La Religion Est Elle Irrationnelle

les chamanes, les sorciers ou les grands prêtres. L’autorité de ces derniers amène les membres du groupe à respecter les valeurs prônées par le mythe de peur qu’il ne survienne un désordre général menaçant leur survie. Les récits révélés des religions monothéistes actuelles se démarquent fortement des récits mythiques. Avant l’idée d’un seul Dieu, les grandes civilisations ont été le lieu de discours religieux où cohabitaient des centaines de divinités. Le mythe liait l’homme et le cosmos alors

d’un « mystère de la vie », de quelque chose d’inexplicable. La vie ainsi pensée nous intéresse directement : nous tenons à la vie comme à un bien, à une valeur, par opposition à la mort que nous regardons comme un grand mal que nous craignons. Les religions reprennent toutes cette notion de vie comme principe immatérielle, et se présentent comme des réflexions sur la vie et sur la mort (cf réincarnation, résurrection, vie éternelle etc). Mais la vie ainsi pensée, non seulement ne peut pas être objet

Le changement de ton b) Une double définition de l’ignorance c) La faiblesse de l’Homme Introduction : Cet extrait de L’Histoire des oracles publié en 1686 est un essai dans lequel Fontenelle met en évidence les comportements irrationnels qu’entraînent chez les hommes l’ignorance et la croyance superstitieuse. Ce texte a la forme d’un apologue car il raconte une petite anecdote qui illustre cette tendance à croire un fait, à en donner une explication sans vérifier qu’il était vrai

L’ironie continue avec les victimes. En premier l’inquisition prépare un autodafé et par chercher les victimes. Dans la réalité ceci devra être al envers. Deuxièmement les accusations des crimes sont une simple intolérance de l’église contre une autre religion (les portugais) et la philosophie (Pangloss et Candide). Finalement l’ellipse de huit jours montre qu’aucun jugement n’a été fait ou que celui ci n’avait point d’importance. L’autodafé fini comme un grand festival. On retrouve le champ lexical du

des démonstrations. * croire: du latin credere, être persuadé de la véracité d'un fait ou d'une proposition. tenir pour vrai sans examen ni critique. une adhésion de l'esprit à ce qui est vraisemblable. la croyance fait aussi reference à la religion. croyance < savoir ignorance savoir D : * différence: du latin differentia "différence" s'évalue à partir d'un fond commun, un caractère qui distingue une espèce d'une autre espèce du même genre. par exemple, les hommes sont différents les

– 14ème s = 1000ans) Platon + Aristote + Stoïcisme + Christianisme Activité spéciale : les philos passent leur tps à commenter les txt d’Aristote, à essayer d’opérer des synthèses ac les dogmes du christianisme. C’est une période obscure, irrationnelle. Le mm phénomène se produit ds la culture arabe. L’Islam immerge, 3 gds monothéismes. Les philos arabes commentent les txt d’Aristote et essaient de concilier ses thèses ac le Coran. 2 noms du coté Européen : - St Augustin (350-430) : il essaie

MAGIE ET RELIGION Étymologiquement, la magie désigne l’art des mages, caste sacerdotale des Mèdes, qui cultivaient l’astrologie et autres sciences ésotériques. Mais le mot a pris un sens plus vaste pour désigner les croyances et les pratiques qui ne rentrent pas dans les rites des cultes organisés et qui supposent la croyance en une force surnaturelle immanente à la nature. Cette définition assez ambiguë, explique pourquoi certains auteurs, font de la magie une pré science et pourquoi d’autres la

petit et « omégas » grand, remet en question l’Homme face aux Géants (la relativité avec les différentes échelles). Grande importance des connaissances humaines et de la science (mesure de ce qui dépasse l’Homme). Regard critique sur la société : religion, politique, préjugés dans L’Ingénu (du grec « genos » l’origine), récit à visée argumentative. L’Histoire, la réalité sont évoquées (voyage de Maupertuis et règne de Louis XIV). Importance du motif du voyage dans les 2 textes : ce sont des contes

statut du sujet et son évolution dans le monde contemporain. Resumé : L’auteur réfléchit aux passions fanatiques, à leurs origines psychologiques, à leur dimension irrationnelle provoquant chez le sujet humain mystification et violence. Parmi les passions, il souligne la volonté d’intégrité, mais aussi le ressentiment issu de l’humiliation, la haine et le désir de vengeance. Ces passions semblent inoffensives dans les

conscience d’une rupture entre les réalités et les exigences du système de pensé admis par la société. Probablement issu de l’expérience de la mort, du mal et de l’injustice, ce mode de pensé se trouve « avalé » par la religion chrétienne qui permet d’expliquer de manière irrationnelle les mystères du monde. Mais avec la fin de l’univers médiéval et les nouvelles dimensions géographiques et scientifique du monde, le fossé entre la métaphysique officielle et la vie réelle se creuse encore plus.