La Poésie Sentimentale

« La poésie, c’est par ce seul ressort que la pensée humaine parviendra à reprendre le large. » déclare André Breton. Il souligne par cette métaphore maritime les vertus libératrices de la poésie qui permet à l’esprit humain à s’affranchir de tout ce qui l’astreint au quotidien. La poésie permet un voyage libre. En déclarant, « Poésie c’est délivrance » Verlaine s’accorde volontiers avec André Breton. Ainsi pour Verlaine la poésie libère, elle affranchit, soulage, débarrasse… La poésie serait donc

» version des frères Grimm → version traditionnelle, on a le loup qui va duper la petite fille et qui veut la manger. Doc C « Le loup sentimental » de Geoffroy de Pennard → le loup croise différents personnages de conte traditionnel (les trois petits cochons et le petit chaperon rouge ici). Il veut coller aux stéréotypes du loup mais il est trop sentimental et n'y arrive pas. Doc D « Loupiotte » de Frédéric Stehr → ici on a une jeune louve qui se retrouve dans la même position que le chaperon

d'Orphée, et d'Érato, muse antique de la poésie lyrique et érotique représentée couronnée de roses et de myrtes, et portant une lyre à la main. L'adjectif «lyrique» apparaît en premier au XVe siècle en relation avec la poésie grecque antique et garde longtemps un lien avec la musique qui existe encore dans l'expression «art lyrique». Attaché cependant à une forme plus mineure de la poésie dès le XVIe, le mot va, en opposition à la poésie épique ou la poésie dramatique qui incluait la tragédie comme

Queneau et Boris Vian par ex. Inflation Sentimentale « IV » appartient à un groupe de 4 poèmes (« Vénus Internationale » , « les six éléments », « III » et « IV » publiés en 1923. Ces poèmes témoignent d’une époque précise : celle de leur conception qui correspond à un moment de rupture entre l’ancien monde détruit par la guerre et le nouveau qui cherche à émerger des ruines → volonté donc forte de modernisme qui se traduit par la promotion dans la poésie de cinéma, de photographie, phonographe

surtout) ex/mémoires d'outre-tombe, Chateaubriand II-La poésie L'épanchement poétique du romantisme -explosion de la poésie entre 1820 et 1850 -poésie qui s'affirme militante, exprimant la souffrance de tous, la conscience des hommes => poète devient missionnaire et guide -recours systématique au «je» : pour les grands romantiques, parler de soi c'est encore parler du monde. Ex/ Lamartine Retour au formalisme en poésie Le parnasse = théorie de l' Art pour l'Art , exposée en

Regrets Joachim Du Bellay Je ne veux point fouiller au sein de la nature Après avoir été l’un des rédacteurs le plus enthousiaste de La défense et illustrations de la langue française en 1548 dans laquelle les poètes de la Pléiade assignaient à la poésie un but philosophique à l’imitation de Virgile et de Lucrèce, Du Bellay revient sur ses positions et affirme son intention de s’orienter vers un lyrisme (expression des sentiments) plus personnel. La structure du sonnet met en évidence l’opposition

La poésie est un genre littéraire très ancien aux formes variées mais qui tendent toujours à mettre en valeur le rythme, l’harmonie et les images. Cependant le terme « poésie » en lui-même reste très difficile à définir ce qui a entrainé au fil des siècles des divergences d’opinions quant à sa nature mais aussi quant à sa fonction. Ce qui reste néanmoins une certitude, c’est que la fonction de la poésie n’est pas unique et n’est pas fixée. Ainsi nous nous demanderons si parmi ses fonctions la poésie

nouvelles tirées des légendes mythologiques ou de nouvelles religions. Nous parvenons à notre second théme, l'Idéal. II. L'idéal de cette époque étrange a) Les aspirations philosophiques ou religieuses Ligne 18 " ivres de poésie et d'amour" : le seul refuge est donc la poésie ; "des formes vagues, des teintes roses et bleues, des fantômes métaphysiques", ligne 19. Cette tour d'ivoire des poètes et ce platonisme défini par Nerval s'opposent au matérialisme de l'époque. Nerval pense sans doute à Gautier

Le lyrisme (poésie lyrique) est absent(e) de la Poétique d'Aristote et l'adjectif « lyrique » n'est attesté qu'à la fin du Xve siècle avec un sens lié au domaine musical :« dans l'Antiquité se dit de poètes qui composaient des poèmes déclamés avec accompagnement de lyre »2. Ce sens s'applique techniquement à la poésie gréco-latine de l'Antiquité (Théocrite - Pindare - Anacréon – Virgile - Horace - Catulle...) avec des genres comme l'élégie. Ce lien avec la musique caractérisera aussi l'expression

Introduction. Renaissance = époque glorieuse. Montaigne « la poésie a eu sa vogue en notre siècle, quant aux Français je pense qu’ils l’ont monté au plus aux degrés qu’elle n’aura jamais. » Très haute idée de la poésie, plus belle incarnation de la littérature. La poésie de la gloire est très importante, elle lance un défi au temps et à la mort. Le mot « lyrisme » n’existe pas au 16e, l’adjectif « lyrique » en revanche est très présent : poésie destinée à être accompagnée musicalement (rarement