La Revue littéraire

S'il y a un art de la revue, ceux qui font La mer gelée sont passés maîtres. "Un livre doit être la hache qui fend la mer gelée en nous" écrivait Kafka en 1904. Y a-t-il eu plus puissante injonction lancée au lecteur ? Il faut croire que cette revue bilingue franco-allemande s'y emploie deux fois par an à l'égal d'un livre. Tout y est remarquable : le papier, la typographie, la mise en page, les dessins, les thèmes et, le dernier mais pas le moindre, les textes. On dira que c'est plutôt avant-gardiste

art, culture et politique, afin d’attacher un public plus large. Pour les revues exclusivement littéraires on dénombre plus de 250 nouveaux titres entre 1880 et 1914. On peut citer : * La Revue Blanche (fondée par les frères Natanson en 1889 à Liège et installé à Paris en 1891, elle fût le porte-parole des intellectuels dreyfusards, et le support de plusieurs nouvelles publications littéraires  parmi lesquelles : Journal d’une femme de chambre d’Octave Mirbeau en 1900. Elle disparait en

Verlaine est à cette époque lié avec le groupe constitué autour du jeune poète Louis-Xavier de Ricard, rencontré en 1863, alors qu'il animait une revue littéraire, philosophique et politique : la Revue du Progrès moral, littéraire, scientifique et artistique, dans laquelle Verlaine publie son premier poème en août 1863 : Monsieur Prudhomme, peu avant que la revue ne soit interdite par la censure impériale, et son directeur condamné à huit mois de prison (en mars 1864) pour avoir outragé la morale religieuse

Extinction d’un feu », Pro-Culture. Revue maghrébine trimestrielle culturelle et scientifique, Rabat (Maroc), n° 2, décembre 1973 (4e trimestre), p. 13-20. [Ce poème d’hommage à Jean Sénac écrit en français figure dans le recueil en arabe Likah (1980), puis en français dans le recueil Greffe (1984) traduit de l’arabe, p. 77-84. Cette dernière version est légèrement différente de celle publiée dans Pro-Culture.] - « Chronique de l’année du barbelé », Pro-Culture. Revue maghrébine trimestrielle culturelle

Sujet de dissertation Un courant littéraire et culturel est indissociable de son environnement historique, social, économique. Toute œuvre est profondément enracinée dans son époque. Pourtant, dans le poème « l'Art », publié dans la revue L'Artiste en 1852, Gautier affirme « l'éternité » de l'oeuvre d'art : « Les dieux eux-mêmes meurent Mais les vers souverains Demeurent ». Comment une œuvre issue d'un contexte déterminé peut-elle atteindre cette universalité qui lui fait traverser le temps

Introduction générale………………………………………………………...…........... CHAPITRE I : La littérature informatique Introduction……………………………………………………………………… 1.1. La thématique de l’informatique comme inspiration littéraire ……………. I.2. L’informatique comme nouveau moyen d’accès aux ouvrages littéraires … I.3. Les automates littéraires, des outils d'écriture à base d'algorithmes ……… I.4. Les outils bureautiques d'aide à la mise en forme………………………… I.5. Deux champs de recherche : écrivains automates ou générateurs d'hypertextes

n'étaient que de pâles copies de ce que produisaient leurs colonisateurs. Désormais, les jeunes lettrés Noirs prennent pleinement conscience de leur condition de Noirs et revendiquent leur culture et leurs origines. Ils veulent trouver leur propre voix littéraire et se faire entendre. Dans les années 30, on assiste donc à la naissance du mouvement de la Négritude, fondé par Aimé Césaire, Léon Gontran Damas et Léopold Sédar Senghor. Cette littérature, à l'époque, est très militante: on réclame un retour aux

à Françoise. Dans ses deux passions, Jean-Marc se heurte 1proverbe de Salomon, XIII, 9, cité en exergue de: Les Compagnons du Coquelicot, Tome X de La Lumière des Justes. " 2T• de Saint-Phalle, "Le programme d'Henri Troyat Le Figaro Littéraire, no 1828, le 39 décembre 1965. • 3 Tome III, p. 314. . -.. n , • 134 lui aussi, au conflit intérieur du bien et du mal. Dans les ( deux cas, il victime de sa nature, qui ne lui per.met pas se~a de s'affirmer

il est difficile pour un écrivain de vivre de sa plume. Ce phénomène est bien présent dans les lettres entre Gaston Miron et Claude Haeffely, deux écrivains francophones. Cette correspondance est du moins intéressante, car on nous présente la vie littéraire dans le contexte des années 1954 à 1965. Nous jugeons donc adéquat de faire un compte rendu critique sur ces lettres d’amitiés. Cadre et origine de l’ouvrage Gaston Miron «est considéré comme l’un des plus grands poètes québécois». Il a

très extensive, et la tentation est grande (pas qu'ont franchi grand nombre de ses tenants) de l'ériger en catégorie esthétique trans-historique ; mais c'est perdre de vue le sens d'une aventure intellectuelle et artistique bien spécifique : école littéraire ? mouvance artistique ? courant esthétique européen ? sensibilité fin-de-siècle ? Le symbolisme fut tout cela à la fois, construisant une histoire complexe qui en fait l'un des phénomènes artistiques les plus remarquables de la fin du XIXe siècle