La Prisonnière

vie de Natascha pour en devenir l’unique acteur. Natascha a, en quelque sorte, vécu dans une caverne, comparable à celle de l’allégorie de Platon. Le marionnettiste, Wolfgang Priklopil, mettait en scène “des ustensiles de toutes sortes” pour sa prisonnière, Natascha, qui a finalement réussi à sortir de cette Caverne pour retrouver le monde extérieur. Nous allons donc tenter, au cours de ce travail, de mettre en dialogue le cas de Natascha Kampusch avec l’allégorie de la Caverne. Premièrement

une maison tout en gâteaux, en pain d’épice et en sucre. C’était la maison de la sorcière qui avait emprisonné Hansel et Gretel. Quenotte s’affola et tenta de fuir. Elle voulut sortir de livre mais elle se cogna contre la sorcière. « Tu es ma prisonnière, Quenotte ! Ce livre t’a tentée et je t’ai jeté un sort. Tu ne pourras jamais plus redevenir la jolie petite souris grise qui courait dans la bibliothèque. J’ai besoin des poils de ta moustache pour ma prochaine potion magique. » Puis, sans ménagement

d’Andromaque, cette Troyenne rivale source de tous ses malheurs. L’humanité d’Andromaque se révèle par son triste statut, qui la ramène à une condition d’esclave et de captive, mais aussi par son habileté. Andromaque apparaît toujours comme une prisonnière victime des malheurs de la guerre, une exilée qui n’éprouve plus beaucoup l’envie de vivre. Elle-même se définit comme une « Captive toujours triste, importune à moi-même » (Acte I, scène 4, vers 301). Découragée par son sort, Andromaque refuse

les même pouvoirs que Dieu, il peut déformer et reformé le monde comme il l’entend dans ce sens son pouvoir surpasserait celui de Dieu, il est libre d’accepter ou de renier le monde qui s’impose a lui. Ainsi dans un cœur simple ainsi que dans la prisonnière des sargasses nous pouvons constater que les personnages principaux refusent le monde dans lequel ils vivent car celui-ci est souvent fait de déceptions et de douleurs qui sont trop difficile à affronter. Dans un cœur simple le personnage principale

retient leur descendante Aricie prisonnière. Au moment où la tragédie commence, Thésée est porté disparu : il est parti depuis longtemps aider l’un de ses amis jusqu’aux fleuves des enfers, le Cocyte et l’Achéron. Un bruit court à Trézène qu’il serait mort. L’annonce de son retour à Trézène précipite l’action dramatique. Il finira dans les lamentations pour avoir trop rapidement sacrifié son fils. Aricie Cette jeune recluse est une princesse de sang royal, retenue prisonnière en raison de sa parenté avec

roman psychologique avec délicatesse appuyé par une analyse assez convaincante des dégâts que peut engendrer la passion. C’est un texte fort, doté d’une grande qualité littéraire, et qui, grâce à l’intrigue incroyablement bien tournée m’a tenue prisonnière du suspens jusqu’au dénouement. Cette œuvre touchant à des sujets toujours d’actualité comme l’amour et les passions interdites m’a énormément parlé. Même les autres thèmes abordés comme la cour, le vice et la vertu, qui ne sont pas sensé représenter

III - Fonction satirique du passage. Tirade a une portée morale. Cléanthis se désigne comme celle qui est témoin de ce qui se passe. Satire de la beauté artificielle, coquetterie : poses affectées, préciosité. Euphrosine est montrée comme une prisonnière, une obsédée de la coquetterie. Critique de la société mondaine hypocrite qui cherche les défauts d'Euphrosine (L133-134). Cléanthis peut témoigner de l'envers du décor. C'est ce qui fait sa force. Donc l'aspect artificiel condamne Marivaux.

D'EMMA: Emma, une provinciale peu cultivee et d'une fraicheur desarmante, elle a une facon hautaine de traverser la vie, dans cette consideration de soi qui prend toute la place, dans la peur d'etre prisonniere de la mediocrite, sociale et affective. N'ayant pas les moyens de ses ambitions, Emma, prisonniere des passions de son ame, ne peut que rever, Emma est trop fiere pour accepter son sort avec Charles Bovary. Son orgueil est source de souffrance. (15) Flaubert condamne ferocement cet orgueil proche

première fois en 1943 et il a été distribué pendant la guerre sur des tractes anonymes. Description et analyse de l'oeuvre 1) Sujet du poème : Ce poème nous raconte une histoire : deux hommes perdent la vie en essayant de libérer une femme prisonnière. 2) Lecture du texte : En quoi ce poème est-il un texte engagé ? Ce poème est un texte engagé de la façon que ces deux hommes différents se sacrifient pour libérer une femme. Ils se rebellent expriment leurs opinions philosophiques.

rideau sur l'univers de la reine, Maria de Neubourg. On la découvre dans ses appartements, et plus précisément dans son salon où, soumise à un protocole contraignant orchestré par la duchesse d'Albuquerque, camera mayor, elle se sent solitaire et prisonnière, quoique très entourée de duègnes, de ses femmes et de son soupirant, don Guritan, comte d'Onate. La reine confie son ennui et ses peines, notamment sa crainte de Salluste, à Casilda, sa suivante et confidente. Puis vient, selon le protocole, l'heure