La Rhétorique Avec Des Exemples

Fiche de lecture : Gorgias, (Platon) Mouvement du texte Citations Remarques, notes, etc. Première partie : la définition de la rhétorique Socrate demande ce qu’est la rhétorique. Gorgias lui répond tout d’abord que c’est la science des discours. Socrate demande des précisions ; Gorgias lui déclare que ce sont des discours ne se rapportant à aucune activité manuelle et visant à convaincre. Socrate veut savoir de quelle conviction il s’agit ; Gorgias lui réplique que c’est celle qui

exprime l'attachement du personnage à la rationnalité , elle nous amène à la question suivante : la rationnalité peut elle se suffire à elle meme ? Déjà les penseurs antiques divergeaient sur ce point : d'une part les sophistes , partisans de la rhétorique et donc du recours à la persuasion et d'autre part Socrate , initiateur de la philosophie , défendant le discours rationnel., mais qu'en est il aujourd'hui ? Nous tenterons donc de répondre , en trois parties, à la question suivante : le discours

Initiation à la stylistique (1) Figure de rhétorique et des exemples de cette figure dans la littérature Le mot ‘stylistique’ apparaît en Allemagne au dix-neuvième siècle, et donc les procédés littéraires sont apparus. Les figures ou les fleurs de rhétorique. On parle de stylistique descriptive (la versification). La stylistique fonctionnelle et la théorie des genres du discours. Livre : La Rhétorique d’Aristote. Rhétorique Générale de Groupe M Dictionnaire de B. Dupriez Figures 1-5 de Genette

Les figures de rhétorique   Qu'est-ce que la rhétorique et à quoi sert-elle ? Qui l'utilise ? La rhétorique est l'éloquence, c'est à dire de parler en convaincant, en atteignant son but. Tout le monde l'utilise.   A quoi sert le repérage de ces figures ? Cela sert à mieux comprendre tout les discours, saisir les nuances et les finesses, garder de la distance, analyser, avoir un esprit critique et à les réutiliser.   Quelques-unes des nombreuses figures: I - L'analogie:   La comparaison:

faire le blâme de cette fille il parle de ses « fautes » = voc dévalorisant. alors qu’en fait, c’est la loi qu’il blâme, i.e. qu’il critique - Des répétitions de connecteurs de cause (« parce que »§1 > présentation de thèse et arg - des questions rhétoriques suivies des réponses de Voltaire : ex « fut-il faire mourir la mère ? elle ne l’avait pas tué » « Cette loi n’est-elle pas injuste, inhumaine et pernicieuse ? » - des formules brèves et percutantes ex « là où la charité manque, la loi et toujours

est le genre de vie qu’on doit mener, et non la rhétorique, qui n’en est qu’une expression. On n’est pas orateur ou philosophe par hasard, on le devient en conséquence d’un choix de vie. L’orateur voue sa vie à la quête du plaisir et de la puissance, le philosophe à celle de la vérité et de la justice. Le dialogue cherche à remonter d’une pratique vers ce qui la conditionne, pour présenter de manière radicale l’opposition entre philosophie et rhétorique. A première vue, on pourrait s’y tromper tant

Intro :· Sujet porte sur thème Les Pouvoirs de la Parole· Rhétorique = art de convaincre, d’émouvoir par parole depuis Grèce Antique -> art oratoire qui propose dimension esthétique du discours afin de faire accepter une idée. Etait considérée c compétence essentielle pr citoyens grecs qui voulaient convaincre ds affaires publiques.· Aujd, essentiellement utilisée ds domaine juridique, notamment par avocats qui misent victoire d’un procès sur discours qu’ils proposent au jury.· Ainsi, questionnement

réflexion/défense sur le genre romanesque, sur la notion de réalisme. Pb : Comment l’auteur, dans ce passage, propose une défense du réalisme sous la forme d’une définition paradoxale (ce qui va à l’encontre de la « doxa », l’opinion commune) ? I. La rhétorique classique/traditionnelle/académique pour convaincre a. Un texte structuré comme une dissertation - énonciation impersonnelle : l’auteur se retranche derrière la 3ème pers. comme dans une dissertation  quand même « nous » l.17 et « je » l.28 en

vendre un produit, imposer une idée ou une croyance, le langage devient un moyen efficace de persuasion. La rhétorique est dites «ouvrière de persuasion» par Platon, dans sa critique des sophistes. Elle sert à bien parler obtenir ce que l'on désir, c'est la magie du discours, elle ne tente pas de convaincre mais simplement de persuader d'une croyance en suggérant une opinion. Un discours rhétorique n'a rien de véridique, aucune conviction solide, car pour convaincre il faut une parole munie de raison

qu’est de se preoccuper de la mort que celle-ci est «un repos sans souci » . La question posée au travers est « Pourquoi craindre la mort, alors qu’elle n’est rien? » . Il va nous le prouver en utilisant différents exemples, il questionnera un homme dont la vie est heureuse par des rhétoriques, puis fera ensuite de même avec un homme dont la vie lui est importune. Pour finir, il nous convaincra que quelquesoit notre vie et sa durée, elle sera comme elle a commencée et que donc la recherche du bonheur