La Religion Est Telle Une Affaire Privée

Univ ersité de Lubumbashi Faculté de Droit DROIT INTERNATIONAL PRIVE Dr. Maître Yav Katshung Joseph I. Présentation et Plan commenté du Cours De manière très schématique, le droit international privé peut se définir comme la branche du droit qui réglemente les relations privées internationales, qu’il s’agisse de relations entre personnes physiques ou entre personnes morales et qu’il s’agisse de relations non commerciales ou de relations commerciales. Il vise donc à résoudre les complications

délits, de la propriété. Tout ce qui relevait de la vie de famille, de la filiation était régi par la religion. L'Etat civil a été créé à la révolution, avant 1789 il n'y avait pas d'Etat civil, il fallait aller chercher dans les registres catholiques pour retrouver notre filiation. Mais à l'époque on vivait dans une société ou on était intégré dans des règles, on était issu du village de telle région, on était le fils de tel personne, on avait les mêmes idées et souvent le même emploi que ses parents

s’engagent à respecter les droits qui sont énoncés dans la présente Convention et à les garantir à tout enfant relevant de leur juridiction, sans distinction aucune, indépendamment de toute considération de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’option politique ou autre de l’enfant ou de ses parents ou représentants légaux, de leur origine nationale ethnique ou sociale, de leur situation de fortune, de leur incapacité, de leur naissance ou de toute autre situation. 2. Les États parties

l'homme La prodécure de contrôle supranationale commençait nécessairement par la saisine de la commission EDH élue par le comité des ministres pour 6 ans renouvelables. Le rôle le plus important était d’examiner la recevabilité des requêtes. Mais telle n’était pas l’opinion de la cour qui se prononçait à son tour sur la recevabilité d’une requête : arrêt De Wilde c/ Belgique 1971. Grosse controverse sur cette jurisprudence qui explique la suppression de la commission. La procédure éventuelle devant

4- La coutume SECTION 2- LES SOURCES INTERPRETATIVES §1- La jurisprudence  § 2- La doctrine CHAPITRE 3- LES BRANCHES DU DROIT SECTION 1- LES BRANCHES DU DROIT PRIVE § 1- Le droit civil § 2- Le droit des affaires § 3- Le droit social § 4- Le droit judiciaire prive § 5- Le droit pénal § 6- Le droit international prive SECTION 2- LES BRANCHES DU DROIT PUBLIC § 1- Le droit constitutionnel § 2- Le droit administratif § 3- Le droit des finances publiques § 4- Le droit fiscal § 5-

« Code Napoléon », regroupe les lois relatives au droit civil français, c’est-à-dire l'ensemble des règles qui déterminent le statut des personnes (livre Ier), celui des biens (livre II) et celui des relations entre les personnes (livres III et IV) privées. Promulgué le 21 mars 1804 (30 ventôse an XII), par Napoléon Bonaparte, il reprend une partie des articles de la coutume de Paris et du droit écrit du Sud de la France. Modifié et augmenté à de nombreuses reprises à partir de la IIIe République,

: les règles, les codes, permettent de canaliser l’activité de personnes qui se côtoient, d’assurer l’ordre au sein d’une société (= paix sociale) car “l’homme est un loup pour l’homme”. Dans les sociétés primitives, il s’agissait d’une justice privée, basée sur la vengeance. Le droit se construit selon les evolutions de la société : la loi du talion (“oeil pour oeil, dent pour dent”) est une première limitation à la vengeance, celle-ci devient proportionnée (ni + ni -); par la suite sont créées

nationale. » Il convient tout d’abord de définir cette notion dans laquelle le mot liberté implique la faculté de pouvoir agir selon sa volonté sans pour autant être entravé par le pouvoir d’autrui. La liberté de la presse en tant que telle dépend à la fois de la liberté mentale, de la liberté d’opinion et de la liberté d’expression, ces deux dernières étant définies par l’article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme : « La libre communication des pensées et des opinions

politique. Si j'étais prince ou législateur, je ne perdrais pas mon temps à dire ce qu'il faut faire ; je le ferais, ou je me tairais. Né citoyen d'un État libre, et membre du souverain, quelque faible influence que puisse avoir ma voix dans les affaires publiques, le droit d'y voter suffit pour m'imposer le devoir de m'en instruire : heureux, toutes les fois que je médite sur les gouvernements, de trouver toujours dans mes recherches de nouvelles raisons d'aimer celui de mon pays ! LIVRE 1

cette liberté est encore contenue par les normes de la société I. La possibilité de jouir est considérée comme un droit de l’homme A. Emancipation de la liberté sexuelle Le droit a dû s’émanciper du schéma conjugal imposé par les trois religions monothéistes. On constate au cours du XX è siècle une dépénalisation des pratiques sexuelles. La pensée judéo-chrétienne a eu pour responsabilité d’ériger les représentations occidentales de la sexualité. Elles prétendent que les pulsions sexuelles