La Rabouilleuse

FERRAGUS : nom de guerre de Gratien Bourignard, ancien entrepreneur de bâtiment, forçat évadé, père de Clémence. – Ida GRUGET : couturière, prostituée, maîtresse de Ferragus. Elle se jette dans la Seine et son suicide est évoqué par sa mère dans La Rabouilleuse. – Auguste de MAULINCOUR : officier de cavalerie (son nom réapparaît dans Le Contrat de mariage et La Duchesse de Langeais). – Vidame de PAMIERS : ancien commandeur de l'ordre de Malte, ami de la baronne de Maulincour, grand-mère d'Auguste (figure

efforts déployés au cours de sa vie et par la consommation excessive de café. 11) Quelques œuvres : - Les Chouans, 1829 - Eugénie Grandet, 1833 - Le Père Goriot, 1835 - La Maison Nucingen, 1838 - Illusions Perdues, 1837; 1839; 1843 - La Rabouilleuse, 1842 - Ursule Mirouët, 1842 - La Cousine Bette, 1846

Le Père Goriot (1835) Le Lys dans la vallée (1836) La Vieille Fille (1836) César Birotteau (1837) La Maison Nucingen (1838) Les Secrets de la princesse de Cadignan (1839) Béatrix (1839) Illusions perdues (I, 1837; II, 1839; III, 1843) La Rabouilleuse (1842) Modeste Mignon (1844) La Cousine Bette (1846) Le Cousin Pons (1847) Splendeurs et misères des courtisanes (1838) ; Werdet (1844-1846) Furne  (1847) Ursule Mirouët (1842) ; Souverain (1843) Balzac emploie une méthode que Marcel

entretient fastueusement Esther Gobseck, sa maîtresse dans Splendeurs et misères des courtisanes. Ce personnage est aussi présent, entre autres, dans le Député d'Arcis, la Cousine Bette, Melmoth réconcilié, l'Envers de l'histoire contemporaine, la Rabouilleuse, Ferragus, Eugénie Grandet, Illusions perdues, la Fille aux yeux d'or, la Peau de chagrin, le Cabinet des Antiques, le Cousin Pons, Gobseck, le Bal de Sceaux, Sarrasine. Anastasie de Restaud[modifier] Fille aînée du père Goriot qu’elle a pratiquement

commandées par Elie Magus. Enthousiasme de Vervelle pour un peintre qui réunit le talent de Rubens, du Titien, etc., et mariage de Pierre Grassou avec la jeune héritière. – Joseph BRIDAU : ici, mais déjà célèbre, ce vrai peintre attend son roman (La Rabouilleuse). Camarade d'atelier de Pierre Grassou, il essaie de le dissuader, puis intervient tout de même pour qu'il soit exposé au Salon. – Pierre GRASSOU (né en 1792) : fils d'un paysan breton dévoué à la Monarchie. Il tire de sa ville d'origine, Fougères

humaine, après avoir envisagé le titre d’Etudes sociales. Chaque roman est l’occasion d’explorer un milieu donné et d’étudier des types humains. César Birotteau et le monde du commerce, La maison Nucingen et celui de la banque, Eugénie Grandet, La Rabouilleuse et la bourgeoisie provinciale, Le père Goriot, un homme victime de l’amour qu’il porte à ses filles ingrates, Les Chouans, épisode de la révolution, etc., chaque roman peut se lire comme une étude sociologique. De grandes figures parcourent ses

 (de)   Beaumarchais   Beaumarchais   Cervantès   Corneille   Diderot   Flaubert   Hugo   Marivaux   Maupassant   Molière     Molière     Molière     Molière     Racine   Zola   Eugénie  Grandet   La  Rabouilleuse  ou  Un  ménage  de  garçon   Le  Mariage  de  Figaro   Le  Barbier  de  Séville   Don  Quichotte   Cinna  ou  la  clémence  d’Auguste   Jacques  le  Fataliste  et  son  maître   Un  cœur

1835  Le Lys dans la vallée, 10 juin 1836  La Vieille Fille, 1836  César Birotteau, 1837  La Maison Nucingen, 1838  Les Secrets de la princesse de Cadignan, 1839  Béatrix, 1839  Illusions perdues (I, 1837; II, 1839; III, 1843)  La Rabouilleuse, 1842  Modeste Mignon, 1844  La Cousine Bette, 1846  Le Cousin Pons, 1847  Splendeurs et misères des courtisanes, 1838, (Werdet), 1844-1846, (Furne), 1847 (Furne)  Ursule Mirouët, 1842, (Souverain), 1843, (Furne) • Citations : «

1842, Monsieur Hanski meurt. Désormais, l'espoir d'épouser l'Etrangère domine sa vie : en 1842, il va voir Mme Hanska à Saint-Pétersbourg; en 1845, il l accompagne à travers toute l'Europe occidentale. Son activité littéraire se ralentit. Après la Rabouilleuse en 1842 et Splendeurs et misères des courtisanes entre 1839 et 1847 paraissent les Parents pauvres (La Cousine Bette, 1846; le Cousin Pons, 1847). En 1850, à Berditchev, il épouse enfin Eveline Hanska. Le retour à Paris s'effectue en mai, mais

grenier », ("Le Père Goriot"), « j'ai vu brûler des testaments » ("Ursule Mirouët"). « J'ai vu des mères dépouillant leurs enfants » ("Gobseck"), « des maris volant leurs femmes » ("La Muse du département"), « des femmes tuant leurs maris » ("La Rabouilleuse", "Le Colonel Chabert"). « J'ai vu des femmes donnant à l'enfant d'un premier lit des goûts qui devaient amener sa mort »  ("La Femme de Trente ans"). En conclusion, la place de Derville dans le roman est celle de porte parole de l’auteur. 2.