La Princesse De Clèves Expression Des Sentiments

soigneusement la tragédie et la comédie. D'autres genres se développent, liés à la religion, comme les sermons (Bossuet) ou à la vie mondaine, comme les maximes (La Ro-chefoucauld), les lettres (Madame de Sévigné) ou le roman classique (La Princesse de Clèves). LA LANGUE CLASSIQUE Le souci de l'élégance et de l'équilibre domine. Les classiques préfèrent les figures d'atténuation. L'alexandrin, souvent coupé à l'hémistiche devient le vers privilégié. BAROQUE : Le mot «baroque» (du portugais

Textes pour le bac oral de français Scène de bal de la princesse de Clèves Le roman de Mme de LaFayette, la P de C a été écrit en 1678 en pleine période classique. Incarne toutes les caractéristiques du mouvement, l’homme honnête, la bienséance et perso nobles. Cette scène est la première rencontre des 2 perso Mme de Clèves et le Duc de Nemours, elle s’effectue a l’occasion du bal donné en l’honneur des fiançailles entre M. de Lorraine et Mme Claude de France. Nous aborderons dans une 1ère

apprécier un roman, un lecteur a –t-il besoin de s’identifier au personnage principal et de partager ses sentiments ? I Comment et pourquoi l’identification du lecteur au personnage se produit. A- Le cas des romans rédigés à la première personne Romans rédigés à la première personne permettent au lecteur de s’identifier au héros-narrateur. Celui-ci, en racontant son histoire, livre ses sentiments, et semble s’adresser au lecteur qu’il prend comme confident. On s’identifie par exemple au chevalier Des

peut ainsi sembler trop lent, ou au contraire trop rapide et invraisemblable : difficulté à se projeter dans l’histoire relatée. -la langue peut paraître désuète : le lexique est daté, les expressions vieillies, la syntaxe complexe. L’abstraction et la répétition dans le roman La Princesse de Clèves peuvent créer la même irritation que la lourdeur des phrases de Balzac, la longueur de celles de Proust. De même la grossièreté de Céline ou de Rabelais, le langage populaire ou argotique

durant l'époque moderne, de nombreux mariages arrangés étaient décidés par le prétendant sur seule base d’une représentation picturale de sa future femme. Le scellement de l’union se jouait sur les teintes choisies par le portraitiste, une expression faciale particulière et la pose du modèle. Autrui était alors uniquement connu à travers le portrait. L’art du portrait remonte à l’Antiquité, s’est développé durant la Renaissance artistique pour connaître une large expansion avec les courants

Présentation PowerPointPrésentations1.1 Présentation de l’autrice1.1.1 Une dame de Cour1.1.2 Une Précieuse1.1.3 Une femme de lettres1.2 Présentation du roman1.2.1 Un roman nouveau1.2.2 Un nouveau romanesque1.2.3 L’ « affaire » de La Princesse de Clèves1.3. Présentation du parcours1.3.1 Individu1.3.2 Morale1.3.3 Société1.1 Présentation de l’autrice (Voir les repères chronologiques p.12)Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de Lafayette (1634-1693) 1.1.1 Une dame de courFamille de petite noblesse

vraisemblable. Les œuvres classiques se donnent en effet pour objectif d'amener le public à réfléchir sur ses propres passions. Car l'idéal artistique du classicisme s'accompagne d'un idéal moral incarné dans la figure théorique de l'honnête homme. Cette expression résume toutes les qualités que l'on peut attendre d'un homme de Cour: politesse, culture, humilité, raison, tempérance, respect des règles, capacité à s'adapter à son entourage. La querelle des Anciens et des Modernes est une polémique

satisfait. Romanesque signifie tout ce qui est lié au roman, je dirai qu’ici, cela touche davantage les éléments hors du commun exprimés dans les romans : -L’exaltation des sentiments- De nombreuses péripéties- Caractère exceptionnel- Intensité -héroïsation-Coupables et victimes-Des personnages extraordinaires aux sentiments incroyables et au destin exceptionnel=Originalité Ici l’intitulé montre que ces personnages en marges sont à l’origine du plaisir de lecture du lecteur. En effet :· Ils sont

écrivain français du XVIIe siècle. Sa principale œuvre, qui est en trois parties, s’intitule « le Roman comique » et est publiée entre 1651 et 1657. Dans cet ouvrage, Scarron s’attache à employer le style burlesque, c'est-à-dire qu’il utilise des mots/expressions vulgaires ou familières pour caractériser des choses sérieuses. Le burlesque est un genre qui, en littérature, provoque le rire. Nous allons étudier un passage du Roman Comique, récit qui narre l’histoire d’une trouve de comédiens rêvant de jouer

fatalité est figurée par les forces de l’Histoire. Cette tentation tragique suppose le sentiment amoureux et son impossibilité. Nous verrons dans une première partie le portrait pas si partielle de Bérénice, puis dans une seconde partie, la difficile analyse de soi. I Une tentative de portrait Cf. les grandes phrases de rencontre amoureuse : « Il parut alors une beauté à la Cour… » (La Princesse de Clèves de Mme de Lafayette), « Ce fut comme une apparition… » (L’Education sentimentale, Flaubert)…