La Ronde De Nuit Rembrandt

du 5 au 30 juillet 1875. Publié peu de temps avant sa mort, cet ouvrage connaît un succès considérable et de nombreuses rééditions. Lionello Venturi le tenait pour l'une des meilleures études de critique d'art, en particulier pour les pages sur Rembrandt et Rubens. Plusieurs raisons poussent l'artiste à entreprendre ce voyage d'étude vers le Nord, loin de l'Algérie qui lui avait apporté gloire et fortune. Les deux volumes consacrés à la peinture des Pays-Bas – L'Histoire des peintres de toutes les

(historique, social, artistique) : Lors de son ultime séjour en Europe en 1910, Hopper écrit à sa mère qu’il vient de voir à Amsterdam « le plus beau tableau du monde », La Ronde de Nuit de Rembrandt. Son titre anglais, Nightwatch, présente une singulière homophonie avec celui que donne Hopper à son bar de nuit en 1942. La Ronde de Nuit montrait une milice de citoyens chargée de veiller à la sécurité des habitants de la ville pendant leur sommeil. Hopper commence à peindre Nighthawks une semaine après

d'Art Contemporain Fondation Internationale des Artistes Contemporains Fédération d'Intégration des Artistes Contemporains Fondation Internationale d'Animation Culturelle 26 Lequel de ces tableaux ne se trouve pas au Louvre ? "La ronde de nuit", de Rembrandt "Les noces de Cana", de Véronèse "Le radeau de la Méduse", de Géricault "Femmes d'Alger", de Delacroix 27 Les deux grands musées de Florence sont le palais Piti et... http://www.emtiez.com/ Le Prado Le musée des Offices Le

institut d'art de Chicago), montre un café ouvert toute la nuit, ses quelques clients solitaires dans la lueur sans pitié des lumières électriques. À Paris, Hopper visite les musées et les expositions ; il s’intéresse aux impressionnistes (par l’intermédiaire de Patrick Henry Bruce) mais aussi aux maîtres néerlandais (Vermeer, Rembrandt) : lors de son voyage aux Pays-Bas, il est notamment très impressionné par La Ronde de nuit de Rembrandt. Son séjour en France ne fait que confirmer son admiration

1/ Autobiographie de Rembrandt (1606-1669) Considéré comme l’un des plus grands peintres hollandais de son temps, il a marqué l’histoire de la peinture par une technique remarquable du clair-obscur. À la fois peintre, dessinateur et graveur. Rembrandt semble tout d’abord se destiner à une carrière plus intellectuelle. Attiré par l’art, il décide plutôt de suivre des cours auprès du peintre Jacob Van Swanenburgh. Poursuivant dans cette voie, il se rend à Amsterdam dans l’atelier du peintre d’histoire

dans tous les sens, dessinés aux trois crayons sur le papier chamois, d’innombrables sourires.» page 75. La Ronde de nuit de Rembrandt. (gauche) Portrait des Régentes de l’hospice de vieillards de Frans Hals (droite) «Ça a l’air fait avec rien, reprit le peintre, pas plus moyen de découvrir le truc que dans la Ronde ou les Régentes et c’est encore plus fort comme patte que Rembrandt et que Hals. Tout y est, mais non, je vous jure.» page 93. L’Apparition de Gustave Moreau. «comme une apparition

exclusive ». Chez Rembrandt, dont on connaît le foisonnement d’autoportraits, le cryptoportrait se maintient comme une taquinerie de l’artiste, comme pour mieux souligner l’importance que pouvait avoir un peintre à ces époques où lui seul produisait et transmettait les images de son temps et de ses contemporains. Le film que Peter Greenaway fera sur La ronde de nuit (1642) de Rembrandt montre bien cette influence du peintre. Suivant la littérature émise sur cette œuvre, Rembrandt apparaît caché, tout

Cette technique est utilisée pour faire en sorte que la personne qui regarde se focalise sur un point du tableau et laisse les autres dans la pénombre. De grands peintres tel que Rembrandt(1606-1669) ou Michelangelo Merisi da Caravaggio(1571-1610) sont des maîtres de cette technique. La Ronde de nuit peint par Rembrandt Avec le baroque vient aussi la peinture avec des « mouvements » , les personnages ont une expression faciale pour pouvoir faire passer des sentiments, et une impression de mouvements

rencontrer. Je ne sais rien d’elle qui m’abandonna au berceau, mais j’espérais que c’était cette vieille voleuse qui mendiait la nuit. – Si c’était elle ? me dis-je en m’éloignant de la vieille. Ah ! Si c’était elle, j’irais la couvrir de fleurs, de glaïeuls et de roses, et de baisers ! J’irais pleurer de tendresse sur les yeux de ce poisson-lune, sur cette face ronde et sotte ! Et pourquoi, me disais-je encore, pourquoi y pleurer ? Il fallut peu de temps à mon esprit pour qu’il remplaçât ces marques

« représenter ce qui est » écrit Tzvetan Todorov. Le débat est encore d’actualité sur la signification de ces tableaux. La représentation de la vie quotidienne a-t-elle un but moralisateur ? Nous pouvons par exemple nous poser la question dans le tableau de Rembrandt, « La Sainte Famille ». On peut y voir une mère, son bébé et un menuisier tourner le dos au spectateur. Il y a-t-il alors une simple famille ou une analogie de la famille catholique ? La peinture de genre entremêle donc, pour certains artistes, une