La Psychologie De Meursault

Meursault est un jeune homme qui habite à Alger d’apparence qui se laisse aller par les sensations poussé par sa psychologie simple et primaire et qui reste mû de sentiments. On voit l’absence de toute émotion apparente le jour de l’enterrement de sa mère (sa seule famille) où il prend ses distances et il reste ironiquement isolé,en se laisent aller par les sensations. Aussi,sa manque de valeurs étiques est refleté dans son rendez vous avec Marie (sa maîtresse) le lendemain de l’enterrement

en 1967. a.Le personnage principal : Il s’agit de Meursault, le narrateur, un employé de bureau algérois. On pourrait penser que par le récit à la première personne, Camus a voulu s’identifier à son personnage central. Mieux, il a rompu la distance habituelle entre un romancier et son héros pour lui donner l’impression d’être étranger à tout, y compris à lui-même. Ce qui est sûr, c’est qu’il a créé un personnage dont la psychologie chancelante est difficile à comprendre. Le roman s’ouvre sur

en 2 parties symétriques :  1ère partie : Meursault décrit sa vie avec un total détachement sa vie quotidienne à Alger depuis la mort de sa mère jusqu’au meurtre qu’il a commis.  2ème partie : Meursault est emprisonné, jugé et condamné à mort, ce qui va induire de tous les faits de la partie précédente et ainsi construire une sorte de symétrie. (Problématique) Cette scène du procès ouvre le 4ème chapitre de la 2nd partie, Nous verrons comment Meursault incarne le personnage de l’absurde à travers

vis-à-vis de Monsieur Meursault et de son meurtre horrible. Nous allons d'abord revenir sur le meurtre de manière détaillé, sur les différentes étapes amenant le moment fatidique, où un jeune homme fut tué de sang-froid. Nous remontrons jusqu'aux conséquences de cet acte qui sont de pair avec la psychologique de ce monsieur. Et enfin, nous aborderons le jugement et la peine que mérite cet individu dénué d'humanité. Un dimanche comme n'importe quel dimanche, Mr Meursault décide d'aller dans un

et qu'ils m'accueillent avec des cris de haine Le narrateur, Meursault, employé de bureau à Alger, apprend que sa mère est morte, dans un asile. Il va l'enterrer sans larmes, et sous un soleil de plomb qui ne fait qu'augmenter son envie d'en finir avec la cérémonie. De retour à Alger, il va se baigner et retrouve une ancienne collègue, Marie. Ils vont voir un film comique au cinéma, et elle devient sa maîtresse. Un soir, Meursault croise Salamano, un voisin, et est invité par Raymond, un autre

L’ETRANGER d’Albert CAMUS: l’énigme Meursault L’ETRANGER  Jamais roman n’a été aussi bien nommé tant ce qui nous interpelle d’abord est son caractère énigmatique.  Si l’incipit (ouverture romanesque) vise en général à présenter les personnages, mettre en place un décor, amorcer l’intrigue ou l’histoire à venir, ici on se heurte d’entrée à un personnage-narrateur dont les premiers mots n’auront d’autres effets que d’épaissir son opacité : « Aujourd’hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je

56)c 57)b 58)a 59)a Etude du personnage de Meursault selon la problématique “ quelle est la vision de l’homme et du monde dans L’Etranger ? » I) Vision du personnage Particularité du roman : le narrateur= personnage principal. Récit à la 1ère pers. du singulier et pt de vue interne > nous voyons par les yeux du personnage mais nous ne voyons pas le personnage envers lequel nous n’avons aucun recul. Seulement le personnage de Meursault est « étrange » car il ne réagit pas comme nous et

le lecteur sait qu'il va avoir affaire à une voix par la focalisation interne, qu'il aura affaire à un narrateur vivant et racontant et le roman va compter moins pour les événements relatés que pour la manière dont ils sont relatés: ce qui vit Meursault est assez banal, mais ce qu'il en dit, la manière dont il le perçoit est intéressant. Ce n'est pas la première fois que cette focalisation interne est employée, mais c'est une des premières fois que la voix du roman est indicatrice de tant de choses

"je" en anaphore, renforcé par les pronoms possessifs.- Simultanéité entre moment où il écrit et le déroulement des événements. Le lecteur est projeté dans le présent du héros. -Ambiguïté car tout de suite dans l'action (in medias res) - « Mme Meursault est entrée ici il y a 3 ans. Vous étiez son seul soutient. » : récit mené à la 1ere personne du singulier → énonciation intradiégétique et permet la subjectivité (introspection) -on aprend le décès par une phrase courte puis il établit le planning

de l’asile, le patron). On connaît juste le nom du personnage principal, par déduction (« Mme Meursault »), de même que l’on déduit le métier de Céleste (restaurateur) et la fct d’Emmanuel (ami de Meursault). * C’est au lecteur de combler les silences du texte C. L’action Le roman débute après un événement important : la mort de la mère du PP. Le lecteur assiste alors aux démarches de Meursault en vue de l’enterrement : les démarches professionnelles et vestimentaires, le repas à Alger