La Relocalisation En France

conséquences du réchauffement cli- matique, qui pourraient affecter à terme différentes zones géographiques de la planète, et impacter ainsi l’économie mondiale. u la remise en cause du libre-échange intégral au profit d’un protectionnisme accru : relocalisation des productions et ré-industrialisation des pays, notam- ment du Nord compte tenu du renché- rissement estimé du coût de transport, voire des coûts de fabrication (sous l’ef- LE CONTEXTE ÉCONOMIQUE ET GÉOSTRATÉGIQUE, deux SCÉNARIOSfet de l’amélioration

% entre 1870 et 1913, tandis qu'au niveau mondial, elle est passée de 4,6 à 8 % sur la période (cf. graphique page de couverture). La hausse de l'ouverture a été particulièrement spectaculaire pour l'Allemagne, tandis que la Grande-Bretagne et la France, dont l'industrialisation a été plus précoce, avaient déjà réalisé l'essentiel de leur ouverture dès 1860. Graphique 1 : poids des exportations dans le PIB (volumes) 40 35 30 25 20 15 10 5 0 %, prix constants États-Unis connaissaient un excédent

. . . . . . . . 26 CHAPITRE 2 Les emplois de managers : en croissance, en France et à l’étranger 31 Les cadres menacés par les délocalisations ? . . . . . . . . . . . . . 32 Les entreprises globales créent des emplois de managers surtout à l’étranger. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33 L’internationalisation des entreprises contribue à la création d’emplois de cadres en France. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35 Emplois délocalisables et

d’un nouvel ordre impérial avec Ruth Fisher, Department of Geography, London School of Economics Chapitre 4 : New York, la cité de toutes les abondances avec Patrizia Nobbe, Center for Urban Research, City University of New York Chapitre 5 : L’Ile-de-France, face à l’économie mondiale avec Lise Bourdeau-Lepage, Université de Bourgogne Chapitre 6 : Tokyo, un modèle industriel renouvelé avec Nathalie Cavasin, Université Waseda, Tokyo 4 33 55 77 101 127 3 Chapitre 1 Les questions stratégiques

l’automatisation .................................................................35 Partie 2 : Des projets devenus tendance .....................................................................45 Chapitre 5 : Historique de l’automatisation en France :............................................46 Chapitre 6 : Tour d’horizon de l’automatisation chez certains de nos voisins européens .............................................................................................................

est l’apanage de seulement quelques Etats dans le monde 2: USA (Boeing, Lockheed Martin, United Technology, Raytheon, groupe Textron, Général Dynamics), Canada(Bombardier Aviation) , Brésil (Embraer), Europe (EADS) : Grande-Bretagne (BAe Systems), France (Dassault Aviation), Italie (Finmeccanica), Allemagne, Espagne, PaysBas, Suède (Saab Defence Aviation and Space); Russie (MIG, Sukhoï), Israël, Chine, Japon. La concurrence, et la conjoncture globale de l’industrie aéronautique mondiale peut se résumer

mobilisation sociale et politique ; tisser des liens internationaux avec toutes les organisations défendant des perspectives similaires. À partir de septembre 2007, des réunions publiques sont organisées dans les villes, entreprises et universités de la France afin de discuter des modalités de ce nouveau parti avec tous ceux, individuels, équipes militantes, courants politiques, pouvant être intéressés. Janvier 2008 : congrès national de la LCR[modifier | modifier le code] Lors du congrès national de

OCDE – Amérique du Nord OCDE - Pacifique OCDE - Europe France Asie 1973 0,40 0,14 0,24 0,18 0,25 1979 0,37 0,13 0,23 0,17 0,26 1986 0,30 0,11 0,20 0,16 0,24 1998 0,27 0,12 0,17 0,15 0,26 2005 0,24 0,11 0,14 0,14 0,18 Note : dans ce document, l'intensité énergétique mesure la quantité d'énergie nécessaire pour produire 1000 dollars de PIB en dollars de 1999. Ainsi, en 1973, pour produire 1000 dollars de 1999 de PIB, on avait besoin en France d'une énergie équivalente à 0,18 tonne de pétrole, alors

de la redistribution géographique des courants migratoires. La proximité géographique, ainsi que l’héritage historique demeurent des facteurs essentiels dans l’explication de ces derniers, mais non plus unique. G Simon cite ainsi l’exemple de la France, pour laquelle « (…) parmi les nouveaux arrivants signataires du « contrat d’accueil et d’intégration » en 2004, on a recensé plus de cent cinquante nationalités ». (Simon, 2008 : p6). La complexification des flux évoquée supra résulte également de

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