créée par le « vol » du premier vers. Le rejet du verbe « Partaient » reproduit l’élan du départ. Enfin une double caractérisation encadre ce sujet, en opposant le passé au futur. D’une part, « Fatigués de porter leurs misères hautaines » rappelle la réalité historique d’une Espagne où la noblesse, ruinée, n’a plus que son orgueil, les restes de sa gloire à présent déchue. D’autre part, le poème leur ouvre le chemin de la gloire, mais là encore imprégnée d’une violence née de l’association des deux adjectifs

innovante c)la musicalite du poete II/ l'expression du modernisme a) un eloge du monde urbain et industriel b) champs lexical de la vie quotidienne c) un discours poetique moderniste I)a) Poeme ecrit a la Premiere personne « JE » ligne 15/19/23 Utilisation egalement de la seconde personne « TU » qui designe plusieurs personnage diffrents : -tu es las de ce monde » designe Apollinaire -tu en as assez » designe la tour effeil et egalement le poete lui meme du fait

climat enfantin de l’école et de l’école buissonnière à l’exaltation de l’aventure. Vagabond déjà, dans ses fugues vers Paris ou la Belgique, il vit ses poèmes où brille l’innocence d’un regard neuf porté sur le monde. Le temps de sa liaison avec Verlaine sera pour lui le temps de la poésie : celui des espoirs les plus audacieux, celui aussi, pour finir, du désespoir. Une vie et un génie brûlés en trois ans, et issue de ce feu, une oeuvre brève - quelque centaines de pages - mas chargée d’une révolution