La Raison Entre T Elle Nécessairement En Conflit Avec La Croyance Religieuse

emprisonné dans ses représentations. C’est ce que l’on nomme le solipsisme. Formule célébrissime de Descartes : « Je pense donc je suis ». C’est le cogito, la certitude indubitable que l’on existe. En effet, soit aucun Malin génie n’existe, et j’ai raison de penser que j’existe ; soit un Malin génie existe mais pour qu’il me trompe il faut bien que j’existe. Mais puisque c’est la seule chose dont je puisse être absolument certain (j’existe), ne suis très limité dans mes certitudes. Paradoxalement,

jour après jour : c’est une question de valeurs et de choix de société donc de liberté. D’où la difficulté de s’orienter dans un monde organisé et désorganisé par la confrontation de ses 2 autorités. Il semblerait donc qu’il y ait une distinction entre le monde de la science et celui des valeurs, plus exactement un vœu de séparation. La science s’occupe des faits et les hommes disposent de cette connaissance pour décider des valeurs. Il n’y a pas de connaissance objective du bien. Dans ce cas où

cela concerne non seulement une identification à un territoire, à un mode opératoire soit de fonctionnement, la traduction d’un sentiment d’appartenance. Ce mode d’attachement qui est nécessaire, comme prolongement naturel, obligatoire est nécessairement marqué par des caractéristiques culturelles. L’exercice du pouvoir n’est pas le même en fonction de la société, parce que les valeurs fondamentales sont différentes. En France centralisateur et hiérarchique, un rôle prépondérant. Aux USA, autonomie

de considérer que finalement l’Etat était et devait être limité par le droit dans la mesure où le droit est extérieur à l’Etat. Autrement dit, selon Duguit, l’Etat en réalité n’est qu’un ensemble de services publics, ce qui signifie qu’il est nécessairement limité, et en même temps cela le légitimerait. Mais l’Etat est surtout limité dans la mesure où il ne disposerait de la puissance publique que pour répondre aux besoins collectifs. L’idéologie du service public conduit donc, dans une certaine

(peuplé d’eunuques dirigé par le praepositus sacri cubiculi). 1 questeur du palais, maître des offices, comte des Largesses sacrées comes sacrarum largitionum et comte des biens privés comes rei privatae → Réforme de l’armée avec une opposition entre les comitatenses (armées de campagne dirigées par un magister militium) et les limitanei (troupes des frontières dirigées par un dux) qui se traduit par un enrôlement massif de barbares. → Refonte monétaire avec l’apparition du solidus ou nomisma

réels). Il existe un lien très étroit entre les deux notions : c’est le droit objectif qui permet à chacun d’entre nous d’invoquer un certain nombre de droits subjectifs. La règle de droit : La règle de droit impose, ordonne, défend, interdit, puni, récompense ou permet tel ou tel comportement. Règle : 1 - Commandement – caractère obligatoire ; 2 – Générale – s’applique à tous ; 3 – Permanente – son application dure de son entrée en vigueur à son abrogation. Conduite :

pourrait l’être à telle(s) condition(s), ou au contraire est peu ou pas du tout légitime, sans qu’on ait la moindre idée précise des critères retenus pour décider, en toute rigueur, de ce qui est ou non légitime. Très souvent, un va-et-vient constant entre les niveaux analytiques, normatifs et prescriptifs caractérise ces études sur la « légitimité » du juge, en sorte qu’une confusion généralisée règne autour du concept. Malgré tout l’intérêt et toute la qualité de ces travaux qu’il ne s’agit nullement

est oppressant, voir ce qui est interdit de faire. Il exerce un rôle protecteur et rassurant Le droit est un phénomène inhérent à la société (dualisme du droit). Il est essentiel pour la réduction des tensions sociales. Dans une vie sans droit, les conflits sont réglés par la force : le plus fort impose sa volonté. Il existe deux définitions différentes du droit : • • Le droit est un ensemble de règles juridiques dont le respect est sanctionné par une autorité publique. (ex : règlement d’examen, droit

consacré à une analyse des institutions et des textes législatifs. Etudier le droit et les institutions d’une période peut avoir un double intérêt : o Analyser le droit et les institutions du passé est un bon moyen pour connaître l’origine et les raisons d’être des institutions actuelles. o Le droit et les institutions sont révélateurs de la société dans laquelle ils sont apparus. Cela permet donc de mieux comprendre la période de l’époque en question. SECTION 1 La crise de l’Ancien Régime → Tirer

sur les français II) Persécutions et intolérance pour de l'unicité religieuse (EX : les protestants) 1) La religion comme un outil d'unification de la nation au dépend de la liberté individuelle 2) Comment ce désir d'unicité est-il accepté par les français ? 3)Le débat religieux autour des protestants comme premier pas vers l'échec de la monarchie III) Développement d'une nouvelle forme de foi religieuse 1) Intériorisation de la foi et relachement des pratiques