La Raison du plus fou

On prétend que l’amour aveugle et que même les plus sages déraisonnent en aimant. Loin des contraintes sociales et des faux-semblants, il peut s’épanouir librement : être fougueux, exclusif, capricieux ou tyrannique… L’excès ne le condamne pas, mais le confirme plus vivement. Il est d’autant plus fort qu’il est plus fou. Mais pourquoi serait-il aveugle ? Car quoi qu’on dise, il y a de la raison dans l’amour. Nous n’aimons pas passionnément sans raison : nous aimons le charme d’une personne, sa force

veut dire raisonner sachant que dans le mot raison il y a deux possibilités « avoir raison » et « se tromper » , juger , avoir pour opinion. Alors, est t-il vraiment nécessaire ou possible de penser par soi même pour rechercher la vérité ? Afin de répondre à cette problématique, nous allons réfléchir dans un premier temps à parait-il si évident qu'il soit si nécessaire de penser par soi même pour rechercher la vérité Ensuite nous allons voir les limites au pouvoir de notre raison et dans une

Afrique aux mœurs et traditions ancrés. Us et coutumes qui feront l’objet de batailles rangées entre deux générations disjointes : Jeunes et Vieux. Les premiers éblouis par une culture nouvelle avec des attitudes nouvelles et à l’apparence beaucoup plus commode sous leurs yeux immatures, aidés par les colonisateurs, tentent de faire leur poids en dénigrant irrespectueusement les valeurs auxquelles les sages africains s’accrochent de tout leur sang. Ces derniers, nantis par un sens du devoir spirituel

repectée de tous. Vieux-Os est un enfant qui a une sagesse incroyable et une façon de penser très mûre pour son âge. À travers ce roman, il y dépeint le mode de vie haïtien en y racontant ses journées à l’école, ses sorties avec ses amis, son amour fou envers Vava, les rivalités politiques de sa ville, l’injustice, la malnutrition, la pauvreté : le charme infini et triste des après-midis à Petit-Goâve. Dans ce roman, Dany Laferrière nous raconte avec naïveté son pays natal, mais il nous avoue aussi

toujours extérieurs et qui met 1’accent sur la réalité du phénomène. Le fantastique clinique, au contraire, se distingue par l’intériorisation de l’expérience insolite. Les angoisses du héros sont dans la première phase intériorisées pour réapparaìtre plus tard à l’extérieur sur le mode hallucinatoire. Les visions, les fantasmes, les hallucinations se substituent alors au phénomène sumaturel traditionnel. Cependant la folie du héros n’est que suggérée, elle est une des interpretations possibles du

comme l’Etrangé ou La peste. Mais aussi, auteur de la pièce Caligula, auquel il lui fallut a peu près 5ans pour a publier a cause de nombreuses retouches. Caligula fut le troisième empereur romain après Auguste et Tibère, est un des empereurs les plus critiqué. Nous allons ici, étudier l’adaptation qu’à fait Albert Camus du mythe de Caligula. Pour cela, nous essayerons de voir si Camus à été fidèle a la véritable histoire de celui-ci, puis nous étudierons les différentes philosophies qui sont développé

parents tôt et grandit dans un foyer aisé en Virginie. Il s'en va pour l'armée en 1827 et publie ses trois premiers écrits à ce moment-là. Il écrit le chat noir et le publie en 1943 dans le "Saturday Evening Post". Il s'agit d'une de ses histoires la plus dérangeante, se concentrant sur la cruauté envers les animaux, le meurtre, la culpabilité, décrits par un narrateur alcoolique. Poe se sert de cet écrit pour dénoncer l'alcoolisme, son frère et père atteints de cette addiction. Sa femme meurt en

(une orpheline que sa famille a adoptée), ses études et les raisons qui l'ont poussé à créer un monstre. Il parle alors de la « naissance » de la créature comme du début de sa descente en enfer. Il décide de retourner auprès de sa famille mais apprend à son retour l'assassinat de son jeune frère William. Pour lui, le meurtrier est évidemment le monstre, mais il ne peut rien prouver, ni en parler, craignant, à juste titre, de paraître fou. Il décide donc de s'isoler dans les Alpes et tombe ainsi sur

fait une bonne affaire.Ce lassot et ce chapeau de cow boy ne m’ont coûté que 10 £ ! Ils en valent sûrement le double » Mr Wapol : «Tu as raison ! D’ailleurs, ce cordage me rappelle une affaire célèbre qui remonte à une dizaine d’années… » Mr Reafton : «eh bien, viens ! On va prendre une bière au pub, tu me raconteras tout cela » Mr Wapol : « ce fut ma plus belle affaire et la Presse lui a donné le nom de l’ « affaire du Serpent jaune » Mr Reafton : « pourquoi le serpent jaune ? » Mr Wapol :

LE CHAT NOIR de Edgar Allan Poe 1843 Au récit le plus fou et pourtant le plus banal que je m’apprête à écrire, je n’attends ni ne demande nulle créance. Je serais fou de m’y attendre, dans une affaire où mes sens eux-mêmes réfutent leur propre témoignage. Pourtant, je ne suis pas fou et je ne rêve sûrement pas. Mais si demain je meurs, aujourd’hui je voudrais libérer mon âme de ce fardeau. Mon premier objectif est de présenter au monde, simplement, succintement, et sans commentaires, une série