La Prose Narrative

Annonce des axes Plan: I - La fatalité 1- La fatalité narrative Le dessein de Zola est clair. L’épisode est construit en boucle. Gervaise expose ses désirs qui courront tout au long du roman et en structureront l’action. Elle les reprend à la fin, mais entre les deux, l’alambic de l’Assommoir exhibe son ombre menaçante et remet très clairement en cause la réalisation du bonheur de Gervaise. Si le lecteur comprend déjà ce qui va se passer, Gervaise, elle ne fait que le pressentir à travers

Le roman, genre multiforme et complexe I. Définition : désigne une œuvre narrative de fiction, en prose, relativement longue, qui crée un monde et donne vie à des perso imaginaires, les fait évoluer ds un milieu ou des situations diverses en rapport avec la réalité, et donne l’illusion de la vie. II. La diversité du roman, un genre aux formes multiples Considéré d’abord comme un genre mineur, le roman s’est dvlppé librement en dehors de tte règle. * historique : figures historiques

et de lettrés, il faut alors transcrire ou écrire en langue romane certains textes afin de les rendre accessibles à un public plus large. Le terme « roman » est donc appliqué à tous les textes écrits en langue romane dans ce but, qu’ils soient en prose ou en vers, qu’ils soient narratifs ou non. Les romans s’opposent alors aux textes écrits en latin, notamment les textes officiels et sacrés. L’expression « mettre en roman », apparue vers 1150, signifie donc « traduire en langue vulgaire ». Pour désigner

idées. C’est de suggère plus qu’il n’affirme une idée. * Les genres qui s’y prêtent le mieux : - Apologue : le terme désigne tout visée de fiction ayant une visée argumentative. On distingue généralement une partie narrative et une moralité. Il est en vers ou en prose. Ce genre utilise le détour pour instruire. Il comporte un double statut : narratif et démonstratif. Il présente une double vertu : procure un plaisir élémentaire et une nourriture intellectuelle et morale. Ceci explique pourquoi

Le roman au XVIIIe s Le roman apparaît au Moyen Age. Avant d'être écrit en prose, il était écrit en vers. On l'appelle «roman» car il était écrit en langue romane. Ecrivain du M-A : Chrétien de Troyes, Le chevalier à la charrette Le premier roman moderne est La Princesse de Clèves de Mme de la Fayette. Il y avait aussi des romans populaires : Le roman comique de Scarron. Les personnages subissent des aventures dans lesquels ils essaient de s'en tirer. On va reprocher au roman d'être orthodoxe

l’établissement de la langue française comme une grande langue littéraire et par d’importants créateurs qui fondent les principaux genres de la littérature moderne en France. Pierre de Ronsard et Joachim Du Bellay pour la poésie, François Rabelais pour la prose narrative, et Robert Garnier pour le théâtre. Cette littérature s'inscrit dans un siècle de transformation multiples et fondamentales en Europe dans des domaines comme par exemple les croyances religieuses, avec l'émergence du protestantisme en Allemagne

principe simple : l’acte de créer doit venir de l’imagination, de l’intuition, car il doit se rapprocher le plus de la vie, de la nature. Cette dernière est pour lui « une source pure à laquelle on peut boire sans crainte de s’empoisonner » (Œuvres en prose complètes, Gallimard, 1977, p. 49). Mais l’artiste ne doit pas l’imiter, il doit la faire apparaître selon son propre point de vue, de cette façon, Apollon, Ades et Zeus se battirent, mais ce fut Athéna qui gagna parle d’un nouveau lyrisme. L’art doit

anciens, genre bâtard frivole Les romanciers : libres de leurs expérimentations, stratégie d’autodérision dans le discours préfaciel Georges de Scudéry[2] Ibrahim ou l’Illustre Bassa[3] (1642) : préface fondamentale, poétique du roman, épopée en prose I – Le roman de l’âge baroque (premier tiers du 17ème siècle) 4 éléments en commun : - la prolixité : romans fleuves entre 3000 et 7000 pages qui paraissent sur plusieurs années et en plusieurs volumes

Père de famille. Dans ces nouvelles œuvres dramatiques, Diderot entend bien s’éloigner de la tragédie classique pour laisser place au drame domestique bourgeois. Pour lui, le public attend une représentation en accord avec son temps et, pour cela, la prose naturelle doit supplanter le vers. Mais ses réalisations ne remportent pas un franc succès. Au cours de cette période, Diderot et Rousseau, qui s’entendaient déjà de moins en moins bien, se fâchent définitivement. Tout en assumant la lourde tâche

monde. Hymes promu ce que lui et les autres appellent « ethnopoetics , "une méthode anthropologique de la transcription et l'analyse du folklore et orale narrative qui prête attention aux structures poétiques dans la parole. En lisant les transcriptions des Affaires indiennes mythes , par exemple, qui sont généralement comptabilisées comme en prose par les anthropologues qui les ont précédés, Hymes remarqué qu'il ya souvent poétique structures dans la formulation et la structuration de l'histoire.