La Religion Est Elle Irrationnelle

pour des raisons que la personne superstitieuse ne saurait expliquer, ou pour des raisons considérées comme irrationnelles, non admises par la science moderne. La superstition est un fait universel qui remonte à l’aube des temps, à l’homme primitif. Elle demeure liée à la religion et à la magie, voire à la sorcellerie.

prisonnement au  Moyen Âge. Sans contraceptif (pas encore inventé) elles ont alors développé des  moyens pour remédier à un enfant qui aurait été conçu dans le tort. Or,  l'avortement était plus que mal vu durant ces périodes sous le joug de la  religion.  Cette  pratique  était  en  fait  proscrite.  Pour  ce  qui  en  est  d'aujourd'hui, la sexualité n'est plus du tout perçue comme avant. Elle a évolué  grandement, jusqu'à en arriver que maintenant (du moins, au Québec), l'acte  sexuel  n'est 

philosophique peut donner sens à l’amour de Dieu dans une perspective religieuse. La philosophie qui se met au service d’une religion ne peut plus être philosophie. Elle abandonne le terrain de l’universel et elle perd nécessairement de vue le fait religieux, la réalité complexe de la multiplicité des religions. Pour qu’il y ait une véritable philosophie des religions, il faut que le point de vue qu’elle adopte soit philosophique, le philosophe n’a pas à faire la propagande d’une doctrine quelle

y a un autre magicien plus fort que lui, qui n’est pas moins maître de son esprit, qu’il l’est lui-même de celui des autres ». Montesquieu dénonce une hiérarchie de manipulation : le pape manipule le roi qui manipule les sujets. Le pouvoir de la religion sur les esprits qui est critiqué, comme ici : « tantôt il lui fait croire que trois ne sont qu’un ; que le pain qu’on mange n’est pas du pain, ou que le vin qu’on boit n’est pas du vin ; et mille autres choses de cette espèce ». Les rites religieux

SUJET : Existe-t-il un besoin de religion ? (Voilà un sujet qu'il est intéressant !) PROBLÉMATIQUE : Le besoin consiste-t-il vraiment en la religion ? La religion est-elle un besoin ou répond-t-elle à des besoins ? La religion n'est-elle pas plutôt un outil de pouvoir qui détourne les hommes des réponses qu'ils pourraient trouver en eux en ayant une vie spirituelle plus qu'une vie religieuse ? Le réel besoin n'est-il pas plus spirituel ? PLAN (soit-disant détaillé et que je n'ai pas pu m'empêcher

domaine de la connaissance. III/ Pour une philosophie critique de la croyance 1) Distinguer les bonnes et les mauvaises croyances ou croire dans les limites de la raison. La superstition : Attachement inconsidéré à des croyances irrationnelles sans fondement qui traduisent la volonté de se prémunir contre la peur et l’ignorance en considérant que certains actes ou signes peuvent avoir des conséquences positives ou funestes. La superstition implique l’humiliation de la raison. Au contraire

rend les femmes quasi hystériques et montre la violence engendrée par la foule des clientes qui se jette sur les marchandises Les batailles pour obtenir un bout de tissu convoité... Le sentiment de victoire Zola montre ainsi le comportement quasi irrationnel de ces clientes et l'impact que ces magasins va avoir sur les femmes 4/ Métaphore de l 'église Chapitres 1 , 9 et 14 de mémoire + Vente de blanc Champ lexical de l'église : chapelle , Autel, ange, blancheur , culte ,tabernacle etc + Importance

l'interieur par son sens en dechiffrant sa singularité. Dans les sciences, expliquer c'est ramener la diversité des phénomènes à des causes et à des lois permettant d'en faire des cas particuliers. Le mal est compris comme une absence de bien, les religions lui doivent en partie leur existence. Cependant la comprehension du mal un probleme en effet ses causes son irrationelle et pas forcement intelligible par la raison. Mais alors cette incomprehensibilité est elle dur a notre raison qui est limitée

tout ce qui est. Cette présence que l’on ressent à chaque battement de cils, à chaque pulsation de cœur et à chaque mouvement que l’on ose. Quel est donc ce faux entendement de mes compatriotes qui ne cherchent qu’à vous associer à telle ou telle religion, à telle ou telle apparition et je ne sais encore quelles autre billevesées? Encore une fois, l’Homme a tellement sombré sous le poids de son nombrilisme pour faire valoir ce en quoi il croit, tuant ainsi ses semblables et châtiant ceux qu’il juge

ce spectacle. On assiste à un renversement carnavalesque de la scène. Il y a des victimes expiatoires. Tout est privée de solennité : Voltaire insiste sur des détails sans importance et la cérémonie est ainsi privée de sens. Voltaire critique la religion qui utilise des procédés de spectacles pour proférer la parole de D.ieu avec par exemple des références aux flammes droites (ceux qui allaient mourir). Ce récit respecte les règles de bienséance théâtrale. Il n’y a pas a pas de cris, pas de sang