La Responsabilité Pascal Bruckner

Le principe responsabilité de Hans Jonas et la responsabilité socialeUNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL LE PRINCIPE RESPONSABILITÉ DE HANS JONAS ET LA RESPONSABILITÉ SOCIALE MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTlELLE DE LA MAÎTRlSE EN PHILOSOPHIE PAR FANCHON SOPHIE BÉRUBÉ FÉVRIER 2007 UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL Service des bibliothèques Avertissement La diffusion de ce mémoire se fait dans le respect des droits de son auteur, qui a signé le formulaire Autorisation de reproduire

à plus forte raison si l’écriture romanesque transcende l’objet qu’elle décrit pour en faire une chose naturelle que le lecteur devra donc matérialiser dans son esprit. En 1992, lorsque Polanski adapta Lunes de Fiel, le roman sulfureux de Pascal Bruckner, il se trouva confronté au problème d’une traduction : celle qui consiste à mettre en scène la destruction des sentiments sans pour autant choquer le spectateur compte tenu des scènes scatologiques du roman. Comment rendre au cinéma la violence

distribution généreusement effectuée par l’enseignement de jugements préconçus. L’enseignement de l’Histoire au XXI° siècle met en valeur les réalisations du passé de notre pays, cependant je pense que comme tout autre pays nous avons tous notre part de responsabilité dans les différents bains de sang. L’enseignement de l’Histoire nous montre bien que la diplomatie est nécessaire pour éviter des conflits entre les différents Etats. J’approuve également le point de vue PERNOUD car je considère que l’enseignement

décidera-t-elle à élever l’agitation anti-occidentale et le racisme anti-blanc au rang des crimes contre l’humanité ? », s’interroge le « nouveau philosophe » français Pascal Bruckner dans son pamphlet Le Sanglot de l’homme blanc, en faisant référence à Frantz Fanon. Ce texte explique que la solidarité avec le tiers-monde n’est qu’une idiotie, et Bruckner précise aux lecteurs qui ne les connaissent pas qu’il ne vaut pas la peine de jeter un coup d’œil dans les livres de Frantz Fanon. Le leader noir américain

publicité des questions sexuelles, elle a aussi engendrer des problèmes sociétaux conséquents, dont le plus évident est l'explosion de la pornographie dans l'espace public. Par ailleurs, il faut bien voir, comme l'ont expliqué Alain Finkielkraut et Pascal Bruckner[1] que cette sexualité libérée engendre une hiérarchie sociale. Elle a elle aussi ces privilégiés et ses exclus. Il suffit d'écouter les discussions des adolescents d'ajourd'hui pour voir à quel point la vie sexuelle est devenu un critère de reconnaissance

Texte 1 : Responsabilité des scientifiques et de l'humanité ------------------ « Le sort de l'humanité en générale sera celui qu'elle méritera » a dit Albert Einstein Les découvertes scientifiques , à l'origine, doivent être un plus pour l'humanité. Elles devraient améliorer la vie, le quotidien des hommes. Mais, ceux ci ne les utilisent pas toujours à bon escient. L'humanité subira donc les conséquences ( Positives ou Négatives ) de ces découvertes en fonction de l'utilisation

équivalentes. Il y a une relativité des conceptions du bonheur. Certains mêmes ne tiennent pas le bonheur pour la fin ultime de l'homme, comme Descartes qui refuse d'identifier la joie au souverain bien, ou Kant qui lui préfère la moralité, ou encore Pascal Bruckner qui s'écrie: «J'aime trop la vie pour ne vouloir être qu'heureux!» (le Devoir de bonheur). Un Etat qui imposerait à tous une conception unique du bonheur ferait donc bien des malheureux! Il est impossible pour l'Etat de réaliser le bonheur de

vérité de leur condition d'êtres humains, par delà la présomption de la modernité à l'égard du passé et par delà la croyance de devoir adhérer à leur temps[pas clair]. Prenant conscience qu'ils étaient des survivants, ils ont ainsi découvert leur responsabilité à l'égard du futur, à travers la prise en charge du passé. Contre la tendance compulsive et si moderne à la liquidation du passé, c'est de sa conservation qu'il en va pour essayer de faire en sorte que les humains que nous sommes puissent encore

d’origine congolaise porte un regard sur la condition de l’homme noir en France. Le titre ne manquera pas d’interpeller, d’énerver ou de conditionner le lecteur qui abordera ce texte. Mais il est important de rappeler qu’il fait écho à un essai de Pascal Bruckner, le Sanglot de l’homme blanc où cet auteur s’insurge sur plusieurs décennies d’auto flagellation et de culpabilité européenne sur la question du Tiers Monde. On sent dès le départ que si l’homme blanc pleure à chaudes larmes, l’homme noir n’est

pour nous, bref l’habitude de nous contester le droit à l’initiative qui est en définitive le droit à la personnalité ».18 La recherche de l’égalité s’accompagne d’une absorption de l’Autre dont la différence est ainsi neutralisée, nous rappelle Pascal Bruckner : « Au nom de l’égalité, on prononce l’équivalence, la tolérance débouche sur l’homogénéisation ».19 Son identité propre est bafouée – « L’égalité de tous les êtres humains est affirmée mais on ne reconnaît pas l’identité de l’autre pour ce qu’elle