La Rochefoucauld La Conversation

elle s'éloigna avant qu'il eût pu répondre un mot. Il but d'abord son café qu'il craignait de laisser tomber sur le tapis ; puis, l'esprit plus libre, il chercha un moyen de se rapprocher de la femme de son nouveau directeur et d'entamer une conversation. Tout à coup il s'aperçut qu'elle tenait à la main sa tasse vide ; et, comme elle se trouvait loin d'une table, elle ne savait où la poser. Il s'élança. " Permettez, madame. -- Merci, monsieur. " Il emporta la tasse, puis il revint

Puis elle s'éloigna avant qu'il eût pu répondre un mot. Il but d'abord son café qu'il craignait de laisser tomber sur le tapis; puis, l'esprit plus libre, il chercha un moyen de se rapprocher de la femme de son nouveau directeur et d'entamer une conversation. Tout à coup il s'aperçut qu'elle tenait à la main sa tasse vide; et, comme elle se trouvait loin d'une table, elle ne savait où la poser. Il s'élança. "Permettez, madame. - Merci, monsieur." Il emporta la tasse, puis il revint: "Si vous saviez

s’éloigna avant qu’il eût pu répondre un mot. Il but d’abord son café qu’il craignait de laisser tomber sur le tapis ; puis, l’esprit plus libre, il chercha un moyen de se - 37 - rapprocher de la femme de son nouveau directeur et d’entamer une conversation. Tout à coup il s’aperçut qu’elle tenait à la main sa tasse vide ; et, comme elle se trouvait loin d’une table, elle ne savait où la poser. Il s’élança. « Permettez, madame. – Merci, monsieur. » Il emporta la tasse, puis il revint : « Si vous saviez

Puis elle s'éloigna avant qu'il eût pu répondre un mot. Il but d'abord son café qu'il craignait de laisser tomber sur le tapis ; puis, l'esprit plus libre, il chercha un moyen de se rapprocher de la femme de son nouveau directeur et d'entamer une conversation. Tout à coup il s'aperçut qu'elle tenait à la main sa tasse vide ; et, comme elle se trouvait loin d'une table, elle ne savait où la poser. Il s'élança. - Permettez, madame. - Merci, monsieur. Il emporta la tasse, puis il revint : - Si vous saviez

elle s’éloigna avant qu’il eût pu répondre un mot. Il but d’abord son café qu’il craignait de laisser tomber sur le tapis ; puis, l’esprit plus libre, il chercha un moyen de se rapprocher de la femme de son nouveau directeur et d’entamer une conversation. Tout à coup il s’aperçut qu’elle tenait à la main sa tasse vide ; et, comme elle se trouvait loin d’une table, elle ne savait où la poser. Il s’élança. « Permettez, madame. – Merci, monsieur. » Il emporta la tasse, puis il revint : « Si

Puis elle s'éloigna avant qu'il eût pu répondre un mot. Il but d'abord son café qu'il craignait de laisser tomber sur le tapis; puis, l'esprit plus libre, il chercha un moyen de se rapprocher de la femme de son nouveau directeur et d'entamer une conversation. Tout à coup il s'aperçut qu'elle tenait à la main sa tasse vide; et, comme elle se trouvait loin d'une table, elle ne savait où la poser. Il s'élança. «Permettez, madame. - Merci, monsieur.» Il emporta la tasse, puis il revint: «Si vous saviez

Puis elle s'éloigna avant qu'il eût pu répondre un mot. Il but d'abord son café qu'il craignait de laisser tomber sur le tapis; puis, l'esprit plus libre, il chercha un moyen de se rapprocher de la femme de son nouveau directeur et d'entamer une conversation. Tout à coup il s'aperçut qu'elle tenait à la main sa tasse vide; et, comme elle se trouvait loin d'une table, elle ne savait où la poser. Il s'élança. "Permettez, madame. - Merci, monsieur." Il emporta la tasse, puis il revint: "Si vous saviez

Puis elle s’éloigna avant qu’il eût pu répondre un mot. Il but d’abord son café qu’il craignait de laisser tomber sur le tapis ; puis, l’esprit plus libre, il chercha un moyen de se rapprocher de la femme de son nouveau directeur et d’entamer une conversation. Tout à coup il s’aperçut qu’elle tenait à la main sa tasse vide ; et, comme elle se trouvait loin d’une table, elle ne savait où la poser. Il s’élança. – Permettez, madame. – Merci, monsieur. Il emporta la tasse, puis il revint : – Si vous saviez

elle s’éloigna avant qu’il eût pu répondre un mot. Il but d’abord son café qu’il craignait de 60 laisser tomber sur le tapis ; puis, l’esprit plus libre, il chercha un moyen de se rapprocher de la femme de son nouveau directeur et d’entamer une conversation. Tout à coup il s’aperçut qu’elle tenait à la main sa tasse vide ; et, comme elle se trouvait loin d’une table, elle ne savait où la poser. Il s’élança. – Permettez, madame. – Merci, monsieur. Il emporta la tasse, puis il revint : – Si vous saviez

sans précédent, rend bien compte des interrogations de l'époque, exprimant notamment un relativisme absolu en 11 matière de connaissance. Montaigne y recense ses réflexions et ses humeurs quotidiennes, ses réactions sur telle lecture, telle conversation, tel événement politique, selon une structure très libre et dans un style sans ornement ni emphase, qui multiplie citations et digressions sans craindre de nuire à la cohérence du propos. L'auteur cherche à y saisir la nature humaine à travers