La Rose Et Le Réséda

devoir « universel ». Leur devoir est de faire connaître au lecteur ce qu’il se passe. Un grand poète engagé fut Paul Eluard qui écrit « Poèmes politiques » en 1948, poèmes aux valeurs communistes. Ou encore Louis Aragon dans son poème « La Rose et le Réséda », hommage fait à la résistance durant l’occupation. III. Poète interprète de la vie et des sentiments des hommes 1. Valeur de cette conception poétique. Le poète qui interprète la vie et les sentiments des hommes, utilise sa capacité

| | |[pic] | |DOMAINE 2 |Louis ARAGON, La Rose et le Réséda, 1943 | |Littérature | | |DOMAINE

argumentatif implicite)III. Négation des souvenirs d’enfance et des plaisirs : la vie n,e sera plus jamais comme avant. > Impuissance du poète : « pas la peine » > Phrases à la forme négagtive : « je n’aime plus » ; « on ne sait rien » La Rose et le Réséda I. Un poème engagé en faveur des Résistants « Celui qui croyait au ciel » et « celui qui n’y croyait pas » > Universalité. Champs lexicaux qui définissent ces résistants et montrent leurs différentes provenances.II. La muse lyrique traditionnelle

Amours de Marie, 1555 ; Sonnets pour Hélène, 1578). Imitant les auteurs antiques, Ronsard emploie d'abord les formes de l'ode (Mignonne, allons voir si la rose) et de l'hymne, considérées comme des formes majeures, mais il utilisera de plus en plus le sonnet. Mignonne, allons voir si la rose A Cassandre Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avoit desclose Sa robe de pourpre au Soleil, A point perdu ceste vesprée Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vostre pareil.

témoignage des sévices subits. Dans ce contexte historique particulier, ces hommes libres et qui se sacrifient pour que vivent la liberté et la dignité ont énormément inspiré les poètes engagé tel Aragon bien sûr qui dans un autre texte La Rose et le Réséda rend à nouveau hommage à tous ces hommes et plus particulièrement au groupe Manouchian (début du poème) « Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas Tous deux adoraient la belle Prisonnière des soldats… » C'est-à-dire la France

t'imagines si tu t'imagines fillette fillette si tu t'imagines xa va xa va xa va durer toujours la saison des za la saison des zasaison des amours ce que tu te goures fillette fillette ce que tu te gouresSi tu crois petite si tu crois ah ah que ton teint de rose ta taille de guêpe tes mignons biceps tes ongles d'émail ta cuisse de nympheet ton pied léger si tu crois petite xa va xa va xa va va durer toujours ce que tu te goures fillette fillette ce que tu te goures les beaux jours s'en vont les beaux jours

transmission orale. Utilisée pour transmettre le savoir, ce n’est pas son seul rôle puisqu’elle sert aussi à la défense des valeurs. Pour démontrer cela, on peut voir que la poésie a été utilisée pendant la Résistance, avec Aragon et son poème La Rose et le Réséda qui en est un hommage. Plus encore, la promotion d’une idée polémique avec Le Mondain de Voltaire et l’éloge du luxe et du progrès. Enfin, la dénonciation des maux de la société est montré par Hugo dans « Melancholia », où il montre les conditions

est un poème pathétique : il évoque le coup d’Etat à travers l’exemple d’un enfant, tué de deux balles dans la tête. Celui-ci est le symbole de la République bafouée. Comme le dit Eluard, le poète peut « mener les hommes au combat ». Dans « la Rose et le Réséda », Aragon rend hommage aux résistants de toutes confessions religieuses ou politiques, qui ont payé de leur vie la libération de la France, « belle prisonnière des soldats », évoquée à travers une figure féminine allégorique. Boris Vian –en

Solange, Acte I, scène 1. " Solange, à genou et très humble : Je désire que Madame soit belle. Claire, elle s'arrange dans la glace : Vous me détestez, n'est-ce pas ? Vous m'écrasez sous vos prévenances , sous votre humilité, sous les glaïeuls et le réséda. " Extrait de la pièce de Théâtre de Jean Genet, Les Bonnes, Acte I, scène 1, créée en 1947. Je trouve que cette image est intéressante et correspond parfaitement à l'extrait (ci-dessus), car sur l'image on peut apercevoir Solange

comme avant palpitent ; comme avant, Les grands lys orgueilleux se balancent au vent, Chaque alouette qui va et vient m'est connue. Même j'ai retrouvé debout la Velléda, Dont le plâtre s'écaille au bout de l'avenue, Grêle, parmi l'odeur fade du réséda.  [pic] Marcel Proust, Du côté de chez Swann, 1913 Les nymphéas sur la Vivonne, où comment un jardin devenu parterre d'eau réfléchissant le ciel et ses variations, éveille l'imaginaire par le biais des sensations. Cà et là, à la surface, rougissait