La Rhétorique Avec Des Exemples

n'importe qui » => cela soulève le poids de la rhétorique, de la persuasion que peut avoir le langage. I- Le poids des mots A- Rhétorique • Discipline datant de l’Antiquité qui enseigne l’art de bien parler et de bien s’exprimer. Cf. Quintilien, Cicéron ou Aristote. Évoquez quelques points forts de la rhétorique. => Pour persuader. • L’orateur doit s’adapter à son auditoire, doit donner une bonne image de lui. Cf. les sophistes par exemple. (cf. Le Sophiste de Platon).

contexte d’une littérature de moralistes :voir J. Lafond, dir. de l’édition des Moralistes du XVIIe siècle (Laffont, Bouquins) : il rappelle l’existence d’un champ littéraire propre (Montaigne, Pascal, La Rochefoucauld, La Bruyère) : La Bruyère, par exemple, se place explicitement dans la lignée d’une œuvre comme les Pensées. C’est dire que l’œuvre de Pascal est comprise comme telle au 17e siècle, c’est-à-dire, notamment comme s’inscrivant dans une tradition littéraire et mondaine. Cela pose la question

Martin Heidegger en passant par Thomas d'Aquin, et orientale, d'Averroès et Maïmonide à Cordoue jusqu'au persan Avicenne en passant par les théologiens médiévaux de Byzance. Véritable encyclopédiste, il s'est beaucoup intéressé aux arts (musique, rhétorique, théâtre) et aux sciences (physique, biologie, cosmologie) de son époque ; il en théorisa les principes et effectua des recherches empiriques pour les appuyer. Sa conception de l'art poétique s'imposa dans l'esthétique classique. Sa théorie de la

prouve la difficulté à convaincre ou Persuader un auditoire. 1) Utilisation structure particulière Question rhétorique + utilisation présent vérité générale. => interpelle lecteur, le fait réfléchir et permet de lui faire suivre la pensée de l’auteur. + Utilisation exemples précis * Lecteur « ouvre ses portes » et peux être persuadé/convaincu. Ex : nombreuses question rhétorique + présent vérité générale dans teste D’Etienne de la Boétie. 2) Un développement progressif L’auteur part

l’Antiquité et on les appelle aussi les figures de rhétorique. Nous sommes donc ici dans les stratégies du discours telles quelles ont été conçues chez les grecs. Dans les figures de rhétorique, on les classe par un certain nombre de catégories. Elles ont le besoin de faire connaître, de séduire, suivant qu’il s’agit de procédés de substitutions ou de procédés basés sur le domaine des sonorités. On peut dès un premier temps partir sur les figures de rhétorique ayant un rapport avec l’objectif cognitif (faire

On mobilise des arguments contradictoires afin d’arrêter son choix. Cela peut être un discours intérieur ou à plusieurs. II les procédés de l'argumentation voir : fiche sur les figures de style fiche sur les figures de rhétorique à consulter : Figures de rhétorique Première partie I. Définitions Comparaison : figure dans laquelle nous avons un comparé, un comparant et un comparatif : il est beau comme un Dieu Métaphore : image et comparaison sans comparatif : il a la ruse d’Ulysse

donc que la remettre en question est un bienfait, puisque cela permet de l'en délivrer. Pour faire admettre à Gorgias qu'il a tout intérêt de discuter avec lui en acceptant d'être réfuté, Socrate commence par lui exposer, en donnant des contre-exemples de dialogues avortés, les exigences d'un dialogue fructueux, dont les interlocuteurs puissent sortir enrichis au lieu de s'entredéchirer (lignes 1 à 11). Il peut alors appliquer ce qu'il vient de dire à leur propre échange, qui risquait de tourner

apôtres et de saint Augustin (éloquence religieuse), l'orateur exerce le plus haut magistère de la parole. C'est à partir de l'éloquence que se constitue la réflexion rhétorique : elle est l'axe de tous les débats sur le style. D'autre part, de Quintilien à Baltazar Gibert (Jugements des savants sur les auteurs qui ont traité de rhétorique, 1713-1719), la problématique de l'éloquence ne cesse de se poser en termes de « corruption » et de « décadence ». Décadence liée, dès l'origine, à l'état politique

Notes sur l’argumentation : La rhétorique se définit comme l'art de bien parler (« bene discendi scientia » selon Quintillien) dans le but d'agir sur autrui. C'est l'art de s’exprimer et de persuader par le discours. Les premiers traités des rhéteurs témoignent, dés le V° siècle avant J-C, du développement de la rhétorique. Elle se développe à Athènes à travers l’art des sophistes qui enseignaient la relativité de toute thèse en soutenant des opinions opposées sur un même

juridique : entre philosophe du droit et rhétorique La rhétorique est familière aux juristes, la manière de convaincre est un outil à part entière, principale contrainte que l’on doit faire face dans certain nombre de métiers. Cet art de manipuler les mots et au cœur du travail des juristes mais aussi de la philo, l’un recherche l’efficacité et l’autre la vérité. Mais les deux manipulent des concepts, créent de terminologies pour défendre des thèses. Rhétorique : définition du sophiste Gorgias c’est