La Premiere Prêche Du Père Paneloux

de nouveau une trentaine. | La découverte de la maladie | - Docteur Bernard Rieux (p. 15)- M.Michel, le concierge de l’immeuble de Rieux (p.15)- M.Othon, juge d’instruction (p.18), sa femme et son fils- Raymond Rambert, journaliste (p.18)- Le père Paneloux (p.23)- Joseph grand, employé de mairie (p.24)- M.Cottard (p.25)- Docteur Richard (p.26)- Jean Tarrou (p.26)- Castel, médecin (p.39) | II | - A partir de ce moment xx- Au bout de quelque temps- Pendant quelques jours- Pendant des semaines- Quelques

il ne lui reste que la mort. La mort de l’enfant du juge Othon, parce qu’elle est injuste, insupportable, parce qu’elle révèle l’impuissance des hommes face au mal, parce qu’elle est source de révolte chez Rieux, qu’elle modifie la pensée de Paneloux, parce qu’elle représente l’absurde. Se manifestant d'abord par une invasion de rats qui crèvent partout, la peste déconcerte les Oranais. Rien ne les préparait à affronter ce fléau dont ils refusent même de prononcer le nom, et l'épreuve est

cas où c d a a Camus réponse nuancée P d d a c a a Les Justes de Camus terroristes anarchistes du 20e siècle qui ont préparé la révolution russe de 1917 a a c a a c c A c , H attentats qui sont la cause de la première guerre mondiale Pour Stepan (image de la vision sartrienne) parfois il faut mettre des bombes pour le bien collectif prêt à tout pour faire triompher la révolution Kaliayev représente la position de Camus dit à Stepan « les hommes ne vivent

La pest Première partie Oran, un jour d'avril 194. , Oran est une ville ordinaire et rien de plus qu’une préfecture française de la côte algérienne. La cité elle-même est laide. C’est une ville sans pigeons, sans arbres et sans jardins, où l’on ne rencontre ni bat-tements d’ailes ni froissements de feuilles, un lieu neuter. Le printemps s’annonce seulement par la qualité de l’air ou par les corbeilles de fleurs que des petits vendeurs ramènent des banlieues ; Pendant l’été, le soleil incendie

I – L’œuvre en général. 1. Albert Camus : [pic] Albert Camus, né le 7 novembre 1913 à Mondovi ville algérienne en sein d’une famille avec des moyens modestes. Son père meurt en 1914, son éducation reposera sur sa mère et sa grand-mère. En 1930 il obtient son baccalauréat, il étudie alors la philosophie, mais sa santé est fragilisée à cause d’une tuberculose. En 1932, ses premiers écrits sont publié dans le Sud, deux ans plus tard il épouse Simone Hié, mais s’en sépara

Date de la première publication : 1947. Nom de l’éditeur : Folio. Présentation de l’auteur : Albert Camus est né le 7 Novembre 1913 en Algérie. Son est père d'origine alsacienne et d'une mère d'origine espagnole. Il provient d’une famille modeste. Il est le deuxième enfant du couple: il a un frère, Lucien, plus âgé de 4 ans. Son père est mobilisé en septembre 1914. Blessé à la bataille de la Marne, il meurt à Saint-Brieuc le 17 octobre 1914. Il ne connaitra pas son père. Dès la mobilisation

(L’Etranger, un passage extrait du procès dans la seconde partie, après le réquisitoire du procureur jusqu’au verdict) le nihilisme (Caligula, Acte II, scène X, « l’empoisonnement de Mereia ») la transcendance (le prêche du père Paneloux, La Peste, Folioplus p : 101 à 106 « …le père Paneloux monta en chaire…Dieu ferait le reste. » OU/ET la visite de l’aumônier à Meursault dans L’Etranger, Folio p : 173 à 183 « C’est à ce moment précis que l’aumônier est entré… à la fin »).

thèmes principaux –la vie absurde –le thème de la foi –la révolte illustrée par certains personnages clefs –la révolte devant l'injustice et la souffrance –l'amour de la vie –la quête du bonheur -> Rambert –l'amitié -> Tarrou –l'amour –la mort Première partie L'histoire de la peste est une chronique sur certains événements qui se sont passés à Oran dans les années 1940. La ville se trouve en Algérie et est sous occuptaion française et elle donne une image négative car il n'y a pas d'oiseaux ni

[11] LA PESTE (1947) I Retour à la table des matières [13] Les curieux événements qui font le sujet de cette chronique se sont produits en 194., à Oran. De l'avis général, ils n'y étaient pas à leur place, sortant un peu de l'ordinaire. À première vue, Oran est, en effet, une ville ordinaire et rien de plus qu'une préfecture française de la côte algérienne. La cité elle-même, on doit l'avouer, est laide. D'aspect tranquille, il faut quelque temps pour apercevoir ce qui la rend différente

des matières 9 Albert Camus, LA PESTE (1947) 10 [13] Les curieux événements qui font le sujet de cette chronique se sont produits en 194., à Oran. De l'avis général, ils n'y étaient pas à leur place, sortant un peu de l'ordinaire. À première vue, Oran est, en effet, une ville ordinaire et rien de plus qu'une préfecture française de la côte algérienne. La cité elle-même, on doit l'avouer, est laide. D'aspect tranquille, il faut quelque temps pour apercevoir ce qui la rend différente