La Rage De Camille

faut que je vous mettes en contexte, la scène : Le guerrier romain Valere fait savoir que la fuite d’Horace était une feinte , il a tué les trois Curiaces qui s’étaient séparés pour courir à sa poursuite. Le vieil Horace est joyeux et fier ; mais Camille pleure son fiancé, s’oppose à son frère et maudit Rome, cause de son deuil. Horace indigné la tue. Alors, en ce qui concerne le décor, j'avais imaginé un halle de palais avec : faisant office de murs porteurs 12 Colosses représentant les 3 dieux

compagnie de son précepteur, maître Blazius. Sa cousine Camille, accompagnée, elle de dame Pluche, sa gouvernante, rentre également au château. Le baron rêve d'unir Camille et Perdican et il confie ce projet à maître Blazius et à Bridaine, le curé du village. Mais les retrouvailles entre le cousin et la cousine sont glaciales . Camille reste insensible lorsque son cousin évoque leurs souvenirs d'enfance. Aux propos nostalgiques de Perdican, Camille oppose des répliques sèches et laconiques. Durant

son ami d’enfance Camille. Pour la jeune femme les soirées sont monotones et ennuyeuses avec son mari. Jusqu’au jour où, elle rencontre Laurent, un proche ami de son mari, dont elle tombera follement amoureuse. Pendant quelques temps, Laurent et Thérèse vont vivre leur passion amoureuse dans le secret, la jeune femme trompant donc son mari. C’est alors que c’est la folie qui envahi les deux personnages, voulant tout deux que Camille disparaisse. Arrivant à leur fin, et Camille étant mort, les deux

Maître Bridaine, curé. Camille, nièce du Baron Dame Pluche, sa gouvernante. Rosette, sœur de lait de Camille. Le chœur de paysans. Evènements important : Thèmes abordés : 2. Résumé: Perdican, fils du baron et jeune docteur revient chez son père en compagnie de son précepteur, maître Blazius. Sa cousine Camille, accompagnée, elle de dame Pluche, sa gouvernante, rentre également au

il nous présente deux personnages Thérèse et Laurent, que leur liaison conduit au meurtre. La scène se passe sur un bateau, une barque plus précisément sur une rivière. Ce passage met en œuvre un meurtre lié à la volonté de faire disparaître Camille, le mari de Thérèse qui vit une histoire d’amour avec Laurent. Comment Zola met-il en évidence la violence de la scène ? I. Une atmosphère inquiétante 1. Un lieu obscur D’emblée, l’auteur nous décrit un lieu très peu rassurant. Une atmosphère

Date de création : 1916 Indications : Dessin de Camille Boutet, école communale de filles de la rue Camou. Lieu de Conservation : Musée d'histoire contemporaine / (Paris) Contexte historique 1916 : cela fait déjà deux années que la Grande Guerre fait rage, qu’elle prive les enfants de leurs pères, les mères de leur soutien. Deux années que l’État, les acteurs économiques et industriels, la société tout entière se dévouent pour mener à terme ce combat à mort. 1916 est une année particulièrement

Ô ciel ! qui vit jamais une pareille rage ? Crois-tu donc que je sois insensible à l’outrage, Que je souffre en mon sang ce mortel déshonneur ? Aime, aime cette mort qui fait notre bonheur, Et préfère du moins au souvenir d’un homme Ce que doit ta naissance aux intérêts de Rome. CAMILLE. Rome, l’unique objet de mon ressentiment ! Rome, à qui vient ton bras d’immoler mon amant ! Rome qui t’a vu naître, et que ton cœur adore ! Rome enfin que je hais parce qu’elle t’honore ! Puissent

L'histoire d'une passion adultère et d'un crime... presque parfait. Nous sommes à Paris, vers 1850. Mme Raquin élève toute seule son fils Camille et sa nièce Thérèse, abandonnée par son père. Étant fragile de santé, Camille est couvé constamment par sa mère qui est beaucoup trop protectrice. De ce fait, Thérèse doit subir une atmosphère maladive et étouffante mêlée de solitude et de repliement. Elle rêve de courir libre au bord de la Seine. Les années passent, les deux enfants grandissent ensemble

suivants. « Arrêté dans sa croissance », « pauvre petite figure pâlie », porteur d'un prénom éventuellement féminin, Camille[2] annonce les créatures indistinctes, au sang appauvri — bâtards, ataxiques, hommes-femmes, petits crevés pré-décadents — qui apparaîtront sporadiquement dans Les Rougon-Macquart. Le romancier oriente sensiblement l'attitude du lecteur vis-à-vis de Camille en employant des (dé)qualifiants péjoratifs. Il est d'« un égoïsme féroce », « abruti et vaniteux » (ch. XI) ; dans les

peu plus tard, et sa mère est morte. Elle a été élevée avec son cousin Camille, qui était toujours malade. Elle a été élevée à Vernon. Elle a appris à rêver et à ne rien dire, pour ne pas déranger son cousin, qui dormait dans la même chambre qu’elle. Quand elle a eut 21 ans elle se maria avec Camille, c’était un mariage arrangé. Ils ont toujours vécu avec mme Raquin, Camille a décidé d’aller vivre à Paris elle est venue. Camille voulait travailler dans un bureau, il trouva un emploi dans un bureau