La Religion Aliène T Elle Ou Libère T Elle

besoin inconscient se joue qui fait de la philosophie l’expression de l’aliénation même de l’homme et du philosophe la figure de l’humanité en tant qu’elle est aliénée. « Le philosophe - lui-même forme abstraite de l'homme aliéné - se donne pour la mesure du monde aliéné »4 1 Marx, Manuscrits de 1844, Editions Garnier Flammarion, Jean Salem, Paris, 1996, p. 162. 2 Althusser, Pour Marx, Edition la Découverte, Paris, 1990, p. 24 3 Cf. Bachelard

comme Marx le met au jour de manière systématique, l’exigence de productivité et de rentabilité propre à la société capitaliste, brise cet élan libérateur : le travail est de plus en plus exploité tandis que la technique, de plus en plus envahissante, aliène l’homme, comme en témoigne aujourd’hui l’usage compulsif du téléphone portable. C’est pourquoi les philosophes, souvent technophobes, privilégient ce que les Grecs appelaient la skole, que l’on traduit par loisir et qui, loin d’être un moment de paresse

québécois. Les auteurs y dénoncent l’histoire du Québec comme une succession de colonisations qui ont aliéné la population (France, Angleterre, Vatican). Ils aboutissent au constat de la nature guerrière de l’homme (Deuxième guerre mondiale). Selon les automatistes, ce comportement belliqueux est le résultat d’une distorsion du cœur de l’homme qui fut trop longtemps asservi au culte de la raison et de la religion catholique. La seule manière de transformer la société en un monde meilleur, expliquent-ils,

nous vivons le travail comme étant une forme suprême d’aliénation (étranger à soi même et privation de liberté). Mais le travail peut aussi être une forme suprême de liberté. Libération par le travail au sens où par l’effort que l’on accomplit on va libérer (faire surgir) des capacités, des possibilités… Travailler c’est réaliser quelque chose et se réaliser soit même. I – L’humanisation par le travail (1) – Travailler et souffrir Une parturiente connaît une phase de travail, de souffrance (contractions)

mentale. Ce sont d'abord les sciences dures, la biologie, la médecine, l'arithmétique (et ses dérivés statistiques), qui ont permis de créer une légitimité pour ces institutions. Car si la santé mentale au Moyen-âge trouvait ses origines dans la religion, sa perception a bien changé depuis lors. La compréhension de la folie et son appréhension médicale ont été nécessaires pour envisager d'encadrer les conséquences des maladies mentales. La médecine du Dr Pinel a permis de mettre en évidence la nécessité

définitive dans la pure connaissance ? Y a-t-il encore piété, là où le savoir a remplacé la croyance ? D’autre part, est-il bien certain que l’explication rationnelle des phénomènes ait pour conséquence l’abandon des croyances et des rites religieux ? La religion n’a-t-elle pour seule tâche que de proposer une explication (erronée ou non) du monde ? Et l’inquiétude métaphysique disparaît-elle vraiment en même temps que l’ignorance ?  cf. l’opposition croire/savoir : la croyance peut être considérée comme

par Martin Luther, moine augustin, professeur d’université et père du protestantisme. Ainsi, le but initiale de cette réforme était le retour aux fondamentaux du christianisme, pour Buttgen cela ca plus loin puisque cette réforme qui prétend libérer la religion chrétienne de l’influence papale dénature l’idée de liberté étant donné qu’elle nie la notion de libre arbitre qui est incompatible selon elle avec l’idée meme de liberté, pour Luther la notion de liberté est liée avec la notion de prédestination

organisée. De ce fait, nous retombons vite dans le profane et restons dans ce cercle. La déchéance est causée par le profane qui nous aliène. En effet, l’être humain est enchainé et ne cherche que la conservation de soi. Pourquoi ira-t-il se questionner sur le sens de sa vie alors qu’il pense qu’à ses besoins essentiels nécessaires à sa conservation de soi? La religion est la première qui vient apporter de l’organisation au sacré. Elle donne un sens à l’existence humaine. Elle rend la mort dans

l’utilisation de la nature à des fins techniques et utilitaires. L’animal s’adapte au milieu naturel guidé par son instinct, alors que l’homme doit penser, inventer, créer les médiations rendant possible ses adaptations. Avec Marx, l’homme est naturellement aliéné à son milieu, c’est une aliénation naturelle, car il dit travailler, cultiver son milieu. Pour perfectionner cette adaptation, il va créer des outils qui vont accélérer le processus de transformation du milieu, un milieu qui devient de plus en plus

vos potes de terminale de TOUTES LES SECTIONS émoticône wink identifiez vos amis ici en commentaire !! émoticône wink ) Sommaire : - le travail - la conscience - l'art - la liberté - l'inconscient - la politique - le langage  - la perception - la religion - autrui - morale - désir - culture  - bonheur - l'existence et le temps - la science - l'histoire (n'oubliez pas que les notions sont souvent liées. De plus, vous trouverez ici des doctrines, des thèses mais pas des dogmes.  Il y a toujours une