La Prisonnière

épouvantables : ils sont peu nourris, insultés, battus par des surveillants appelés "Kapos". Chaque jour, deux prisonniers sont choisis et tués, sous le regard des caméras. Zdena, une des kapos, tombe éperdument amoureuse de Pannonique, héroïne du livre et prisonnière connue sous le matricule "CKZ 114". La kapo veut absolument connaître son nom, et est prête à tout pour cela, même à tuer les prisonniers qui sont proches de Pannonique. Pendant ce temps, les médias s'offusquent de l'horreur de l'émission, ce qui

III - Fonction satirique du passage. Sa tirade a une portée morale. Cléanthis se désigne comme celle qui est témoin de ce qui se passe. Satire de la beauté artificielle, coquetterie: poses affectées, préciosité. Euphrosine est montrée comme une prisonnière, une obsédée de la coquetterie. Critique de la société mondaine hypocrite qui cherche les défauts d'Euphrosine. Cléanthis peut témoigner de l'envers du décor. C'est ce qui fait sa force. Donc l'aspect artificiel condamne Marivaux. Expression

ou se substituer. Le corps est le tombeau de l'âme (Platon). La conscience est prisonnière du corps, lieu de la corruption, de la souffrance et de la mort. Mais, le corps et la conscience sont indissolublement liés. Considérons ici que le corps n’est qu’un obstacle à la conscience. La conscience est quelque chose d’immatérielle et donc quelque chose d’intouchable tel un dieu. Pourquoi celle-ci serait telle prisonnière d’une entité matérielle, de souffrir de l’opacité du corps ainsi que de ses souffrances

Broulard que Mireau a ordonné d'attaquer ses propres troupes. Pour récompenser le colonel, Broulard lui offre la possibilité d'être promu au rang de général (pour remplacer Mireau) mais il refuse. La scène finale montre les soldats se moquant d'une prisonnière allemande, puis leur émotivité devant son chant. Le film a été généralement apprécié aux États-Unis où il n'a pas susciter la polémique puisque cette critique universelle de la guerre prend pour exemple l'armée française. En revanche après sa

fréquemment l’expression « je ne trouve pas les mots » mise à par les problèmes d’éloquences que nous pouvons rencontrer il est vrai que notre pensée semble parfois dépendante de la langue. Il semble dès lors important de nous demander si la pensée est prisonnière du langage. Bergson, entre autres, a montré comment le langage pouvait dénaturer la pensée. D'après lui, le langage substitue à la multiplicité infinie des choses, des mots en nombre. Prenons les couleurs de l'arc-en-ciel, la langue française

Chanson du Geôlier signification du poème : Le poète se compare à un geôlier qui veut délivrer une prisonnière qu' il a emprisonnée et dont il serait amoureux. C'est le sens premier du texte mais en le lisant mieux, on peut comprendre qu'il s agit d'un homme qui serait tellement possessif qu'il a l'impression de la privée de toute liberté. Il s'en est rendu compte et qu'il a décidé de lui laisser le choix de rester avec lui ou de partir et même peut être de trouver quelqu'un d'autre. L'homme

       La soumission à la tyrannie de l’avarice : « fierté sotte et secrète »   ·        Champ lexical de la soumission : « ilotisme », « dépendance », « interdit » -> Madame Grandet est prisonnière de son mari ·        Parallélisme : « sortant peu du logis […] soulier » -> Comme dans un cloître, prisonnière. ·        Champ lexical des actes et des droits : « dot », « argent », « sous » -> Elle est régie à des droits, devoirs ·        Opposition : « Quoique ridicule en apparence » >< « Trois

entrer en scène, et entamer un dialogue. Les répliques du personnage principal sont franches et semblent être sur jouées notamment à cause de la nombreuse présence des points d'exclamation. "ouvre tes persiennes en grand !", "je sais que tu es prisonnière ! ". De plus, certaines phrases contiennent des interjections, grande figure au théâtre qui sert à donner plus d'ampleur à la phrase, comme ici la déception : "ah ! si je pouvais t'emmener !". Enfin, le rôle de la lumière occupe une place très

n’aura pas d’échappatoire face à son destin. L’univers de Roxane (Texte 1), est un « affreux sérail » ou des « gardiens sacrilèges ont répandu le plus beau sang du monde ». Roxane est prisonnière. L’univers de madame Bovary (texte 2), est une ville de province proche de Rouen ou elle s’ennuie, et ou elle se sent prisonnière. Cette ville de province « tas de feuilles mortes…l’impassible château, avec parc, les jardins, les trois cours ». Pour décrire son univers, Flaubert emploie l’imparfait de description

Entragian, un policier inquiétant, pour infraction à la conduite automobile. Ils sont conduits au poste de police d'une petite ville minière désertée, Désolation, où Peter est tué par Entragian. Plusieurs autres personnes y sont également retenues prisonnières : la famille Carver, dont la fille a également été assassinée par Entragian, Johnny Marinville, un écrivain sur le retour qui parcourait le pays à moto dans le but de tirer un récit de son périple et Tom Billingsley, le vétérinaire de la ville