La Richesse Des Nations Adam Smith

Chapitre 2 : La division du travail et extension du marché Adam Smith (1723-1790) Né en 1723 à Kirkcaldy en Ecosse. Après de brillantes études à Oxford de 1740 à 1746, puis à Glasgow, il est nommé, en 1748, professeur à l’université d’Edimbourg ; il revient, en 1751, à Glasgow pour enseigner la philosophie morale et succéder à son maître : F. Hutcheson. Il publie en 1776 «  La Richesse des Nations », il est l’un des premiers économistes à proposer une théorie sur l’individualisme méthodologique

de nos jours.Adam SMITH est le fondateur de l’école classique. Ecole à laquelle MALTHUS est rattaché. En 1776, Adam SMITH publie le livre Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations. Dans ce livre, il expose les 3 moyens dont dispose une nation pour augmenter ses richesse. Le premier élément exposé étant qu’une augmentation de de la production va engendrer une augmentation de la valeur et finalement une augmentation des richesses.Dans un second temps, SMITH met en exergue la

anomalie nuisible au bon développement de l'économie. Mais à partir du XVIe siècle, les pensées économiques vont justifier la légitimité du protectionnisme. Les mercantilistes Article détaillé : Mercantilisme.Selon les auteurs mercantilistes, la richesse d'un pays dépend positivement du stock de métaux précieux qu'il possède. La quête de ces ressources, provenant des nouveaux territoires découverts, est comparable à une véritable guerre. Le commerce est considéré comme un jeu à somme nulle : celui

l'économie reste largement subordonnée à la morale. La richesse matérielle, l'accumulation de l'argent sont interdit par l'idéologie dominante qui privilégie la recherche du salut. L'intérêt du capital, assimilé à l'usure, est condamné par les théologiens qui se préoccupaient de la recherche d'un juste prix et de la justice dans l'échange. La Renaissance, d'une durée de 3 siècles, voit la formation et le développement des états. La richesse apparaît comme nécessaire au développement du pouvoir du

une révolution marchande avec le développement de marché et de réseaux d’échanges en Europe. On commence dès lors à s’intéresser aux grandeurs macro-économiques. Les princes et les gouvernements cherchent à obtenir des informations sur les richesses de la nation et sur le développement du commerce international. 1450 => 1750 : l’ère Mercantiliste (mercante = marché, en italien) I°/ 1) a) Les fondements du mercantilisme Le mercantilisme repose sur : * La dynamique de l’industrie pour

 des progrès dans la navigation  maritime (navires et instruments) et du réveil européen La richesse privée se libère des interdits religieux et  d’immenses fortunes se constituent grâce au commerce. Le mercantilisme participe d’un double mouvement :  d’émancipation des marchands d’une part et de construction  des États souverains d’autre part Refonte de la conception aristotélicienne de l’économique : (1)  la richesse privée devient source de richesse collective ; (2) le  prince devient le protecteur des marchands Conception autocentrée du monde

marchés et, insidieusement, assure sa domination sur le monde ». Dans ce livre sans concession Chomsky explique comment le néolibéralisme actuel tourne le dos aux principes du libéralisme et conséquemment de la mondialisation initialement définis par Adam Smith et initié par les luttes ouvrières. Ce livre est un recueil d'articles et d'essais critiques très bien documentés qui prennent souvent appui sur des documents classé secret mais qui ont été depuis quelques années rendus publics Comme l'ensemble

Chapitre 1 : Adam Smith (1723-1790) Économie de marché et profits : Comme les physiocrates Smith croit en un ordre naturel, et est « favorable au laissez faire laissez passer » de Quesnay. Pourquoi Smith et pas Quesnay ? Son œuvre embrasse tout les avoirs de son temps (philo, droit, morale, religion...). Il répond à cette question : Comment les hommes vivent-ils en société ? L'homme est au centre de toute son œuvre (car il est la clé), tout comme l'échange (alors que Quesnay

Apple……………………………………..…………….…………32Conclusion générale ……………………………………..…………….……« Dans chaque art, la division du travail, aussi loin qu’elle peut y être portée, donne-lui a un accroissement proportionnel dans la puissance productive du travail. » Adam Smith IntroductionEn économie et en sociologie, l’expression « division du travail » désigne la répartition des activités de production entre différentes entités spécialisées dans des domaines complémentaires. La division du travail est l’un des fondements

Chapitre II : Libre échange : cadre théorique 14 Section I : Les théories classiques de libre échange 15 I. La théorie mercantiliste de libre échange 15 II. La pensée physiocratique 15 III. Inspiration classique : Adam Smith et David Ricardo 15 1. Théorie d’Adam Smith 16 2. Théorie ricardienne 17 IV. Le théorème de Heckscher-Ohlin-Samuelson 19 Section II : Les théories modernes de libre échange 19 I. Théorie de la demande représentative de LINDER Staffan Burenstam 19 II. Théorie