La Prostitution étudiante

TRAVAIL FINAL de Littérature Française Contemporaine Professeur : Maria Julia Zaparart U.N.L.P. « L’esthétisation du traumatisme dans Inventaires » Etudiant: BEURY Clément Didier Legajo 99865/7 Mail: beury@hotmail.fr SOMMAIRE INTRODUCTION……………………………………………………………………….03 I - LE CONTRASTE PASSE PRESENT ……………………………………………..04 I-1- L’effet de parole spontanée…………………………………………………………..04 I- 3- Les artifices de la mise en scène……….…………………………………………….06 I- 4- L’’objet

A) Défendre une morale dans le domaine des relations sexuelles « Les mœurs sont les coutumes sexuelles des honnêtes gens ». Les bonnes mœurs concernent principalement les comportements sexuels et le respect de la vie privée : inceste, polygamie, prostitution, proxénétisme, etc. Dans la pratique notariale, le notaire doit s’assurer que les actes de transmission du patrimoine qu’il dresse ne bafouent pas la morale sexuelle contemporaine. Le notaire doit apprécier si la cause d’une libéralité est contraire

notion est devenue péjorative ; on parle de sectes dangereuses depuis la fin des années 60. Période new-age - des dérives vont avoir lieu par des sectes aux sens originel (suicides collectifs) - - - - - - - La prostitution en France : racolage est pénalisé mais la prostitution n'est pas interdite L'Assemblée Nationale : Projet de loi qui prévoit la pénalisation des clients (inspiré des pays nordiques) – Objectif de cette loi : que le Sénat soit ok (peut être un sujet potentiel) 2 prix Nobel

en Amérique du Nord. Il y avait déjà un faible mouvement d'opposition à la guerre dans certaines parties des États-Unis, dès 1964, spécialement sur quelques campus universitaires. Ceci se déroula durant une période jusqu’alors inconnue d'activisme étudiant de gauche, et par l'arrivée, en nombre significatif, des baby boomers en âge d'entrer à l'université. La Seconde Guerre mondiale s'était terminée en 1945, et la guerre de Corée en 1953. Ainsi la plupart des baby boomers, sinon tous, n’avaient jamais

» (« Une pension bourgeoise »). → Exposition du roman : de « Mme Vauquer, née de Conflans » à « effroyable tragédie parisienne » (« Une pension bourgeoise »). 4 Le roman et ses personnages Comment découvre-t-on l’identité du père Goriot ? En étudiant la focalisation interne, dans un extrait puis dans l’ensemble de l’exposition, on verra comment le lecteur est convié à mener au côté de Rastignac une véritable enquête sur le héros éponyme du roman. En procédant de cette manière, Balzac inaugure

sur le quai Napoléon, deux pièces, qu'il meubla. Sa grande passion pour Mme. Arnoux commençait à s'éteindre et l'espoir d'une invitation chez les Dambreuse l'avait quitté. Chapitre 4: -Mat. Mois de décembre 》plus d'animations que d'habitude, les étudiants sortaient dans les cafés, il y a eu beaucoup de manifestations au sujet de la réforme sur les élections électorales qui causaient des troubles. Pendant la manifestation, on acclamait Samuel Rondelot, un professeur qui était le rivzl des Zachariæ

ses lecteurs à préserver la race blonde et même la stérilisation des hommes bruns pour s’en débarrasser sur deux générations. Il pointait évidemment les Juifs comme des rats, sales, malodorants, infiltrés partout dans les égouts, la finance, la prostitution. Il avait créé par ailleurs l’ordre d’un nouveau Temple au sein de son vieux château de Werfenstein au bord du Danube où des conférences et des cérémonies rituelles étaient proposées aux futures adeptes du nazisme, issus pour la plupart, de la

(Cf. le monologue de la Gamine). - Les crimes ou actions se répondent souvent : le meurtre gratuit de l’inspecteur est reproduit dans le meurtre gratuit de l’enfant. Le meurtre libérateur de la mère (émancipation de Zucco) est répercuté dans la prostitution de la gamine (même émancipation). - Les monologues ou tirades plaintives se répètent en écho (à la plainte de l’inspecteur IV répondent celles du vieil homme (VI) et de la sœur (XIII) : tous expriment le même mal-être la même souffrance. IV)

(Cf. le monologue de la Gamine). - Les crimes ou actions se répondent souvent : le meurtre gratuit de l’inspecteur est reproduit dans le meurtre gratuit de l’enfant. Le meurtre libérateur de la mère (émancipation de Zucco) est répercuté dans la prostitution de la gamine (même émancipation). - Les monologues ou tirades plaintives se répètent en écho (à la plainte de l’inspecteur IV répondent celles du vieil homme (VI) et de la sœur (XIII) : tous expriment le même mal-être la même souffrance. IV)

pour «attacher» ses enfants à soi. Par ailleurs, cette confession n’a d’autre but que de faire s’interroger autant la lectrice que le lecteur, sur l’admiration, l’affection portée à ses parents, puis celles de ses propres enfants à soi-même. Un étudiant, le meilleur, l’attendait dans la cour. Il invectiva son professeur, disant qu’il n’était pas d’accord de souligner devant la classe qu’il était un peintre médiocre. Ce dernier dit avoir admiré trois de ces toiles chez le Comte de Beaumont et celle