La Rose Et Le Réséda

d'exemplaires au-dessus de la France. C'est un des grands symboles de la résistance artistique française que ce texte. Eluard nous montre que ce ne sont ni le vocabulaire, ni les sens cachés qui font la force d'une poésie. Louis Aragon: «La Rose et le Réséda» Celui qui croyait au cielCelui qui n'y croyait pasTous deux adoraient la bellePrisonnière des soldatsLequel montait à l'échelleEt lequel guettait en basCelui qui croyait au cielCelui qui n'y croyait pasQu'importe comment s'appelleCette clarté

rôle destructeur puisque le « plâtre s'écailie ». Son souhait de retrouver le jardin inchangé se heurte à un douloureux constat. Apollinaire joue avec le topos du carpe diem et reprend à son compte l'image éculée de la rosé qui se fane comme symbole du temps qui passe (« Mais rosé toi qui te défends / Perds tes 'COUP de POUCE • Situer ï'extraît dans son contexte • Intéressons-nous d'abord au contexte. Paul Verlaine (1844-1896) est considéré comme un « poète maudit » : il est célèbre en effet

peur », « je ne peux pas ») = appel a la vengeance « Nos coeur ne s'apaiseront que par la pire vengeance » Rappel besoin de ne pas oublier : champ lexical du silence = illustre difficulté de raconter, faire face à l'horreur. Aragon La rose et le réséda Né le 3 octoble 1897 à Neuilly-sur-seine _ Mort le 24 décembre 1982 à Paris Il fut : écrivain, poète, romancier, journaliste, essayiste. Avec André Breton, Paul Eluard _ d'autre > créateur du Dadaisme Parisien et du surréalisme. _ plus tard

caricature a donc permis de faire passer un message fort par les journalistes danois. Il existe d’autres moyens de faire diffuser des messages et des idées en contournant la censure par le détour. Comme l’a fait Louis Aragon avec son poème La Rose et le Réséda qui a été publié le 1er mars 1943 dans Le Mot d’Ordre, un journal marseillais. Ce poème souligne par de nombreuses répétitions des deux premiers vers « Celui qui croyait au Ciel / Celui qui n'y croyait pas » que dans la Résistance, l'union sacrée

personnification et l’allégorie. | | | | | |- Le lai. | |11 |2h |- La Rose et le Réséda d’Aragon. |Analyser le poème, sa musicalité et |- La périphrase. | | | | |ses symboles. |- La métaphore filée.

lettre. - Le ton. - L’harmonie imitative. - Des stances. - La comparaison. 10 1h - C d’Aragon. Analyser le poème. - La répétition, procédé d’insistance. - L’apostrophe. - la personnification et l’allégorie. - Le lai. 11 2h - La Rose et le Réséda d’Aragon. Analyser le poème, sa musicalité et ses symboles. - La périphrase. - La métaphore filée. - Le symbole. 12 2h - Blessé retournant à l’arrière, dessin d’Otto Dix. - Barbara de Prévert. - Texte d’Hubert Reeves, extrait de L’Heure

» Florian - « La barricade » Victor Hugo - « on m’as mis au collège …» Germain Nouveau - « enivrez vous » Charles Baudelaire - « les effarés » Arthur Rimbaud - « Ne…. » André Spire - « le droit le devoir de vivre » Paul Eluard - « la rose et le réséda », « Est-ce ainsi que les hommes vivent » Louis Aragon - « page d’écriture » Jaques Prévert POESIE APOLLONIAQUE, POESIE ESTHETIQUE - « la pluie » saint amant - « les papillon » Gérard de Nerval - « le Hareng saur » Charles Cros - « les

sommes connus. Les bourgeons poussaient vapeur verte. L'amour fut une découverte. Grâce aux lilas, grâce aux muguets, De rêveurs nous devînmes gais. Sous la glycine et le cytise, Tous deux seuls, que faut-il qu'on dise ? Nous n'aurions rien dit, réséda, Sans ton parfum qui nous aida. Charles Cros, Le coffret de santal 1879 Illustration : Les Glaneuses, Jean-François Millet, 1857, Huile sur toile, 83.5x110cm, musée d’Orsay Paris On voit à l’arrière-plan la richesse de la récolte

aimait la mort - illustration : la jeune fille et la mort Page 8-9 : La Mort et le Bûcheron - illustration : La Mort et le Bûcheron Page 10-11 : Ce que c'est que la mort - illustration : La mort de Sardanapale Page 12-13 : la tombe dit a la rose - illustration : La mort du toréro Page 14-15 : Dom juan aux enfers - illustration : Le naufrage de Dom Juan Page 16-17 : Mort !- illustration : La mort de Marat Page 18-19: Si je trépasse entre tes bras, Madame - illustration : la piéta

BellayImité de l'Italien ArversCiel, air et vents RonsardIntarissablement LaforgueLes cheveux d'or du BellayLa mort fervente Anna de NoaillesHommage à la vie SupervielleLe rêve du jaguar Leconte de LisleLe pin des Landes Théophile GautierLa rose et le réséda AragonLa maison d’Hélène René-Guy CadouSur la mort de Marie RonsardMais si faut-il mourir Jean de SpondeEpître à son ami Lion MarotLa courbe de tes yeux EluardJe n'ai plus que les os... RonsardLa Ballade des pendus VillonLas où est maintenant