La Princesse De Cleves Moral

Cours DEUG I LA PRINCESSE DE CLÈVES Roman de Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de, dite Mme de La Fayette (1634-1693), publié anonymement à Paris chez Claude Barbin en 1678. Composé en collaboration avec Segrais et La Rochefoucauld, le roman donna lieu à une enquête publique dans le Mercure galant (on appelait les lecteurs à se prononcer: la princesse a-t-elle raison d’avouer?), puis à une véritable querelle littéraire entre Anciens et Modernes à travers la critique de Valincour

Français → Texte 1 : La princesse de Cléves (Madame de la Fayette) Probléme : Comment est représenté le sentiment amoureux ? I- Le portrait d'un homme amoureux A)Une scène dramatisé B)Un corps amoureux C)Un cœur amoureux II-Une femme amoureuse A)Un corps amoureux B) Un cœur amoureux C)Des objets révélateurs Présence de discours direct (« il dit...), Indirect libre et narrativisé (résumé au début) il vit, il voit (interne) → ligne 1 à 21 Focalisation 0 → ligne 22 à 32 interne

Correction L.L. La Princesse de Clèves Texte 1 Correction L.L. La Princesse de Clèves Texte 1 Introduction qui peut être valable pour les trois textes (avant l’annonce du plan): Le classicisme, « art de pudeur et de modestie » comme le dit André Gide, est la recherche d'une harmonie entre la pensée et le langage, c'est avant tout exprimer simplement les mouvements du cœur dans leur complexité. Cest un mouvement culturel esthétique et artistique qui se développe en France, et plus largement

COMMENTAIRE DE TEXTE La Princesse de Clèves, p.140- 141 « Peu de jours avant l’arrivée…le Roi lui ordonna de s’aller reposer » Intro : La princesse de Clèves fut publié anonymement par Mme de Lafayette en 1678. Dans la tradition de La Rochefoucauld, elle y condamne les passions et prône la maîtrise raisonnée propre à l’esthétique classique du 17e siècle. Le passage étudié se situe vers le milieu du roman (dans cette édition découpé en 4 chapitres : ici 2e), lors de la préparation fastueuse

permettrait de s’évader. Seulement d’où émerge la beauté ? Pour Diderot la beauté naît des passions et du vice. Ainsi écrit-il, le 18 juillet 1762, dans une lettre adressée à son amie, Sophie Volland : « Presque toujours, ce qui nuit à la beauté morale redouble la beauté poétique. On ne fait guère que des tableaux tranquilles et froids avec la vertu ; c’est la passion et le vice qui animent les compositions du peintre, du poète et du musicien. » On retrouve dans cet énoncé affirmatif l’homme artiste

la Cour » Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves, 1678 Introduction :  Femme de lettres, appartenant à la noblesse, Mme de la Fayette a fréquenté toute sa vie les cercles mondains et littéraires, ainsi que l’entourage de la Cour. Parmi ses amis, on compte Mme de Scudéry, auteure de romans précieux, Henriette d’Angleterre, future duchesse d’Orléans, ou encore le duc de La Rochefoucauld, un des maîtres du classicisme. Son œuvre majeure, La Princesse de Clèves, est publiée en 1678. Elle est considérée

Lecture analytique extrait quatrième partie La Princesse de Clèves Préparation de la lecture analytique (notes dans le désordre). Attention, la lecture analytique commence plus loin. I : Biographie de Madame de La Fayette : Sa naissance (fille), sa condition (grande aristocrate, dame d'honneur de la reine), ne laissaient pas présager de l'importance de l'oeuvre que Madame de Lafayette allait écrire. Elle a su tourner, contourner les multiples obstacles à l'écriture : son éducation, assez poussé

 Texte 1 : La Princesse de Clèves (1678) Mme de La Fayette Mlle de Chartres est l'héroïne de ce roman, elle va épouser le prince de Clèves. Sur l'auteur : Mme de La Fayette (1634-1693) fréquente la cour d'Henriette d'Angleterre (femme de Monsieur, frère de Louis XIV). Elle est proche de Mme de Sévigné et La Rochefoucauld. Sur le roman : Il sort en 1678, l'auteur est inconnu a l'époque(on ne sait pas pourquoi Mme de La Fayette a fait ça). C'est le premier roman psychologique car

s’articulant avec la reprise en main du pays et la politique absolutiste de Louis XIV. Ce courant est marqué par le fait que les auteurs cherchent maintenant à instruire tout en divertissant. Ainsi, Mme de La Fayette écrit au XVIIe siècle La Princesse de Clèves (1678), un roman appartenant tout aussi bien à l’Histoire et au théâtre, qui raconte l’entrée de Mademoiselle de Chartres à la Cour et les difficultés qu’elle y rencontre à garder sa dignité. L'extrait étudié se trouve au début du roman, alors

propre au classicisme et qui suscitera bien des débats. Dans un roman publié en 1678, mais dont l’intrigue est située à l’apogée de la Renaissance française, à la cour d’Henri II, la jeune princesse de Clèves, mariée par convention, rencontre le grand amour ; ce qui engendrera chez elle un conflit moral. Le passage proposé est un moment charnière de l’incipit du roman se déroulant avant le premier nœud de l’intrigue, après que le cadre spatio-temporel de la cour grandiose de la renaissance