La Publicité Dicte T Elle Nos Désirs

comme l’immédiate réalisation de mes désirs. C’est ainsi que la représentation d’un soleil, de cocotiers, de femmes à foison (ou d’hommes, peu importe) et d’une belle voiture peuvent m’apparaître comme les images mêmes de la liberté – ainsi qu’ils se présentent dans les téléfilms et les publicités. Là, comme en mes rêves la nuit, nulle étrangeté, nulle résistance d’une quelconque extériorité vis-à-vis de l’ordre de mes désirs ne viendrait s’immiscer. Nos désirs s’épancheraient de façon spontanée,

comme l’immédiate réalisation de mes désirs. C’est ainsi que la représentation d’un soleil, de cocotiers, de femmes à foison (ou d’hommes, peu importe) et d’une belle voiture peuvent m’apparaître comme les images mêmes de la liberté – ainsi qu’ils se présentent dans les téléfilms et les publicités. Là, comme en mes rêves la nuit, nulle étrangeté, nulle résistance d’une quelconque extériorité vis-à-vis de l’ordre de mes désirs ne viendrait s’immiscer. Nos désirs s’épancheraient de façon spontanée,

ir Problème : y –t-il un conflit entre les vrais et les faux besoins ? Peut-on distinguer de vrais et de faux désirs ? Désir : Si l'on en croit une étymologie incertaine, mais attestée par les Anciens, le désir, formé à partir du latin desideratio, aurait dans cette langue quelque chose à voir avec le ciel ou la constellation. Formé à partir de sidus -la constellation d'étoiles, plutôt que l'étoile isolée- le mot latin qui a donné désir en français relèverait de l'ancienne langue des augures

reconnaître ? Le dasein nous l’avons vu est l’être-là. Cet être-là n’existe jamais seul car l’existence humaine est le fruit d’une réalité physique, d’un déploiement dans une sphère physico-chimique. L’homme qui a son être-à-porter, cherche à assouvir ses désirs et ses besoins. Des besoins d’ordre alimentaires, culturels, cultuels, idéologiques etc. De la sorte, l’homme a le devoir d’accéder aux domaines qui lui permettent de se développer. Ces domaines lui sont apportés par les sphères socio-économiques

s'opposent Théories microéconomiques A.Marschall et J.R. Hicks Elles s'appuient sur une conception de l'autonomie et de la rationalité des individus, pour expliquer que les consommateurs sont libres de choisir les biens qu'ils achètent. Leurs désirs sont subjectifs et varient de manière identique dans les différents groupes sociaux. Ce sont les prix et le niveau de revenu qui expliquent les choix effectifs des consommateurs, lesquels s'efforcent de satisfaire d'abord leurs besoins élémentaires

misère de l'homme ? Le désir suppose-t-il la connaissance préalable de son objet ? Que peut nous apporter une réflexion sur nos désirs ? Les hommes ne désirent-ils rien d'autre que ce dont ils ont besoin ? Accomplir tous ses désirs, est-ce une bonne règle de vie ? Désirer, est-ce nécessairement souffrir ? Faut-il savoir limiter ses désirs pour être heureux ? Les désirs ne sont-ils que caprice ? I LE DESIR CONJUGUE AU NEGATIF A/ Le désir est sans bornes 1. La distinction désir / besoin Les besoins

définitive, morale, éthique, … = système de valeurs, principes fondamentaux de pensée et d’action. L’éthique sous entend règles de conduites, (« lois des affaires » et autres « 10 commandements » édictés par de plus en plus d’entreprises). L’éthique dicte ainsi les attitudes et les choix face à l’économie, le marché, les salariés, le profit, … ceci à l’image du droit. Mais, même si l’éthique et la loi ne s’opposent pas, la première, qui suppose un arbitrage individuel, personnel entre ce qui est bon

des œuvres 1, Au Bonheur des dames, Emile Zola L’auteur Emile Zola (1840-1902) Romancier naturaliste, né à Paris et décédé en Angleterre, il s’établit à Paris en 1858 où il pratique de nombreux métiers dans les milieux du journalisme, de la publicité et de la critique. Dès 1868, il conçoit une vaste histoire naturelle et sociale sous le second Empire, qui deviendra le massif romanesque des Rougons-Macquart (1871-1893) http://storage.canalblog.com/40/15/201070/37207979.jpg Quelques œuvres :

ii. Ancrer le spectateur dans le dispositif pour le contraindre à y participer et donc à participer à la temporalité de l'œuvre → L'orientation du regard reste cependant une recherche de la part des producteurs de l'œuvre. Ex : murs d'images, de publicités, etc. c- Codes et conventions du temps au service de l'expression artistique i. Arché ou le supposé savoir : capacité du spectateur à décoder le modèle plastique (qui impose un temps de création en amont, durée du récit de l'œuvre, etc.)

trouvé son milieu. Il s’était révélé grand spéculateur, brasseur de millions ». Comme Macbeth, des voix lui crient : « Tu seras riche » (chapitre 2). Saccard est aussi manipulé par les siens : Eugène, son frère ministre, lui donne des ordres et lui dicte sa conduite. Mais Saccard doit avant tout se défier de lui-même : son imagination trop productive lui fait inventer des histoires invraisemblables qui sentent le soufre et manquent de ruiner ses entreprises, « conte à dormir debout qu’il venait d’inventer