La Précaution Inutile

dérision de la scène de libération.4 Ordre de GB : levez vous pour me suivre, tout de suite autorité anéanti par la seconde phrase : je vais vous mener où il vous plaira : Gil blas ne connait pas les lieux car emmener dans un souterrain après des précautions prises par les brigands = GB s’en remet à la Dame car il est totalement impuissant. La domination traditionnelle Homme/Femme des chevaliers est remise en cause. Dérision du genre= genre picaresque. « pas sourde à ma voix » litote : on imagine

actes écrite pas Beaumarchais en 1778 et qui dénonce les privilèges désuets de la noblesse de l’époque. Cette œuvre est le deuxième tome d’une trilogie entièrement écrite par Beaumarchais, elle est donc précédée du Barbier de Séville (ou La Précaution inutile en 1775) et elle est suivie de L'Autre Tartuffe (ou la Mère coupable en 1792). La première représentation officielle de cette pièce a eut lieu le 27 avril 1784 au théâtre de l'Odéon, à Paris. Après plusieurs années de censure, cette œuvre est

Le Barbier de Séville  ou la Précaution inutile Comédie en quatre actes écrite par Beaumarchais, représentée pour la première fois au Théâtre-Français en 1775, et largement inspirée de l'École des femmes de Molière. Le comte Almaviva, tombé amoureux de la jeune Rosine qui est orpheline, est prêt à tout pour l'arracher à Bartholo, son vieux tuteur, qui a le projet de l’épouser. Tandis que, déguisé, il fait le guet, il tombe à point nommé sur son ancien valet Figaro, persifleur mais entremetteur

FICHE LECTURE – LE BARBIER DE SEVILLE ou LA PRECAUTION INUTILE, Pierre-Augustin Caron de BEAUMARCHAIS (1775) ACTE I Acte I, scène 1 A Séville, le comte Almaviva déguisé en abbé - fait un monologue sous les fenêtres de Rosine. On apprend qu’il en est amoureux sans la connaître et que ces deux personnages ne se connaissent pas. Comme tous les matins, il attend qu’elle se lève et ouvre ses jalousies, pour la voir. Acte I, scène 2 Figaro, se trouve dans la même rue que le comte. Accompagné de sa guitare

quant au fait de s’entretenir avec Argan au sujet d’un sujet fâcheux : la mise au couvent d’Angélique. Béralde marche sur des œufs avec son frère mais ses précautions redondantes (insistantes) ne font qu’agacer Argan (tempérament acariâtre de ce dernier). Aborde le sujet au bout de sa quatrième réplique. Ces nombreuses précautions servent aussi à rassurer Béralde qui veut débattre avec son frère de manière raisonnée et mesurée « 

adorait. Son égarement est témoigné par une antithèse dans laquelle elle évoque son ennemi et son idole : « Pour bannir l'ennemi dont j'étais idolâtre » (v 293). Phèdre éprouve donc de la passion pour Hippolyte mais elle s'engage dans une lutte inutile contre cet amour. Tout d'abord, Phèdre tente de lutter contre son amour pour Hippolyte. Pour cela, elle a recourt à la religion. Elle utilise d'ailleurs le champs lexical de celle-ci : « vœux assidus », « temple », « orner » et « autels » (v 279

en 1655 sous le titre de « La Précaution inutile » (la même nouvelle fut traduite à nouveau l'année suivante par Antoine Le Métel d'Ouville, sous le même titre.) De ces deux traductions, outre quelques phrases textuellement reprises Molière conserva l'idée générale de l'homme qui, estimant que l'esprit rend les femmes frivoles et infidèles, fait élever une jeune fille dans l'ignorance la plus totale des choses du monde avant de l'épouser, et qui malgré cette précaution se voit trompé par celle-ci.

trait à ce tableau des misères humaines. (4) Cependant une grande partie d'entre elles suivirent dans la Citadelle ceux qui leur étaient chers, sans que personne les empêchât ou les rappelât; car cette précaution qui aurait eu pour les assiégés l'avantage de diminuer le nombre des bouches inutiles, semblait trop inhumaine. (5) Le reste de la multitude, composé surtout de plébéiens qu'une colline si étroite ne pouvait contenir et qu'il était impossible de nourrir avec d'aussi faibles provisions,

Rosine se mettent à la fenêtre. ROSINE. Comme le grand air fait plaisir à respirer !... Cette jalousie s'ouvre si rarement... BARTHOLO. Quel papier tenez-Vous là ? ROSINE. Ce sont des couplets de La Précaution inutile, que mon maître à chanter m'a donnés hier. BARTHOLO. Qu'est-ce que La Précaution inutile ? ROSINE. C'est une comédie nouvelle. BARTHOLO. Quelque drame encore ! quelque sottise d'un nouveau genre ! ROSINE. Je n'en sais rien. BARTHOLO. Euh, euh, les journaux et l'autorité nous en feront

Barbier de Séville en 1765. La pièce, qu’il destinait à l’origine aux comédiens italiens et qui devait prendre la forme d’un livret d’opéra-comique (d’où le rôle joué dans l’intrigue par Bazile, le maître à chanter, et par la partition « La Précaution inutile ») fut finalement montée pour la première fois par la comédie française en 1775 et remporta bientôt un vif succès. Il fallut attendre 1782 puis 1816 pour que Giovanni Paisiello puis Rossini la mettent en musique. Le Barbier de Séville est le